OMS-MHSU: Dialogue sur la nécessité de la distinction fondamentale entre « Autisme » et « Troubles du spectre autistique »

Il serait très utile de convaincre le Organisation Mondiale de la Santé (OMS) que « autisme » ce n'est pas la même chose que « troubles de l'autisme ».

MS Chiara Servili est le spécialiste de l'autisme à l'OMS à Genève (Siège social mondial). Nous la connaissons depuis 2014.


Table des matières



1. Pourquoi c'est si important

Ce sujet est de la plus haute importance, parce que le « Confusion des troubles autistiques », qui est omniprésent dans le monde, amène les gens à voir l'autisme uniquement de manière négative:
– qui ne permet pas aux personnes autistes de mener une vie digne et épanouie;
– ce qui empêche les gens de voir les qualités de l'autisme (depuis « les qualités d'un trouble » est une idée absurde), et donc de les développer;
– ce qui fait que les pouvoirs publics ne font quasiment aucun effort pour corriger le « système social » pour le rendre plus adapté aux personnes autistes (puisqu'ils croient que l'autisme est seulement « un défaut à éliminer »);
— ce qui perpétue donc une « troublé et inquiétant » environnement social et socio-généré difficilement supportable pour les personnes autistes, ce qui contribue à entretenir leurs difficultés, leur souffrance, leur exclusion (ou l'auto-exclusion, y compris le suicide),
— sans parler de la stigmatisation et du harcèlement imposés aux personnes perçues comme « fondamentalement défectueux à vie » (puisque leur nature autistique se réduit à la seule « troubles »).

C'est donc la question la plus importante pour nous, car lorsque l'on tente d'expliquer ce problème de confusion aux autorités publiques ou aux organisations de différents pays, ils font parfois référence aux pages de l'OMS qui – très malheureusement – commencer par annoncer que « autisme » c'est la même chose que « troubles de l'autisme » (lequel, même sémantiquement, n'a pas de sens).

Notre document détruit puissamment ces idées fausses.

Il faut espérer que l'OMS acceptera d'analyser nos explications et arguments, lequel, au mieux, pourrait les amener à corriger leurs pages.

Et à partir de là, nos explications de l'autisme seraient soutenues par une autorité respectée, et les choses seraient moins difficiles.




2. Notre document explicatif

Sur 10/11/2023, Nous avons envoyé un document très détaillé (81 pages) à Mme. Chiara Servili (le spécialiste de l’autisme à l’OMS), contenant de nombreuses explications afin de faire comprendre cette distinction (ce qui est essentiel à la compréhension de l’autisme), et arguments qui démontrent son utilité pour le bien-être des personnes autistes.
Secondairement, ce document résout également certains problèmes courants d'expressions inappropriées ou mal traduites.

Ce document sert de « soutien » pour notre rencontre, ce qui serait trop vague sans ça, c'est à dire. « repartir de zéro ».



2.1. Table des matières de notre document explicatif

Nous avons copié la table des matières de notre document ci-dessous, pour donner une idée rapide sans avoir à tout lire.

1. « Autisme » 6
1.1 Notre description factuelle de « Autisme » 6
1.1.1 « Caractéristique essentielle » de l'autisme 6
1.1.2 « Mental, caractéristiques sensorielles et comportementales » de l'autisme (description sans approche défectologique) 6
1.1.3 « Caractéristique d'autoprotection » de l’autisme 8
1.2. Le « défectologique » caractérisation de l'autisme (c'est à dire. de « non autiste » point de vue) 9
1.3. Conclusion essentielle 9
2. « Troubles de l'autisme » 10
2.1. Le caractère subjectif et discutable de la notion de « déficience/déficience/trouble » (lié à l'autisme) 10
2.1.1. Troubles subjectifs (lié à l'autisme) 10
2.1.2. Exemples de subjectivité à l'OMS « description technique » des troubles du spectre autistique 12
2.1.3. La subjectivité à l'OMS’s « description générale » de « troubles » 14
2.2. L'objectif, caractère factuel et indéniable de « problèmes/difficultés » 14
2.2.1. Troubles objectifs (lié à l'autisme) 15
2.2.2. Difficultés et troubles objectifs » du point de vue des autistes 16
2.3. « Socio-généré ((Déficiences)) Perturbations », selon nous 18
2.3.1. Sensoriel socio-généré ((Dépréciation)) Perturbations 19
2.3.2. Mental socio-généré ((Troubles)) Perturbations 19
2.3.3. Autres causes socio-générées ((Troubles)) Perturbations 19
2.4. Autre possible ((Dommage)) Perturbations 19
3. Troubles de l'autisme » selon l’OMS 20
3.1. L'OMS’s « description générale » de « autisme/troubles » (les deux étant confondus) 20
3.2. L'OMS « description technique » de « Troubles du spectre autistique » dans « CIM-11 / 6A02 » (SANS la confusion du « description générale ») 25
4. Notre distinction fondamentale entre « Autisme » et « Troubles du spectre autistique » 26
4.1. Quelle est cette distinction? 26
4.2. Pourquoi cette distinction est-elle si importante? 26
4.2.1. Tout simplement parce que c'est vrai (c'est à dire. parce que la confusion actuelle est fausse) 26
4.2.2. Parce que, même sémantiquement, la confusion actuelle est absurde 26
4.2.3. Parce que dans certains cas « autisme » n'est pas accompagné de « troubles » 27
4.2.4. Parce que la confusion actuelle entrave la perception et la compréhension des qualités de l'autisme (et donc leur développement) 27
4.2.5. Parce que réduire « autisme » uniquement pour « troubles » ou « carences » est très dévalorisant et dangereux 28
4.2.6. Parce que c'est préjudiciable à « apprendre sur la société » (ce qui est très utile, tant que ce n'est pas le cas « mise en page ») 28
4.2.7. Parce que la confusion actuelle favorise la stigmatisation et de graves préjugés à notre encontre 29
4.2.8. Parce que l’approche sociale générale négative et défectologique ainsi engendrée conduit à l’eugénisme (c'est à dire. une forme de génocide) 29
4.2.9. Parce que cette confusion ne favorise pas l'accessibilité pour les personnes autistes 30
4.2.10. Parce que la confusion actuelle donne lieu à des conflits permanents et inutiles entre les (généralement non autiste) partisans de l'habituel « défectologique » approche et leur (généralement autiste) adversaires 30
4.2.11. Parce que la confusion actuelle entrave la recherche et la compréhension de l’autisme 31
4.2.12. Et plus… 31
5. Le négatif/défectologique et « critique » nature des définitions de l’OMS « Autisme » et « Troubles du spectre autistique » 32
5.1. Concernant « autisme/troubles » (confus) dans le « description générale » 32
5.2. Concernant « troubles » dans le « description technique » 36
6. Autres questions importantes sur le site Web de l'OMS concernant « Autisme » et « Troubles du spectre autistique » 38
6.1. Le « Trouble du désordre anglophone » (cf. « troubles autistiques ») 38
6.2. Le « Trouble trouble francophone » (cf. « troubles autistiques ») 39
6.3. Le « Trouble du personwithisme anglo-français » (cf. « personnes autistes ») 39
6.4. Le « Trouble hittisme-affectisme francophone » (cf. « personnes atteintes d’autisme » (« personnes frappées (affecté) par l'autisme »)) 42
6.5. Le « Trouble du havisme anglophone » (cf. « être autiste ») 43
6.6 Le monde à l'envers 44
7. Détails supplémentaires sur « comorbidités », « invalidité » et « souffrance » 46
7.1. Comorbidités 46
7.1.1. Problèmes attribués à tort à l’autisme 46
7.1.2. D'autres problèmes, troubles, pathologies et maladies qui touchent fréquemment les personnes autistes 46
7.2. Le « handicap » associés à ces « troubles » 46
7.3. Le « souffrances des personnes autistes » 47
8. Notre approche positive et réaliste « Autisme » 48
8.1. « Autisme » ou nature autistique 48
8.2. Les qualités de l'autisme découlant de la nature autistique 48
8.3. Les bénéfices de ces qualités pour la société si l’on voulait mettre fin à la confusion actuelle, ce qui permettrait d'entamer les corrections/adaptations nécessaires pour les personnes autistes mais aussi salutaires pour tous 49
9. Informations Complémentaires: « Les besoins des personnes autistes » 51
9.1. L'harmonie en général 51
9.1.1. Acceptation, inclusion, équité 51
9.1.2. Aucune restriction spécifique 51
9.1.3. Harmonie et cohérence dans l'éducation et dans l'apprentissage du fonctionnement social 52
9.2. Protection contre « perturbations » (c'est à dire. ruptures d'harmonie) 52
9.2.1. Sensoriel socio-généré ((déficience)) perturbations 53
9.2.2. Mental socio-généré ((troubles)) perturbations 53
9.2.3. Autres facteurs socio-générés ((dommage)) perturbations 53
9.2.4. Autre possible ((dommage)) perturbations (non socio-généré) 53
9.3. Sécurité physique et liberté 53
9.4. Respect de la nature autiste 53
9.5. Apprendre sur « non-autisme » et l'autisme (qualités et caractéristiques) 55
9.6. Protection contre le grave piège de l’estime de soi à travers le jugement des autres (et autres pièges) 55
9.7. Découvertes, expériences, et aventures (y compris les déplacements) 56
9.8. L'épanouissement personnel et le ‘droit au bonheur’ 56
10. Une question de « cadres de référence » (ou paradigmes) – Conclusion 57
10.1 « Référentiel naturel » contre. « Référentiel artificiel » 57
10.2. Conclusion 58
10.3. En un mot 59
10.4. En une phrase... 61
Annexe A: email de l'Alliance Autiste (France) daté 01/06/2023 62
A1. Erreur de « personne avec » (et « affecté par ») 62
A2. Confusion entre « autisme » et « troubles (caractérisant l'autisme) » 63
Appendice B: Page web de l'Alliance Autiste (France) sur le « Distinction fondamentale de l'autisme ». 66
B1. Autisme 66
B2. Les difficultés spécifiques et « troubles » 66
B3. Handicaps autistiques 68
Annexe C: Lettre « À l'Organisation mondiale de la santé, et pour une organisation mondiale plus saine (OMS / COMMENT) » du 9 octobre, 2015 70
C1. Première condition de la dignité : le droit d'être en vie, le droit de naître 70
C2. Deuxième condition de la dignité : le droit de vivre où nous voulons, et comment nous voulons 72
C3. Troisième condition de la dignité : ne considérant pas comme « malade » ou « des hommes fous » des gens qui sont juste différents 72
C3b. À propos de l’autisme 73
C4. Quatrième condition principale de la dignité : guérir les gens en cas de *vraies maladies*, et pas en cas de « différences » 73
C5. En conclusion 74
D. Un exemple d'un « conjonction » de perceptions sensorielles et mentales socio-générées ((déficiences)) perturbations, vécu très récemment 76
D1. Description chronologique assez détaillée 76
D2. Le « normal non autiste » approche (bien sûr superficiel et erroné) à cette situation 79
D3. Approche « de l'Intérieur » (c'est à dire. précis et réaliste, au lieu de « devinant ») 79
D4. Comment « décider » (comment choisir) entre les deux approches opposées (« OMS’c'est vrai? ») 81
J5. La nécessité d’une meilleure compréhension de l’autisme et de la création de politiques d’accessibilité (et mesures concrètes correspondantes) pour ((désactivé)) personnes autistes handicapées 81
D6. L’idée selon laquelle certaines explications de personnes autistes pourraient être pertinentes et utiles (mais ne sont pas suffisamment pris en compte) 82
J7. Solutions possibles pour cet exemple 83



2.2. Notre document explicatif en PDF

2.2.1. En anglais

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2.2.2. En français

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2.3. Tenter de résumer notre document à l’aide de ChatGPT

2.3.1. « Autisme »

La première partie de la lettre présente une vision globale de l’autisme, visant à différencier les caractéristiques inhérentes à l’autisme de la caractérisation déféologique souvent imposée par les perspectives non-autistes.

1.1 Notre description factuelle de « Autisme »

1.1.1 « Caractéristique essentielle » de l'autisme: L’autisme est décrit comme une différence humaine naturelle présente dès la naissance, apparentés à d’autres traits génétiques comme l’albinisme ou des caractéristiques physiques telles que la taille. On insiste sur le fait que l’autisme est génétique et héréditaire.

1.1.2 « Mental, caractéristiques sensorielles et comportementales » de l'autisme:

    • Manque d’intérêt pour les interactions sociales et les normes sociales conventionnelles, ce qui peut entraver la communication et la compréhension des signaux sociaux.
    • Intérêts et orientation non conventionnels, ainsi qu’un mépris pour les jugements sociaux.
    • Une tendance à remarquer et à être dérangé par les anomalies ou les erreurs, ainsi qu’un besoin de précision et d’ordre.
    • Sensibilité aux troubles sensoriels et préférence pour la fiabilité et la vérité.
    • Perspicacité à l’égard des tendances générales ou des structures sous-jacentes des choses, malgré le fait de s’écarter des normes sociales.

1.1.3 « Caractéristique d'autoprotection » de l’autisme: L’autisme est décrit comme ayant une résistance à l’autoprotection, Appelé « rigidité », qui préserve voire améliore les caractéristiques susmentionnées.

1.2 « Défectologique » caractérisation de l'autisme

Explique comment l’autisme est perçu négativement dans les normes sociétales, ce qui conduit à le caractériser comme un trouble d’un point de vue non autistique.

1.3 Conclusion essentielle

Met l’accent sur la distinction entre le fait d’être caractérisé par certains traits et le fait d’être défini par ceux-ci, affirmer que l’autisme se caractérise par certaines difficultés, mais qu’il n’est pas intrinsèquement défini par celles-ci.

Total, L’autisme est décrit comme une variation naturelle de la diversité humaine, avec son propre ensemble de caractéristiques qui peuvent s’écarter des normes sociétales, mais qui ne sont pas intrinsèquement négatives ou pathologiques.


2.3.2. « Troubles de l'autisme »

La deuxième partie du texte se penche sur le caractère subjectif et discutable de la notion de « déficience/déficience/trouble » lié à l'autisme, ainsi que l’objectif, Difficultés et problèmes factuels rencontrés par les personnes autistes. Ici’De plus, il n’y a pas d:

2.1. Caractère subjectif et discutable de la « Déficience/Carence/Trouble »

    • De nombreux comportements problématiques perçus comme des déficiences par les personnes non autistes sont en fait des questions de perspective.
    • Par exemple, le fait de ne pas s’intéresser aux relations sociales compliquées, ayant des intérêts restreints, et lutter contre le changement.
    • Le texte met en évidence comment les normes sociétales entrent souvent en conflit avec les caractéristiques autistiques, conduisant à la perception de troubles.
    • Elle fait valoir que ce que’considéré comme un trouble peut être une qualité dans un contexte sociétal différent.

2.2. Objectif, Factuel, et la nature indéniable des problèmes et des difficultés

    • Reconnaît que, quelles que soient les perspectives subjectives,, Les difficultés et les problèmes auxquels sont confrontées les personnes autistes existent et doivent être résolus.
    • Reconnaît que, bien que certaines difficultés découlent de l’interaction entre les traits autistiques et les normes sociétales, d’autres sont inhérents et objectivement problématiques.
    • Différencie les troubles subjectifs (vu d’un point de vue non-autiste) et les difficultés objectives vécues par les personnes autistes.

2.3. Socio-généré ((Mal)) Perturbations

    • Introduit le concept de Perturbations Socio-Générées, qui sont des facteurs externes de l’environnement social qui perturbent les personnes autistes.
    • Ces perturbations comprennent les troubles sensoriels, mental, et d’autres perturbations causées par les normes sociétales, Attentes, et les facteurs environnementaux.
    • Décrit comment ces troubles affectent les personnes autistes et souligne l’importance de les comprendre pour relever efficacement les défis liés à l’autisme.

2.4. Autres possibles ((Mal)) Perturbations

    • Laisse place à la prise en compte d’autres types de perturbations que celles liées à l’environnement social.
    • Reconnaît la complexité des facteurs qui contribuent aux défis auxquels sont confrontées les personnes autistes et suggère une exploration plus approfondie..

Total, Le texte plaide en faveur d’une compréhension nuancée de l’autisme qui tient compte à la fois des perspectives subjectives et des défis objectifs auxquels sont confrontées les personnes autistes, en mettant l’accent sur l’élimination des obstacles sociétaux et la promotion de l’acceptation et de l’accommodement.


2.3.3. « Troubles de l'autisme » selon l’OMS

Chapitre 3 se penche sur l’OMS’S descriptions des troubles du spectre de l’autisme (TSA), Se concentrer sur la distinction entre l’autisme et les troubles autistiques. Il met en évidence les écarts dans l’utilisation de la langue qui contribuent à la confusion.

3.1 discute de l’OMS’s « description générale » de l'autisme,

où les termes « autisme » et « troubles de l'autisme » sont utilisés de manière interchangeable, semer la confusion. Le chapitre critique l’utilisation d’un langage qui implique que l’autisme est une maladie, insistant sur la nécessité d’une terminologie claire.

3.2 examine l’OMS’s « description technique » des TSA dans la CIM-11/6A02,

ce qui évite d’assimiler l’autisme aux troubles autistiques. Il souligne l’importance d’un langage précis, mais souligne d’autres problèmes, telle qu’une approche déféologique, seront abordés dans les sections suivantes.


2.3.4. Notre distinction fondamentale entre « Autisme » et « Troubles du spectre autistique »

4.1. Distinction Définition

Il clarifie la différence entre « Autisme » et « les Troubles qui la caractérisent, » en soulignant son importance fondamentale.

4.2. Importance de la distinction

    • 4.2.1. Véracité: La distinction est essentielle car la confusion actuelle est inexacte.
    • 4.2.2. Clarté sémantique: Assimiler « Un » avec « les problèmes de A » est absurde, C’est comme si l’on disait « bicyclette » (ou « cyclisme ») est la même chose que « Les bienfaits du vélo. »
    • 4.2.3. Variabilité de la présentation: Parfois « autisme » ne peut pas être accompagné d’un « troubles, » en particulier dans les cas bénins et les environnements favorables.
    • 4.2.4. Reconnaissance des qualités autistiques: La confusion actuelle néglige les forces et les prodiges autistiques, Perpétuer une vision négative de l’autisme.
    • 4.2.5. Dignité et estime de soi: Réduire « autisme » uniquement pour « troubles » dévalorise les personnes autistes, contribuant à une faible estime de soi et même au suicide.
    • 4.2.6. Apprentissage et adaptation: La confusion actuelle entrave les personnes autistes’ l’adaptation à la société en les qualifiant de fondamentalement déficients.
    • 4.2.7. Stigmatisation et préjugés: Interpréter à tort l’autisme comme un trouble conduit au rejet de la société, discrimination, et même l’eugénisme.
    • 4.2.8. Accessibilité: Comprendre correctement l’autisme est essentiel pour créer des environnements et des politiques accessibles aux personnes autistes.
    • 4.2.9. Résolution des conflits: La confusion conduit à des conflits entre ceux qui considèrent l’autisme comme un défaut et ceux qui embrassent leur nature autistique.
    • 4.2.10. Recherche et compréhension: Distinction entre « Autisme » et « Troubles du spectre autistique » est essentiel à la recherche et à la compréhension.
    • 4.2.11. Et plus: Diverses autres raisons appuient l’importance de cette distinction, bien qu’ils ne soient pas tous explicitement énumérés.

2.3.5. Le négatif/défectologique et « critique » nature des définitions de l’OMS « Autisme » et « Troubles du spectre autistique »

5.1. Concernant « autisme/troubles » (confus) dans le « description générale »

Ce chapitre présente les mots dans le texte de l’OMS qui sont » défectologique « .

Le langage utilisé dans les textes de l’OMS a tendance à véhiculer une perspective négative, suggérant que ceux qui ne correspondent pas aux normes sociétales sont intrinsèquement défectueux.
Il y a une critique de l’utilisation du mot « atteint(e)(s) » dans le texte français, ce qui contribue à une impression négative.
Bien que la version anglaise soit moins problématique, Il y a encore des problèmes avec la terminologie « risque d’autisme » et assimiler le TSA à l’autisme.

5.2. Concernant « troubles » dans le « description technique »

Ce chapitre présente les mots dans le texte de l’OMS qui sont » défectologique « .


2.3.6. Autres questions importantes sur le site Web de l'OMS concernant « Autisme » et « Troubles du spectre autistique »

6.1. Trouble du désordre anglophone

Le terme « troubles » dépeint à tort l’autisme comme un défaut personnel plutôt que comme une réponse aux insuffisances de la société.

6.2. Trouble trouble francophone

De la même façon, le terme français « troubles » implique que les personnes autistes sont troublées, alors que les conditions sociétales sont souvent source de détresse.

6.3. Trouble du personwithisme anglo-français

L’expression « personnes autistes » suggère à tort que l’autisme est détachable de l’individu, saper l’identité autistique.

6.4. Trouble hittisme-affectisme francophone

Décrire les individus comme suit : « touchés par l’autisme » perpétue l’idée fausse que l’autisme est une maladie, plutôt qu’un aspect inhérent à l’identité.

6.5. Trouble du havisme anglophone

Dicton « être autiste » implique la propriété d’une condition, renforcer l’idée que l’autisme est quelque chose d’indésirable.

6.6. Le monde à l'envers

La société comprend souvent mal l’autisme, le voir à travers une lentille déformée qui met l’accent sur les déficits plutôt que sur les lacunes de la société.

Essentiellement, Ces nuances linguistiques reflètent des idées fausses sociétales plus larges sur l’autisme, perpétuer la stigmatisation et entraver les efforts de compréhension et d’acceptation.


2.3.7. Détails supplémentaires sur « comorbidités », « invalidité » et « souffrance »

Cette section fournit des informations supplémentaires sur « comorbidités, » « invalidité, » et « souffrance » lié à l'autisme, en insistant sur le fait que ces aspects ne sont pas essentiels pour comprendre la nécessité de la distinction fondamentale décrite dans les sections précédentes.

7.1 Comorbidités

    • Des problèmes comme la dépression sont attribués à tort uniquement à l’autisme, mais affectent les personnes autistes qui ont été socialisées. Ces problèmes doivent être abordés sans les confondre avec l’autisme lui-même.

7.2 Le « handicap » associés à ces « troubles »

    • Le handicap provient des barrières sociétales, l’absence de mesures d’accessibilité ;, Services d’aide sociale, et la compréhension de l’autisme et du non-autisme par les familles et l’environnement social au sens large.

7.3 Le « souffrances des personnes autistes »:

    • Les personnes autistes souffrent principalement des conséquences de l’absence de prise en compte de l’autisme plutôt que de l’autisme lui-même.

Total, Le texte met l’accent sur la nécessité d’une compréhension nuancée de l’autisme et des défis auxquels sont confrontées les personnes autistes au-delà de la condition elle-même.


2.3.8. Notre approche positive et réaliste « Autisme »

8.1. Comprendre l'autisme’s La nature

Le texte traite de la distinction entre l’autisme et l’autisme ‘troubles autistiques,’ suggérant que l’autisme représente une forme d’autoprotection ou de résistance, préserver l’harmonie naturelle au sein des individus ou même au sein de l’espèce humaine.

8.2. Qualités de l’autisme

Il reconnaît le défi que représente la description de l’autisme’De par leur complexité, ils ne sont pas des. Toutefois, Cela suggère que les caractéristiques décrites plus haut dans le texte ressemblent à des points positifs ou à des qualités.

8.3. Avantages pour la société

Le texte plaide en faveur des avantages de la reconnaissance et de l’adoption des qualités de l’autisme pour la société. Il met l’accent sur l’importance de corriger la confusion sociétale au sujet de l’autisme et sur la nécessité d’adaptations sociétales pour réduire les préjudices et promouvoir le bien-être de tous les individus, y compris les personnes autistes. Le texte exhorte à comprendre l’autisme au-delà des manifestations négatives et considère les personnes autistes comme des contributeurs précieux à l’amélioration de la société.


2.3.9. Informations Complémentaires: « Les besoins des personnes autistes »

9.1. L’harmonie en général

    • 9.1.1. Les personnes autistes ont besoin d’être acceptées, inclusion, et l’équité dans tous les milieux en raison de leurs droits et de la nécessité de l’intégration sociale pour réduire la détresse et promouvoir l’estime de soi.
    • 9.1.2. Les personnes autistes ne devraient pas être confrontées à des restrictions spécifiques au-delà de celles qui s’appliquent aux autres, en particulier en évitant la surprotection au sein de la dynamique familiale.
    • 9.1.3. La cohérence et la cohérence des règles et de leur application sont cruciales dans les contextes éducatifs et sociaux pour tenir compte des préférences cognitives des personnes autistes en vue de l’harmonie et de l’équité.

9.2. Protection contre « Perturbations »

Divers troubles socio-générés, y compris les perturbations sensorielles et mentales, posent des défis importants aux personnes autistes, nécessitant une reconnaissance sociétale et des mesures pour atténuer ces impacts.

9.3. Sécurité physique et liberté

Assurer la sécurité physique et la liberté des personnes autistes est essentiel pour faciliter les expériences de vie et les découvertes uniques, nécessitant des outils tels que des systèmes de repérage GPS fiables, le cas échéant.

9.4. Respect de la nature autistique

Met l’accent sur l’enrichissement apporté par les personnes autistes à la biodiversité humaine, exhorter la société à embrasser l’autisme plutôt que de l’éradiquer par des mesures axées sur l’harmonie et la correction des erreurs sociétales.

9.5. Apprendre sur « Non-autisme » et l’autisme

Souligne l’importance de comprendre à la fois le non-autisme et l’autisme pour naviguer efficacement dans les systèmes sociétaux, tout en préservant l’estime de soi en appréciant les qualités de l’autisme.

9.6. Protection contre les pièges de l’estime de soi

Reconnaît les dangers des problèmes d’estime de soi découlant des jugements sociétaux et souligne la nécessité de protéger les personnes autistes de ce piège tout en les éduquant sur ses mécanismes..

9.7. Expériences et aventures

Plaide pour permettre aux personnes autistes de poursuivre leurs expériences, péripéties, et des voyages pour faciliter l’apprentissage et l’épanouissement personnel, S’aligner sur les principes d’acceptation et d’accommodement.

9.8. L’épanouissement personnel et la ‘Droit au bonheur’

Souligne la nécessité d’approches holistiques pour répondre aux besoins des personnes autistes, soulignant que cela est incompatible avec les perspectives réductionnistes qui se concentrent uniquement sur les troubles.

Total, Le texte souligne l’importance de comprendre et de prendre en compte les divers besoins et préférences des personnes autistes dans les cadres sociétaux afin de promouvoir l’inclusion, équité, et l’épanouissement personnel.


2.3.10. Une question de « cadres de référence » (ou paradigmes) – Conclusion

10.1. Naturel vs. Cadres de référence artificiels

Le document oppose deux cadres de référence: le « Cadre naturel » caractérisé par l’harmonie et la cohérence, auxquels les personnes autistes s’adaptent naturellement, et l' « cadre artificiel » marquées par la disharmonie et l’incohérence, Poser des défis aux personnes autistes.

10.2. Conclusion

Comprendre la nature subjective des troubles autistiques et reconnaître l’autisme’est cruciale. Il est essentiel de mettre fin à la confusion entre l’autisme et les troubles pour apprécier les personnes autistes’ contributions et d’éviter des souffrances inutiles.

10.3. En un mot

Accepter l’autisme comme une variation naturelle plutôt que comme un défaut permet une meilleure adaptation et une vie digne. Toutefois, Les perceptions sociétales doivent changer pour faciliter cette compréhension et offrir des conditions équitables aux personnes autistes.

10.4. En une phrase

« Ce n’est pas une mesure de la santé que d’être (puits) s’est adapté à une société profondément malade. »
– Jiddu Krishnamurti

Total, La conclusion souligne l’importance de redéfinir les perceptions de l’autisme pour favoriser l’acceptation, compréhension, et un traitement équitable pour les personnes autistes.

La conclusion du document met en évidence le contraste frappant entre les « naturel » et « artificiel » Cadres de référence concernant l’autisme.
Il affirme que les personnes autistes s’alignent naturellement sur une, Existence véridique, alors que les constructions sociétales imposent souvent des disharmonies et des mensonges.
En reconnaissant l’autisme’qualités intrinsèques et les distinguer des troubles perçus, La société peut mieux apprécier les contributions uniques des personnes autistes et alléger les souffrances inutiles.
La conclusion appelle à un changement fondamental dans la perception sociétale afin d’offrir des conditions équitables aux personnes autistes, soulignant la nécessité pour l’Organisation mondiale de la santé’participe à la lutte contre l’incompréhension généralisée de l’autisme et à la correction de celle-ci..
Finalement, La conclusion plaide en faveur d’un changement de paradigme vers l’acceptation, compréhension, et l’équité pour les personnes autistes au sein de la société.


2.3.Un. Annexe A: e-mail de l’Alliance Autiste (France)

L’annexe A est un courriel de l’Alliance Autiste (France) adressée à Michelle Funk et Nathalie Drew Bold de l’Organisation mondiale de la Santé’Département de la santé mentale et de la toxicomanie. Daté de juin 1, 2023, il met en lumière deux questions cruciales concernant l’OMS’Désignations et approches de l’autisme.

A.1. Erreur de « personne avec »

L’e-mail signale l’utilisation inappropriée de « les personnes atteintes d’autisme » au lieu de « personnes autistes », insister sur le fait que l’autisme fait partie de leur nature et de leur identité ;, pas quelque chose qu’ils portent ou portent. Il critique également la traduction française « personnes atteintes d’autisme » (« Personnes touchées par l’autisme ») comme trompeuses et stigmatisantes.

A.2. Confusion entre « autisme » et « troubles »

L’e-mail fait état d’une confusion persistante entre « autisme » et « troubles autistiques » dans les documents de l’OMS, ce qui nuit à la compréhension et perpétue la stigmatisation. Il soutient que l’autisme et ses troubles associés sont corrélés mais distincts, exhortant l’OMS à corriger cette idée fausse.

L’e-mail se termine par une demande d’éclaircissements sur l’OMS’prévoit de s’attaquer à ces problèmes et offre l’expertise et la consultation de spécialistes de l’autisme. Il souligne l’importance d’une terminologie précise pour le bien-être des personnes autistes dans le monde.


2.3.B. Appendice B: Page web de l'Alliance Autiste (France) sur le « Distinction fondamentale de l'autisme »

L’annexe B résume le contenu d’une page Web d’Alliance Autiste (France) Intitulé « Distinction fondamentale de l’autisme. » Le document souligne l’importance de faire la distinction entre l’autisme et les troubles autistiques. Voici les points clés:

B.1. L’autisme en tant que caractéristique naturelle de l’être humain

L’autisme est décrit comme une caractéristique biologique naturelle de l’être humain, S’apparente à l’albinisme, et fait partie de la biodiversité humaine. Il souligne la nécessité de protéger et de développer les qualités associées à l’autisme.

B.2. Différencier l’autisme des troubles autistiques

Le document met l’accent sur la distinction entre l’autisme lui-même et les difficultés et troubles spécifiques qui lui sont associés. Ces difficultés sont classées en troubles subjectifs et problèmes liés aux déficiences, en insistant sur le fait qu’elles ne sont pas inhérentes à l’autisme, mais qu’elles résultent de facteurs socio-générés.

B.3. Handicaps résultant d’un environnement non autiste

Les handicaps autistiques sont attribués à des difficultés et à des troubles résultant de facteurs sociétaux plutôt qu’à l’autisme lui-même. Il soutient que l’autisme n’est pas la cause directe des handicaps, mais plutôt l’incapacité de la société à s’adapter de manière appropriée à l’autisme.

B.4 Clarifier les idées fausses sur l’autisme et les handicaps

Le document remet en question l’idée que l’autisme est un handicap en soi, en insistant sur le fait qu’elle entraîne souvent des handicaps dus à des barrières sociétales. Il appelle à une meilleure compréhension de l’autisme et à la réduction des déficiences qui affectent les personnes autistes.

B.5. Analogie avec la gaucherie

Le texte se termine par une analogie comparant l’autisme à la gaucherie, Souligner que le fait d’être autiste n’est pas une déficience, mais un mode de fonctionnement différent qui nécessite l’acceptation et l’adaptation de la société..

Total, L’annexe préconise la reconnaissance et le respect des caractéristiques distinctes de l’autisme et la lutte contre les idées fausses de la société qui contribuent à la marginalisation des personnes autistes.


2.3.C. Annexe C: Lettre « À l'Organisation mondiale de la santé, et pour une organisation mondiale plus saine (OMS / COMMENT) » du 9 octobre, 2015

À la lettre « À l’Organisation mondiale de la Santé et pour une Organisation mondiale en meilleure santé (OMS / COMMENT) » daté du 9 octobre, 2015, exprime Eric L.’Réflexions personnelles sur la dignité en matière de santé mentale. La lettre aborde plusieurs points clés:

C.1. Le droit de naître

Éric L. défend le droit à la vie des personnes présentant des différences neurologiques, comme l’autisme et le syndrome de Down, Soulignant les inquiétudes concernant la tendance à l’eugénisme et à l’avortement sélectif fondé sur le handicap. Il s’oppose à l’ingérence dans le cycle naturel de la vie et met l’accent sur la valeur de chaque individu’L’existence de l'.

C.2. Le droit de vivre où et comme on veut

Il appelle à la désinstitutionnalisation et à l’inclusion des personnes ayant des différences mentales dans la société en tant que citoyens à part entière, soulignant l’importance de la liberté et de l’égalité des droits pour tous.

C.3. Éviter la stigmatisation et les diagnostics erronés

Éric L. s’oppose à ce que les gens soient étiquetés comme « malade » ou « fou » tout simplement parce qu’ils sont différents, insistant sur la nécessité de comprendre et d’accepter plutôt que de tenter de « C’est bien ça » ou « guérir » sur la base d’idées fausses.

C.4. Guérir de vraies maladies, Pas de différences

Il insiste sur l’importance de faire la distinction entre les véritables troubles de santé mentale et les différences de pensée ou de comportement, Plaider en faveur de la compréhension et de l’accommodement compatissants plutôt que d’essayer de normaliser des personnes qui sont intrinsèquement différentes..

C.5. S’attaquer aux causes profondes

Éric L. appelle à s’attaquer aux causes sous-jacentes des problèmes sociétaux, tels que les mensonges, Illusions, possession, et les obsessions du pouvoir, plutôt que d’essayer de guérir ou d’éradiquer les victimes de ces problèmes. Il insiste sur la nécessité d’une meilleure compréhension des problèmes de santé mentale et d’une tendance à s’attaquer aux constructions sociétales qui contribuent à la détresse mentale.

Total, La lettre plaide en faveur d’un plus grand respect, compréhension, et l’acceptation des personnes présentant des différences neurologiques, remettre en question les normes sociétales et appeler à une approche plus compatissante et inclusive de la santé mentale ;.


2.3.D. Un exemple d'un « conjonction » des troubles sensoriels et mentaux socio-générés, vécu très récemment

Ce texte décrit une expérience personnelle récente impliquant une série de troubles sensoriels et mentaux socio-générés qui se sont produits de manière inattendue. La situation impliquait de multiples perturbations qui se produisaient presque simultanément, ce qui rend difficile l’adaptation. Alors que le compte personnel détaillé est disponible ailleurs, Le document tente de dépersonnaliser et de décrire les problèmes.

La description chronologique décrit divers troubles sensoriels et mentaux, y compris les attouchements non désirés, Perception d’une injustice, Frustration face aux obstacles à la communication, Envahissement de souvenirs douloureux, inconfort dû à la température, et plus encore. Ces troubles ont culminé lors d’une rencontre pénible avec une personne qui l’a touchée de manière inattendue, exacerber l’agitation mentale existante.

Le document met en contraste les « normal non autiste » perspective, qui pourrait percevoir l’individu comme irrationnel ou souffrant de troubles mentaux, avec le point de vue de l’intérieur de l’expérience. De la personne autiste’De plus, il n’y, Les perturbations sont des réactions à des comportements et à des normes sociétales qui ne tiennent pas compte de leurs sensibilités et de leurs besoins.

Le texte plaide pour une meilleure compréhension de l’autisme et la création de politiques d’accessibilité pour soutenir les personnes autistes. Il suggère des mesures pratiques telles que l’optimisation des voies préférentielles pour inclure des rappels de distanciation sociale, former le personnel à reconnaître les comportements autistiques et à y réagir ;, Résolution des problèmes liés aux paramètres environnementaux, et promouvoir l’acceptation et la compréhension de la neurodiversité.

Total, Le document préconise un changement dans les attitudes et les politiques sociétales afin de reconnaître et d’accommoder les besoins et les sensibilités uniques des personnes autistes, plutôt que de pathologiser leurs comportements.




3. Réunion

(Une réunion à distance est prévue en novembre (ou décembre) 2023)

La rencontre avec Mme Chiara Servili a eu lieu le 13 décembre à 22h00 CET, et a duré 1 heure et 20 min.



3.1. Transcription intégrale de notre rencontre

CS = Chiara Servili (OMS, Organisation Mondiale de la Santé)
IL = Éric L. (Organisation Diplomatique de l’Autistan)


0. (salutations et ajustements techniques)


1. IL: Merci beaucoup d'avoir accepté cette rencontre. Je pense que nous nous sommes rencontrés 2014 et 2015, en octobre,
[CS: Oui]
C’était il y a longtemps, et depuis, Je’J’essaie de continuer à faire ce que je peux pour lutter contre l’autisme, pour l’autisme, pour la cause, et mes pensées ont évolué, sont plus précis (peut-être), et maintenant, la situation est que je pense qu’il y a vraiment un gros problème avec ce que j’appelle la confusion entre « autisme » et ce qu’ils appellent « Les troubles de l’autisme ».


2. CS: Oui, J’ai lu votre document. Puis-je vous poser quelques questions ? ?
[IL: Bien sûr]
Oui, parce que je pense que, Comme vous le disiez, Il s’agit d’un domaine en pleine évolution, Il y a eu beaucoup d’évolution rapide dans la pensée et la perception de notre façon de comprendre ou de conceptualiser les troubles du spectre autistique.
Et donc la terminologie est un problème, Pour être honnête, parce que d’un côté, nous, en tant qu’OMS, nous nous référons à la classification de la CIM-11, Et là, bien sûr, nous avons cette catégorie de troubles neurodéveloppementaux, Et en dessous, nous avons des troubles du spectre autistique, C’est donc présenté comme un désordre et cela nous crée déjà des problèmes parce que même [pour] « Troubles mentaux », actuellement, La terminologie est critiquée, ainsi [nous] L’OMS, par exemple, dans le domaine plus large de la santé mentale, nous évitons de parler de troubles, Nous utilisons la santé mentale « conditions », juste à cause de la connotation négative des troubles en soi.
Mais oui pour l’autisme’Il est également difficile de s’en éloigner. « Troubles du spectre de l’autisme », il n’y a pas d’autre terminologie qui a été proposée pour définir la condition conformément à la CIM-11.


3. CS: Il s’agit donc d’un aspect, d’un côté, nous avons donc cet héritage de la CIM-11, à laquelle nous nous référons, et à l’autre bout, Je vois la valeur de la perspective de la neurodiversité, et moi, en lisant votre document, je pense que vous’À l’heure actuelle, il n’y a « Neurodiversité » dans vos écrits et je me demandais comment vous pensez, Quelle est votre perception à ce sujet, parce qu’au début, dans l’introduction, je pense, la façon dont vous parlez de la diversité dans le monde biologique… Minorités…
[IL: « Biodiversité humaine »]
…Oui, donc vous faites référence à ce concept, Et dans une certaine mesure, la conceptualisation de l’autisme en remettant en question la perspective sur les déficits et les difficultés est similaire à celle du mouvement de la neurodiversité, et l’aspect social que vous mettez également en avant, comme étant central en termes d’adaptation de l’environnement social par rapport à [gloussements / Souriant] Le fait que [L’idée] que « L’autisme est le problème » et il faut le changer, Ce que je veux dire, c’est que les symptômes créent un non-ajustement avec l’environnement, C’est donc la même chose, Je me demande donc ce que vous pensez du mouvement de la neurodiversité.


4. IL: Tout cela est difficile et vous avez vraiment parlé de sujets très difficiles, Mais nous devons essayer de nous comprendre les uns les autres, et pour moi c’est’De plus, il n’y a pas d’autre choix, mais pour essayer de vous répondre, Je’m pas contre la neurodiversité [approche], Je n’ai pas’J’utilise ce terme pour dire que c’est le cas. : pourquoi ? Il y a une raison pour laquelle je ne’t l’utiliser : parce que je pense que l’autisme n’est pas seulement une question neurologique.
De toute évidence, il s’active, pour ainsi dire, le système neurologique, à cause de ce que j’appelle le « perturbations », (en français, les « Atteintes »), C’est donc neurologique parce que nous « recevoir » ce que j’appelle cela des perturbations, Il s’agit donc de l’élément externe, Choses sensorielles, et aussi dans le cerveau bien sûr’De plus, il n’y a pas d’autre solution, (tu le sais mieux que moi), Il est donc’Il y a beaucoup à voir avec la neurologie bien sûr, mais à mon avis, c’est’S’il n’y a qu’un aspect, c, Je veux dire que la neurologie n’est qu’un mécanisme intermédiaire entre notre vrai moi, notre vrai nous-mêmes, et le reste du monde : il’s juste un outil…
J’ai donc’m pas contre la neurodiversité [approche] mais j’ai toujours eu un petit problème parce que ça réduit l’autisme à quelque chose de neurologique : pourquoi ?…
Je n’ai pas’Je ne sais pas s’il y a une’Ce que j’essaie d’expliquer est très clair.…


5. IL: Et il y a aussi un autre problème avec le neuro… comment dire dire dire… Je l’aime bien, mais les mouvements, les communautés et toutes ces choses, Ils ont tendance à ne voir qu’un seul côté, « noir ou blanc », pour ainsi dire, et bien sûr les personnes qui militent dans le mouvement de la neurodiversité, ils ne sont pas dans ce que nous appelons le « Forte douleur » personnes autistes, qui sont très profondément handicapés…
Ils voient donc la réalité de leurs propres yeux et ont moins de défis à relever, Ils ont donc tendance à moins se rendre compte de la difficulté des défis de la majorité des personnes autistes, Je pense que quelque chose comme peut-être 90%, Ils ne seraient même pas en mesure de participer à un tel mouvement parce qu’ils’Je ne comprends pas ce que c’est.…
Et aussi en France par exemple, les personnes autistes sévèrement handicapées, nous n’avons pas’J’en vois beaucoup dans les rues, par exemple, ou dans les magasins ou dans les [etc.]…
Ici au Brésil, on peut les voir, ils sont gratuits, mais en France on n’a pas’Nous ne pouvons pas les voir, alors nous n’avons pas besoin d’être’Et c’est là qu'… Nous, la lumière / les personnes autistes légères que nous… me, dans le passé, Je n’avais pas vraiment réalisé à quel point c’était un problème, Il y a vraiment un problème, nous ne pouvons pas dire « Oh !’Il n’y a pas de différence entre les deux, et il n’y a pas d’s pas de problème ».
Ainsi, quand je dis cela, quand je dis « Oh !’Il n’y a qu’une différence entre les deux. », le voici’Il est très important de comprendre la différence entre l’autisme et les troubles de l’autisme. [ou « troubles »].
Je’Je ne nie pas les ennuis : Bien sûr, il y a des problèmes et cela’Pourquoi le mouvement de la neurodiversité, Ils bouleversent vraiment les familles quand ils ont cette approche qui tend à minimiser les difficultés parce que les familles qu’ils vivent font parfois des cauchemars 24 heures par jour, Il est donc’C’est vraiment insultant pour eux, Nous devons donc être honnêtes…


6. IL: Donc de toute façon pour moi c’est’Il est évident que l’autisme est quelque chose de, c’est l’autisme, il’S’il y a une différence naturelle, comme je l’ai dit, comme le fait d’être albinos (ainsi, albinisme) et d’autres choses de ce genre, et à mon avis, L’autisme en soi, en soi, n’est pas vraiment un problème.
Et les troubles, Les difficultés, comme j’ai essayé de l’expliquer dans mon document, Il y a les difficultés ou les désordres qui ne sont qu’une question de point de vue, par exemple, Le meilleur exemple est l’incapacité de mentir, ce qui est, d’un point de vue social, un problème, un trouble, un déficit, un défaut et ainsi de suite, mais d’un autre point de vue (Le point de vue de « La vie telle qu’elle devrait être »), il’C’est bon, c’est bon,’s une très belle qualité !
C’est ce que j’appelle les troubles subjectifs ou des choses comme ça, Et il y a aussi les problèmes objectifs qui sont vraiment de gros problèmes : si un enfant ou un adulte est incapable de manger correctement ou fait pipi dans la rue, etc, C’est vraiment un problème, Il ne faut pas dire qu’il n’y a pas de problème.
Ainsi… En d’autres termes, On pourrait dire que l’autisme est une différence humaine avec des qualités et des défauts.
Il y a les qualités. Il y a des qualités très importantes… C’est vrai…


7. IL: Et en plus de ça, quand on voit surtout les défauts d’une personne autiste (principalement parce qu’il ou elle n’est pas dans le bon environnement – Environnement social ou socio-généré), Ses qualités autistiques sont complètement bloquées à l’intérieur, et il’Il est presque impossible d’évoluer, pour développer ces choses.


8. IL: Et il y a aussi autre chose. Je pense aussi que les gens ne devraient pas être obligés d’être des génies et d’avoir des qualités particulières et de faire des choses incroyables, etc., d’avoir le droit de vivre décemment, C’est très important…
Alors je n’ai pas’Je ne sais pas si j’ai répondu exactement à votre question, mais nous essayons…


9. CS: Oui… Oui, Ce qui résonne vraiment en moi, c’est cette reconnaissance de l’hétérogénéité, la variabilité de l'… Quand on parle d’autisme… Les personnes peuvent avoir des difficultés très graves, et et peut en avoir des bénignes… ou peut-être… peut-être vraiment avoir un peu… Oui, quelques différences dans la façon d’interagir, communication, mais cela ne crée pas d’affaiblissement.
Il y a donc des extrêmes de variabilité dans ce à quoi nous nous référons lorsque nous parlons de l’autisme, et… Je suis tout à fait d’accord avec vous pour dire que, même si je trouve que le concept sur la neurodiversité est très bon (J’aime beaucoup), J’ai également été confronté au point de vue des soignants et ils sont absolument préoccupés et craignent que l’OMS ne parle de neurodiversité et ne s’éloigne du langage de la CIM-11 parce qu’ils’peur de perdre le droit d’avoir accès à des services, et en particulier dans les ????? pays où les gouvernements doivent faire des choix.
Ils s’inquiètent du fait que les enfants qui sont par exemple peu verbaux (ils’De plus, il n’est pas possible de communiquer avec les, ils ont de graves problèmes de comportement, par exemple l’automutilation), que… Je veux dire… Les familles sont vraiment préoccupées par le fait de ne pas obtenir le soutien du gouvernement en ce qui concerne les services qui, selon elles, pourraient être utiles à leurs enfants…


10. CS: Il y a donc cette perspective différente, et je trouve que vous reconnaissez les différents éléments de… Oui, il y a une diversité, et l’autisme peut être conceptualisé comme un… naturel… variation… de certains phénotypes ou de certaines caractéristiques, de nous en tant qu’être humain, mais aussi en reconnaissant que certaines personnes atteintes de troubles du spectre de l’autisme ont des déficiences sévères qui créent des difficultés dans leur vie et même dans leur bien-être.


11. CS: WCe qui n’est pas est moins clair pour moi, est pourquoi…
Ainsi, Je tiens d’abord à préciser la « Fiche ».
La fiche d’information a été rédigée avec seulement « Troubles du spectre de l’autisme ». Il s’agissait d’une fiche d’information sur les troubles du spectre de l’autisme.
L’équipe de communication a estimé qu’il n’était pas bon de parler des troubles du spectre de l’autisme dans une fiche d’information, car la fiche d’information n’est pas un document technique, il’Il s’agit d’un document sur le site Web destiné au grand public. [c'est à dire. public non professionnel], donc pour les gens, pas pour pas un document technique.
Ils s’opposaient donc à l’utilisation de « trouble du spectre de l’autisme » Et ils ont dit « Nous devons utiliser l’autisme, C’est le mot que le peuple utilise », Et donc, en gros, ça a été changé, Il s’agissait d’une fiche d’information sur les troubles du spectre de l’autisme, C’est devenu une fiche d’information où l’autisme a été utilisé, et j’essaie d’expliquer le début que…
[IL: C’est là le gros problème.]
Oui je comprends, Donc, juste pour que la fiche d’information ait été rédigée avec « Troubles du spectre de l’autisme » au lieu de « autisme ».
Je peux donc comprendre votre point de vue. Je pense que ce que notre équipe de communication a essayé de faire est quelque chose de similaire à ce qui a été fait pour le domaine de la santé mentale.
En tant qu’expression de la reconnaissance de l’inquiétude du public à l’égard de l’utilisation de certains mots, une terminologie qui a une connotation négative, Nous nous sommes éloignés de l’utilisation de « troubles ».
Donc, au lieu de dire « Troubles mentaux », [Nous disons] « Problème de santé mentale ».
Nous avions donc l’intention d’aller dans cette direction avec cette fiche d’information et d’éviter [À] utiliser « troubles », parce qu’il y a beaucoup de…


12. IL: Je vois… Lorsque vous supprimez… Normalement, c’est le cas « Troubles du spectre de l’autisme » : Si vous vous contentez d’écrire « autisme » puis tu donnes un coup de pied « troubles »,
[CS: Exactement]
donc ça a l’air bien, Cela semble bon pour le grand public, et pour votre équipe…
Mais en fait, de mon point de vue, c’est’C’est un gros problème…

Laissez-moi vous dire, il’C’est vraiment un gros problème, parce qu’à chaque fois on essaye en France avec Alliance Autiste, lorsque nous essayons d’expliquer à la Délégation Interministérielle [À propos de l’autisme] et les ARC [Centres de Ressources Autisme], lorsque nous essayons de leur dire que leurs pages Web sont erronées, parce que… sur toutes les pages web en France sur l’autisme, presque toujours la première phrase que vous pouvez lire, est « L’autisme est un trouble du spectre autistique », il’C’est la même chose que d’avoir une idée de la.
Ou [on peut lire] « est aussi appelé » : « L’autisme est également appelé troubles du spectre autistique ».
De mon point de vue…
Je n’ai pas’Je ne sais pas si vous avez eu la possibilité de tout lire vraiment parce que mon texte était vraiment long, mais si vous parvenez à lire tout, alors vous devriez vraiment comprendre qu’il’C’est vraiment un gros problème si vous confondez l’autisme (une variante ou une variation humaine, comme vous l’avez dit) et les problèmes qui vont avec.
Il’C’est un très gros problème…


13. CS: Puis-je vous poser une question…
[IL: Sûr]

Par exemple, Si nous prenons la myopie… La myopie peut être conceptualisée comme une variation humaine, droite ?
Combien d’entre nous ont des lunettes parce que nous sommes myopes…
Mais c’est’De plus, il n’y a pas d’autre moyen d’empêcher… Donc, le fait qu’il’De plus, il n’y a pas d’autre façon de voir les choses, de cette manière, droite, Ce n’est pas le cas’Il n’y a pas d’autre moyen d’empêcher qu’il ne s’agisse d’une condition médicale.…
Et ce n’est pas le cas’Il n’y a pas besoin d’être stigmatisé., Il ne faut pas y voir un déficit, d’une certaine manière, droite, il’C’est une façon différente de voir les choses, mais cela me crée un problème parce que je veux conduire une voiture et je ne peux pas le faire.’Je ne suis pas en mesure de le faire, de sorte que le fait qu’il s’agisse d’un… reconnaissant que la difficulté… Je n’ai pas’Le fait que l’autisme soit considéré comme un problème, À mon avis, reconnaissant qu’il s’agit d’une… Je comprends tout à fait et je suis tout à fait d’accord pour dire qu’il y a une continuité dans l’expression de nos façons d’interagir, de pouvoir communiquer, d’avoir des intérêts particuliers, et ainsi de suite, Il y a une variabilité dans la population générale et c’est’Il ne s’agit pas d’un cas unique., Il y a vraiment une variabilité que nous pouvons conceptualiser comme un continuum, et à un certain stade, je pense qu’il y a une définition, D’accord, c’est de l’autisme… mais c’est’De plus, il n’y a pas d’autre moyen… mais ce que je pense, c’est que… en l’absence d’un marqueur clair pour définir ce qu’est le trouble du spectre de l’autisme, Nous nous appuyons sur une description des symptômes, et le plus important pour moi, Nous nous appuyons sur la dépréciation… Donc, le fait qu’il y ait beaucoup de gens qui ont des traits spécifiques (Je’Je suis vraiment mauvais avec l’orientation dans l’espace I’Je suis vraiment horrible avec ça: C’est un trait particulier de la façon dont mon cerveau fonctionne, d’accord, Il n’y a pas de condition pour appeler cela mais il pourrait y avoir, et je pourrais avoir cette condition, mais ce n’est pas le cas’Cela m’empêche de penser qu’il s’agit là d’une variabilité dans la manière de… il’De plus, il n’y a pas d’autre moyen d’obtenir, une variabilité de ce trait et de cette compétence particuliers… alors je n’ai pas’t… Certaines conditions sont ponctuelles, Il y a d’autres conditions qui sont… vraiment une façon de reconnaître que, dans certains cas,, Avoir certains traits spécifiques peut entraîner certaines difficultés, et quand c’est le cas, lorsqu’il y a une difficulté et une déficience, alors il faut mettre un nom qui ne doit pas être stigmatisant et qui ne doit pas… ne devrait être qu’une étiquette pour dire [que] Cette personne a le droit de recevoir un soutien spécifique, Et cela ne nous empêche pas de dire, étant donné que, L’environnement doit s’adapter pour être adapté à tout le monde… Il est donc’De plus, il n’y « soit ou », Je considère que la composante environnementale des actions est complémentaire à l’accompagnement et aux soins.


14. IL: Je’Je ne suis pas très sûr que nous… Nous avons réussi à… que j’ai réussi à vraiment faire comprendre comment je vois vraiment d’une différence complète… distinction… différence entre l’autisme et les troubles autistiques, mais laissons’De plus, il n’y a pas d’autre moyen…
[CS: oui]
Regarder, Je vais vous dire certaines choses. Par exemple, même dans les groupes (WhatsApp, et ainsi de suite) avec des personnes autistes, même dans le monde entier, parfois je ne pose cette question qu’aux personnes autistes, mais ce sont des autistes qui utilisent WhatsApp, Alors bien sûr, nous savons qu’ils ont déjà un niveau assez élevé…
[CS: Sûr]

… Et quand je demande « Voyez-vous une différence entre l’autisme et les troubles autistiques ?? », Presque tous racontent « Pas du tout’C’est la même chose que d’avoir une idée de la »…
Mais à mon avis, c’est’S’ils sont conditionnés, ils sont conditionnés, On le leur dit et ils le répètent. Et heureusement j’ai trouvé deux ou trois personnes… Je n’ai pas’Je ne me souviens pas quels pays… qui m’a dit « Je comprends ce que vous voulez dire »…
Mais c’est’Il est difficile de… même avec tout mon texte… Pardon, Je pense que je n’ai pas vraiment réussi mais que j’ai laissé’De plus, il n’y…


15. IL: Regarder, Comment dire… Vous connaissez le concept de la Terre plate… dans le passé… les gens étaient censés croire que la Terre était plate, ce qui n’est pas juste, mais laissons’Imaginez que vous, Et quand vous vivez sur le… – Pardon, Je n’ai pas’Je ne veux pas vous offenser, mais je ne veux pas vous offenser., là’Il n’y a rien de tel que ça. – mais quand vous imaginez que la Terre est plate et que vous n’avez jamais eu de point de vue pour vous rendre compte qu’elle’De plus, il n’y a pas d, il n’y a pas de problème… dans ce système, Dans ce paradigme, il n’y a pas de problème.
Mais une fois que vous comprenez qu’en fait, non, la Terre est une sphère (Plus ou moins), alors il’De plus, il n’y a pas d, il’De plus, il n’y a pas d… il’Il n’y a pas d’autre moyen d’y parvenir’C’est difficile à expliquer aux gens qui n’avaient pas cette vision à distance..
Alors maintenant, laissons’De plus, il n’y a pas d’autre moyen d’expliquer quelque chose d.


16. CS: Pouvez-vous me rappeler la définition de l’autisme ?? Je’Je ne sais pas si je vais me rendre au document.… Mais quand vous définissez l’autisme, Comment le définissez-vous ??


17. IL: Eh bien, je n’ai pas’t… Je’Je ne suis pas sûr de l’avoir défini…
Au début, J’ai fait une liste de caractéristiques…
Parce qu’il’Il est très difficile de définir l’autisme…
Puits… honnêtement, J’ai ma propre opinion sur l’autisme, et probablement que je l’ai écrit dans le document… mais quand je le dis-le, En général, les gens ne’Je ne sais pas ce que c’est, c, parce qu’il semble que… « Trop »…
*Mon opinion sur l’autisme est qu’il s’agit d’une autoprotection de l’harmonie naturelle.
Et bien sûr, c’est’C’est vraiment choquant pour la plupart des gens quand tu dis ça, mais j’ai’J’en suis vraiment convaincue, même, quand… En fait, Quand on voit que les personnes autistes [faire des gestes fous] Ils sont comme ça, ou ils se mangent eux-mêmes et ainsi de suite, cela semble complètement en contradiction totale avec ce que je dis…
Mais quand on y pense plus, en fait, c’est’De plus, il n’y a pas d, parce que si les gens sont très… Leur système est très, très pur et harmonieux et ainsi de suite, et clair et tout, bien sûr, quand il y a une petite chose (que ce n’est pas nocif pour les personnes non autistes), pour eux, c’est’s résonance que tu vois, il’C’est vraiment difficile… Et donc… Pour moi, il’C’est quelque chose qui est difficile à expliquer et à prouver., mais je peux observer ceci, Je veux dire, Je peux le confirmer avec presque toutes les choses que j’ai’que j’ai vu depuis huit ans: chaque fois que j’analyse des situations de personnes autistes (y compris ma situation), Je peux toujours le confirmer.
Ainsi, Bien sûr, les contradictoires peuvent dire que je suis dans l’auto-persuasion… C’est possible… mais j’ai des preuves… de beaucoup de choses…
Et je veux vous dire autre chose…
(Pardon: à propos de ma propre définition de l’autisme, c’est soit l’auto-protection de l’Harmonie naturelle, ou auto-protection d’une Naturalité harmonieuse… peut-être mieux le second.
Donc, c’est ce, quand je dis cela, ça a l’air d’être quelque chose d’assez philosophique ou je ne’À l’heure actuelle, il n, mais c’est’l’essence de mes pensées et de mes observations.)


18. IL: Et maintenant, autre chose: C’est ce que vous dites dans l’autisme, ou dans les troubles autistiques, il’s difficile de trouver un marqueur, et de trouver un point où l’on peut dire « Ah, Maintenant (ici) Il y a l’autisme… et dans le cadre de cette (point) Il n’y a pas d’autisme »: que’c'est vrai… mais pour moi, c’est’Ce n’est pas un problème parce que… (tu vois mes deux mains [à l’écran]), pour moi, c’est’Il y a deux choses vraiment différentes… ils vont ensemble, Comme mes deux mains, elles vont ensemble, Mais ce sont deux mains différentes… ainsi, Pour moi, l’autisme c’est…
Par exemple, la couleur de la peau… Je’m très blanc et ici au Brésil il y a tellement de couleurs différentes (demandèrent-ils au peuple, Ils ont fait un sondage et ils leur ont demandé de définir leurs propres couleurs et ils ont 400 réponses à dire leurs propres couleurs, mais laissons’s Fermez le support), donc la couleur… il y a de très blanc dans les pays du nord, à très noir dans certains pays d’Afrique, il’s comme, par exemple pour l’homosexualité et tant d’autres choses…
Donc, pour l’autisme, c’est’De plus, il n’y a pas d… ainsi, C’est ça l’autisme (Je dis *autisme*), Il peut donc y avoir un autisme très léger et un autisme très fort, mais les troubles et les défis qui l’accompagnent, Logiquement, ils vont de pair: si vous souffrez d’autisme très léger (Comme moi), vous n’avez pas beaucoup de défis, Je n’ai pas’Je n’en ai pas beaucoup, mais je vous le dirai plus tard., après, et ainsi de suite, Si vous avez une nature autiste très très forte, Ensuite, bien sûr, vous avez beaucoup de difficultés et de défis parce que vous êtes autiste, mais aussi parce que l’environnement, principalement social et socio-généré, n’est pas conçu pour accepter cela…
Et quand tu dis…
(Ourlet…le bruit… Quand vous dites…
[Il y a un bruit gênant dans le bureau de Chiara Servili et elle demande à quelqu’un de l’arrêter.]
[CS: Pardon, J’ai été distrait… oui]


19. IL: Quand vous dites juste… (une parenthèse) [une parenthèse] À propos du bruit… Les gens ne’Ils vont assez loin dans leurs analyses sur l’autisme.: Par exemple, ils disent « Ah, Les personnes autistes, ils peuvent’t supporter les lumières vives ou les bruits forts et ainsi de suite: À mon avis, c’est’Il n’y a pas d’autre choix que…
Ce que j’ai essayé d’expliquer dans le document, c’est que… Ce qui nous dérange, ce n’est pas nécessairement le fait qu’elle soit brillante ou qu’elle soit forte, c’est parce qu’il *dérange* la *cohérence*, L'*harmonie*: il ne devrait pas être ici (le bruit ou l’odeur et ainsi de suite)…
C’est ma théorie, mais je le vois, Je le vois à chaque fois partout.
À propos des défis, par exemple dans mon cas, Mon autisme est très léger, mais je suis assez autiste pour comprendre tant de choses sur l’autisme… (…)
ainsi… Je suis autiste léger mais quand j’ai des difficultés… en fait j’ai de grandes difficultés, mais c’est’De plus, il n’y… il’s dans les relations… par exemple avec l’administration française, il’De plus, il n’y a pas d’autre choix, Un cauchemar total, Mais très peu de gens peuvent le comprendre…
Ou ici au Brésil, étant donné que j’organise ma propre vie… Ce serait trop long à expliquer, mais j’ai arrangé ce qu’il y a autour de moi, et j’habite où je veux, Et les gens ici sont très gentils, et il’s très amical pour les personnes autistes, du moins ici à Copacabana, donc je n’ai presque jamais de problème…
Parfois avec des voisins… Parfois, les chiens… mais récemment, J’ai eu un problème dans un magasin, Et c’était comme une avalanche, tout d’un coup, à cause de la climatisation qui était trop froide, et un client qui passait devant moi dans la file d’attente, et, à la fin, Quelqu’un m’a touché – à l’arrière – Et c’est quelque chose de vraiment horrible pour moi…
Et j’ai commencé à exploser, à crier et à… C’était vraiment grand…
Après cela, quand je suis rentré à la maison, j’avais un peu honte parce que c’était trop, et je sais qu’ils ne peuvent pas comprendre…
Mais juste pour vous dire que même quand vous êtes un autiste très très léger et quand vous êtes très « capable », J’ai l’intention de voyager et de faire tant de choses, Vous pouvez toujours avoir des défis, mais bien sûr j’admets qu’il’Je n’ai pas vu d’enfants ou d’adultes autistes que j’ai vus, qui ne sont objectivement pas autonomes.


20. IL: Mais la question est que… par exemple, lorsque vous avez parlé des institutions en Amérique du Nord ou quelque chose du genre, et vous avez dit qu’ils [les familles et/ou les soignants] ont peur et ainsi de suite, mais… oui, Je comprends…
Ainsi, Il y a deux aspects à cela: Il y a l’aspect économique (Les travaux et les emplois, l’emploi et tout le reste), C’est un gros problème, mais de toute façon même s’il n’y avait pas cet aspect (Imaginez que l’enfant ou l’adulte vit à la maison), Quoi qu’il en soit, les parents peuvent à juste titre avoir peur du point de vue de la neurodiversité et ainsi de suite, et il’Ce n’est vraiment pas juste pour eux, il’C’est vraiment injuste que je ne sais pas ce que c.
Mais, ICI, Je veux expliquer quelque chose, il’C’est un peu compliqué, il’C’est un peu difficile mais… En fait, par exemple, quand vous dites qu’il y a des personnes autistes qui s’automutilent, qui se mangent ou se cassent [choses]: Je sais qu’il n’y a pas de’C’est facile à dire, mais ces problèmes pourraient être BEAUCOUP réduits si l’environnement social
[CS: sûr]
Moi et quand je dis « Environnement social » Je veux dire aussi la famille (pour moi, c’est’s [partie de] l’environnement social)
[CS: sûr]
pourrait être plus approprié.
Parce que quand ces personnes autistes font ça, c’est’S’ils ont un problème, c’est qu’ils ont un problème. [avec quelque chose d’extérieur], ils ont révolté, ils…
Donc, les problèmes, il’Il n’y a pas que l’autisme, il’parce que l’environnement n’est pas adapté…


21. IL: Et le problème, c’est que…
Regarder: Si vous confondez l’autisme et le [autisme] troubles, alors pour les gens qui font cette confusion, L’autisme n’est que quelque chose de mauvais, période. C’est le cas, mais c’est’S’il n’y a pas d'.
Une fois que vous avez compris… Une fois que vous commencez à faire un… vous séparez l’autisme ET les problèmes qui viennent avec l’autisme, alors il’De plus, il n’y.
Ce que je veux dire par là, c’est que si l’on considère que l’autisme est la même chose que les troubles de l’autisme (ce qui, même grammaticalement, n’est pas correct), Quand tu penses comme ça (comme presque tout le monde pense comme ça à propos de l’autisme), puis de cet enfant qui est à la maison et qui est comme ça [Sévèrement mis à l’épreuve], la famille ou le système de santé, et ainsi de suite, ils ne se donneront pas la peine de faire ce que je suggère, qui corrige l’environnement social, parce qu’ils pensent que de toute façon l’autisme est mauvais… ainsi « L’autisme est mauvais », « le [autistique] personne a un très gros problème et doit être corrigée, Guéri » ou je n’ai pas’Je ne sais pas quoi et c’est ce que j’ai fait.’De plus, il n’y…
Ils n’ont pas’D’un autre côté, il n’y a pas d’autre moyen d…


22. CS: Pour être honnête, Je pense que le domaine a beaucoup évolué… Maintenant, à ma connaissance, Certes, l’OMS, mais aussi la plupart des autres gouvernements nationaux ou ministères de la santé, ne parleraient pas du traitement de l’autisme… Il’de fournir des soins et du soutien et de promouvoir des environnements inclusifs…
Il s’agit donc d’une, Je pense, assez…
[IL: Oui, il y a une évolution, heureusement]
À mon avis,, voir le fait que nous parlons de « Troubles du spectre de l’autisme », même, ne doit pas être considéré comme un… ce qui mène à une approche étroite fondée sur le déficit…
Je n’ai pas’Je pense que c’est le cas…
Une chose est la terminologie, D’une part, nous voyons l’approche visant à aider ou à aider à améliorer les expériences des personnes autistes et… oui…
J’ai donc, Pour être honnête, Je n’ai pas’Je pense que le terme devrait être lié d’une manière ou d’une autre à l’approche…
Il’Si nous utilisons « trouble du spectre de l’autisme », Ensuite, nous envisageons une autre approche qui consiste à traiter la maladie, Je n’ai pas’Je pense que c’est le cas.


23. CS: Mais je vois que vous utilisez le terme « autisme » presque comme un trait de caractère, pour définir le droit de trait?
[IL: Bien sûr :-)]
Mais je n’ai pas’De plus, il n’y… – J’aime le concept, la façon dont vous conceptualisez ce trait, Je pense qu’il est’s très intéressant, et il’C’est quelque chose qui n’a pas été fait, Cela pourrait vraiment ajouter au domaine, Mais pourquoi utilisez-vous « autisme » Parce que l’autisme est le mot qui a été qui provient du trouble du spectre autistique, provient de la définition de la condition…
« Autisme » est liée au fait qu’il y a une déficience… du moins dans le classement international (dans le DSM ou la CIM-11)…
Pourquoi don’Vous utilisez un autre mot pour définir le trait auquel vous vous référez.?
Je vois ce que vous’De plus, il n’y a pas d, il’s… – À mon avis,, parce que je viens d’où – Bien sûr – dans le domaine de la santé mentale et je travaille dans les deux domaines, mais, En santé mentale, on parle de bien-être, et nous pouvons parler de détresse ou d’inquiétudes, ou un mauvais bien-être, Et puis il y a, par exemple, la dépression et donc la dépression, à mon avis, est la condition du trouble du spectre autistique…
Mais il y a aussi… Le trait de caractère, Pour moi, c’est le bien-être.
Ou… droite, Vraiment’Ce n’est pas la même chose que, mais… Je pense que vous définissez un trait que l’on retrouve dans la population générale, et que non est nécessairement lié à un trouble, et ce, J’ai compris…
Mais je ne le ferais pas’Appelez cela l’autisme ce trait… parce que cela crée une confusion.


24. IL: D’ACCORD, Je n’ai pas’Dans la population générale, il n’y a pas d’autre moyen d’y parvenir.… Je ne le trouve que dans l’autisme…, il’s « population autiste »…
[CS: oui (D’ACCORD)…]
Bien sûr, parce qu’il’s autisme [ce trait de caractère]…
Il’s autisme, Il caractérise les personnes autistes, et…
D’accord, je vois ce que vous voulez dire, et j’avais aussi ce doute, J’ai pensé que peut-être les gens’Je ne comprends pas ce que je veux dire., parce que de toute façon, de toute façon, L’autisme, c’est comme vous le dites: quelque chose provenant de Les troubles de l’autisme…


25. CS: oui… Parce que même quand tu dis « autistique », Si vous pensez à la façon dont la terminologie a été créée,… est définie dans les classifications internationales, il y a toujours un paramètre qui se rapporte à la déficience…
Si vous n’avez pas’t avoir la déficience, dans la CIM-11, vous’ne pas parler du trouble du spectre de l’autisme…


26. IL: C’est exactement la raison pour laquelle, dans la première partie de mon document, j’ai essayé de définir plus ou moins l’autisme sans aucune…
[CS: déficience, Défis…]
Vue défectologique, Point de vue négatif,
[CS: oui, exactement]
et la liste des traits, des caractéristiques que j’ai écrites, À mon avis,, À mon avis, correspond à la valeur « défectologique » [habituel] Définition de l’autisme, MAIS avec la perspective autistique, Je veux dire avec une perspective positive…
Permettez-moi d’essayer d’expliquer… Par exemple… (Je vais vous expliquer et vous comprendrez)…
Par exemple, quand… regarder, Les troubles autistiques sont généralement définis par des difficultés de communication et de relations sociales (qui vont ensemble) et des intérêts étroits et des particularités sensorielles (dis-le grossièrement), Il s’agit donc d’une… lorsqu’il est dit d’un point de vue médical ou défatologique, c’est négatif:
« Ce sont des défis, Ce sont des incapacités, Ce sont des déficits, Ce sont des carences, Il s’agit de… »
et ainsi de suite, C’est négatif…
Mais nous pouvons décrire exactement les mêmes choses à partir de l’inverse, D’un point de vue positif, De notre point de vue [de certaines personnes autistes], et en disant « Oui, il y a des difficultés dans les relations, Bien sûr, il y a des difficultés de communication, Bien sûr, et ainsi de suite? »

Il’s pas nécessaire « troubles », et nous pouvons expliquer pourquoi…
Je peux expliquer, par exemple dans les problèmes de communication, dans mon cas, Je fais tellement d’efforts de communication (Peut-être avez-vous juste une idée à ce sujet), et… Tous les jours, presque tous les jours, J’en ai la preuve, J’ai la preuve que les gens qui sont devant moi (les personnes non autistes – Pas vous, mais la plupart des gens), ils se contentent d’enfiler’t faire attention… ils/elles n’ont pas’t écouter… ils ont VRAIMENT des problèmes ! 🙂
Ils ont vraiment une « Problème d’attention », ils portent vraiment’t faire attention, ils/elles n’ont pas’t écouter, ils/elles n’ont pas’t lire, ils ont ce que j’appelle… Je vous le dis, mais c’est’C’est difficile parce que je l’appelle le « Troubles non liés à l’autisme », et les gens don’Je ne sais pas ce que c’est, c, bien sûr, quand je dis cela, ils/elles n’ont pas’Je ne sais pas ce que c’est, c…
Mais quand vous commencez à… si les gens avaient le courage d’essayer de réfléchir à ce que j’appelle les troubles non liés à l’autisme… il y a… il’s vraiment énorme, il’De plus, il n’y…
[CS: oui]
il’C’est vraiment important, ainsi… pour revenir à ce que j’essayais de dire: dans la communication, il’De plus, il n’y a pas d’autre moyen d’y parvenir.: oui, Il y a des difficultés, mais ce sont des déficits du point de vue des personnes non autistes…


27. CS: Absolument, Je tiens à vous rassurer en vous disant que je pense vraiment comprendre votre point de vue, ce que j’ai’Je ne suis pas convaincu par, est l’utilisation du terme que vous’À l’heure actuelle, il n.
Parce que, par exemple, Je’Je suis convaincu que, dans de nombreux cas, le diagnostic n’est pas aussi important qu’on le pense, et que de nombreuses actions au sein de la société au sein de la famille, au sein du système de soins, peut être initié, peuvent être fournis en l’absence d’un diagnostic…
Ce qui est important, c’est de définir la reconnaissance qu’il existe une modalité spécifique d’interaction, de communication ou d’observation… Qu’est-ce que le de mon point de vue… Nous définissons par exemple le profil de développement de l’enfant, Qu’est-ce que le…
Et cela peut être la base d’une partie de l’initiation du soutien et aussi pour informer sur la façon dont l’école devrait s’adapter ou devrait s’assurer qu’il y a une certaine caractéristique dans notre société, d’être inclusif.
Mais de mon point de vue… Je comprends peut-être que vous ne restreignez pas le… Je pense en termes de profils neurocognitifs… (Profils et domaines et aptitudes ou compétences), Je pense que vous ne limitez pas vraiment le discours au cerveau, alors j’ai’Je ne suis pas sûr que vous iriez là-bas, Mais à mon avis, il s’agit vraiment de la modalité de… que, en termes de… Le fonctionnement de notre cerveau est bien sûr très diversifié, Et il y a un trait qui est lié à l’autisme d’une certaine manière… de la même manière que le profil neurocognitif est un… la caractéristique du profil neurocognitif en termes de quelles sont les forces, quelles sont les modalités d’interaction, etc…
Et dans la mesure où il y a un désordre…
Mais à mon avis,, autisme… (mais je me trompe peut-être), À mon avis, l’autisme a toujours été associé à la déficience, en tant que terme.
Je’Je ne veux pas dire que nous n’avons besoin que de voir la déficience… mais le diagnostic est posé lorsqu’il y a une difficulté qui… Je pense… oui, Je’m regarder maintenant la CIM-11: « le symptôme entraîne une déficience importante ; », Il s’agit donc d’un critère pour la définition du trouble du spectre de l’autisme.


28. IL: Il’De plus, il n’y « brainstorming », Cette discussion 🙂
Mais j’ai’J’essaie de te suivre, mais tu as dit beaucoup de choses… très « médical » choses, Je n’ai pas suivi tous les…
Mais laissons’De plus, il n’y a pas d’autre moyen…
Quand vous dites le diagnostic…
J’en reviens à ma distinction: Quand vous avez dit « Diagnostic », Pour moi, cela ne devrait pas être « Diagnostic de l’autisme » il’s « diagnostic oh oui je comprends des troubles »
[CS: oui, (sûr) J’ai compris, oui]
Et bien sûr, lorsque vous avez les troubles qui caractérisent l’autisme, Bien sûr, vous devriez être autiste et vous devriez…… (être autiste, que’De plus, il n’y).
Mais à mon avis, il’Impossible à diagnostiquer « autisme » parce que, il’De plus, il n’y…


29. CS: oui, mais alors, Comment distinguer les personnes autistes qui ont l’autisme, et les personnes autistes atteintes d’un trouble du spectre autistique, Comment les appelez-vous différemment ?? Ce sont des personnes autistes (?)…


30. IL: Je pense… Je’Je ne suis pas sûr d’avoir compris la question, mais je vais essayer d’y répondre 🙂
Je pense que TOUTES les personnes qui ont des troubles autistiques SONT autistes donc c’est simple…
Mais de l’autre côté, Je pense que la PLUPART des personnes autistes ont – ou peut-être a-t-il parfois – troubles autistiques ou défis ou difficultés et ainsi de suite, propre à l’autisme, spécifique à l’autisme, mais pas toujours…
Et quand ils’Je n’ai pas ces problèmes, ils/elles n’ont pas’Ils savent qu’ils sont autistes…
Et les gens autour d’eux, ils les portent’Ils savent qu’ils sont autistes.
Regardez par exemple Elon Musk: Il a dit qu’il était « Asperger » mais il n’a pas’C’est un homme qui a beaucoup de succès, Il n’a donc pas tant de défis à relever…
( Eh bien, à mon avis, il a des idées un peu folles avec Mars et les tunnels, mais c’est’S’il y a un autre problème, 🙂 c )
Mais quoi qu’il en soit, il’On ne peut donc pas dire qu’Elon Musk souffre de troubles autistiques… Ou peut-être a-t-il, À la maison, mais nous n’avons pas’À l’heure actuelle, il n…
Alors je n’ai pas’Je ne sais pas s’il répond à votre question…
Pour moi, il n’y a pas d’un côté les personnes qui ont des troubles autistiques, et de l’autre côté, les personnes qui sont (juste) autistique…


31. CS: Mais je pense que c’est’De plus, il n’y a pas d’autre solution que d’utiliser… Si vous prenez par exemple la dyslexie…
Beaucoup d’entre nous… Nous ne sommes pas tous pareils… dans notre façon d’apprendre à lire ou à…
[IL: J’ai un peu de dyslexie maintenant que je n’avais pas dans le passé, et il’s selon si je suis contrarié ou non, mais dans le passé, je n’ai eu aucun problème, et parfois je ne peux même pas écrire quand je’Je suis vraiment contrarié…]
oui, donc je pense qu’il’De plus, il n’y a pas d, dans une certaine mesure, Je veux dire qu’il y a une variabilité, bien sûr, Et le mot dyslexie n’est utilisé que pour reconnaître que, dans certains cas, cette variabilité dans la façon dont nous sommes capables de lire, et ainsi de suite, et… il’s… dans certains cas, il crée une déficience… La déficience est donc la caractéristique déterminante qui fait la distinction entre les personnes qui peuvent avoir un peu de difficultés, mais qui n’ont peut-être pas des… Leur capacité peut être assez bonne pour qu’ils n’aient pas l’impression qu’il y a un défi… et lorsqu’il y a un défi, alors… Et bien sûr, la frontière est mince, il’Il n’est pas si facile de définir si l’on / lorsqu’il y a une condition et lorsqu’il n’y en a pas…
Mais je vois la même chose pour l’autisme…
Donc, je pense que vous’L’utilisation de l’autisme pour définir un trait de caractère ici, mais vous’Utilisation du terme de la condition… Cela crée donc de la confusion pour moi…
Parce que quand tu dis « trouble du spectre de l’autisme » il y a une déficience, et je pense que l’autisme a été utilisé – à ma connaissance – pour définir la condition, définir les cas où il y a une déficience…
Ainsi, vous pourriez… vous pourriez probablement créer… inventer – même – un autre mot pour définir le trait…
Mais j’ai’Je ne suis pas convaincu qu’il faille utiliser « autisme », ou peut-être que oui, Je n’ai pas’À l’heure actuelle, il n, mais c’est là ma confusion…
Peut-être juste pour en venir à la question: la conceptualisation de l’autisme par opposition au trouble du spectre autistique: Y a-t-il des… tout ce qui est écrit, Y a-t-il une association qui propose cela, Est-ce vraiment votre conceptualisation oui?


32. IL: Je n’ai pas’À l’heure actuelle, il n (environ) autrui, et… donc soit je’Je me trompe totalement…
[CS: Non…]
ou peut-être qu’il’C’est juste un problème d’utilisation du mauvais mot, Je veux dire « autisme », ce qui devrait être un autre mot…


33. CS: Pour être honnête, Je n’utiliserais pas le même mot… oui…
Ou peut-être… oui…
Parce que peut-être qu’on y ira…
Peut-être que vous’À l’heure actuelle, il n, Et peut-être devrions-nous utiliser le mot, de ne pas définir la condition pour quoi que ce soit…
Peut-être devrions-nous utiliser l’attribut « dyslexie » pour définir la caractéristique, puis, dire qu’il y a un « trouble de la dyslexie » en cas de déficience…
Mais pour être honnête, j’ai’Ce n’est pas le cas…
Je n’ai pas’À l’heure actuelle, il n…
Je… À ce stade,, Je…


34. IL: Il’De plus, il n’y… Mais, regarder… Encore une fois, Je veux essayer d’expliquer à nouveau…
Regarder, ce que je pense être… quand je t’écoute, je pense que tu… vous êtes médecin et vous travaillez à l’OMS et vous avez une approche médicale bien sûr, Bien sûr…
Ainsi, Comme vous l’avez dit, À votre avis, Le mot « autisme » *signifie* de toute façon « troubles de l'autisme » parce que…


35. CS: Non, Je n’ai pas’Je ne sais pas ce que c’est., nous pouvons le changer… Il peut être modifié à l’avenir, Mais de nos jours, cela créera une certaine confusion…
Je’Je ne dis pas… J’aime, Pour être honnête, J’aime bien le concept, J’aime l’utilisation du mot, mais d’un autre point de vue, je’m également préoccupé par le maintien de la terminologie actuelle du trouble du spectre de l’autisme…
Je m’éloignerais de cela, Je n’utiliserais pas « désordre »… voudriez-vous encore…
Je veux dire, dans de nombreuses cultures, Le trouble a une connotation très négative… Ce n’est peut-être pas la même chose en anglais, droite…


36. IL: Je suis d’accord avec vous… Maintenant, En fait, regarder: Nous avons deux problèmes…
Nous avons le problème avec le mot « autisme » ce qui est trop « chargé » avec l’option « troubles », et j’avoue qu’il’Ce n’est pas si facile, mais j’ai mon idée à ce sujet et j’essaierai de le dis-le après…
Et [Nous avons] Un autre problème (J’ai trouvé qu’il n’y avait pas de’C’est tout à fait juste ce que tu dis), que le mot « troubles » n’est pas correcte…
Peut-être que je l’ai écrit dans mon document, regarder: si vous considérez que l’autisme a quelque chose à voir avec l’harmonie et la cohérence et l’ORDRE, et je peux vous dire que j’ai – il’Ce n’est pas un problème, mais c’est un problème. – J’ai une *obsession* pour l’ordre, et j’ai’m n’est pas le seul, Je pense qu’il est’Pour la plupart des autistes, il n’y a pas d’autre choix que d': qu’ils veulent – Nous voulons – commande, Je veux dire que nous voulons que les mots soient utilisés comme dans le dictionnaire, nous voulons la justice, Nous voulons… et ainsi de suite, Et vous connaissez les enfants qui alignent leurs jouets… parce qu’il DOIT être en ordre, il’s extrêmement important…
Quand j’entre quelque part, [comme] dans un restaurant, je peux remarquer toutes les choses qui ne sont pas alignées ou non… et même mon ami, qui n’est pas autiste, Il vit avec moi depuis sept ans, Et maintenant, il’s comme moi, il’s pas autiste, mais il me dit « grâce à toi maintenant j’ai… » [cette obsession]…
Il’s pas un problème, il’C’est une qualité parce qu’il travaille dans des hôtels cinq étoiles ici (dans les hôtels Hilton et très grand luxe), donc pour lui c’est’s très facile de monter les échelles, parce qu’il remarque tous les problèmes et tous les détails, indirectement grâce aux qualités de l’autisme.
Et ici, dans l’appartement, Je loue deux chambres, et grâce à mon obsession pour la propreté et les détails les gens [Les invités payants, Les voyageurs], Ils font de très bons commentaires parce que tout est propre et ainsi de suite: C’est grâce à l’autisme bien sûr.
Puits, ainsi « désordre » il’C’est vraiment absurde, il’C’est vraiment absurde d’utiliser le mot désordre parce qu’il est’C’est le contraire qui s’est produit., À mon avis, il’Il y a une sorte de rigide… comme un « noyau », un noyau qui est très très *cohérent* et très harmonieux à l’intérieur mais qui est… fermé.
Et plus la personne autiste commence à s’ouvrir au reste du monde, puis il commence à s’épanouir comme ça [floraison / S’ouvrir]…
Et mais c’est’De plus, il n’y a pas d… Il faut que ce soit très harmonieux…


37. IL: Jet’C’est compliqué parce qu’il y a aussi des’S’il y a aussi un autre problème, c’est, C’est ça pour les personnes autistes, pour s’adapter au monde extérieur (qui est – De mon point de vue – ce qui n’est qu’un gros gâchis :-)), pour que nous nous adaptions, La plupart du temps, nous devons nous conformer, À « format » [pour obtenir « Formaté »], de faire des concessions, de prendre des dispositions… Et si vous considérez que notre manière d’être est comme des choses qui sont très très claires et très droites, Cela ne peut pas fonctionner dans une société où l’on doit [pliez les choses, circonvenir, faux, etc.]: Vous ne pouvez pas faire comme ça [Droit / direct / clair], Il faut faire comme ceci et comme cela [Déformé / tordu]…
Ainsi, Les personnes autistes, quand ils veulent survivre et trouver un emploi, et ainsi de suite, dans le monde non-autiste, Ils doivent apprendre ces choses qui sont une sorte de… « LES ÉTAUX » ou des choses comme ça…
Ils ne peuvent pas simplement se présenter à l’entretien d’embauche et dire « oh je ne’t comme ta cravate »: il’s pas possible, Il faut donc qu’ils l’apprennent…
Donc, à mon avis, ils doivent apprendre ce que j’appelle le « Troubles non autistiques », mais c’est’Ce n’est pas très gentil de dire ça, Mais il faut qu’ils apprennent… laisser’Les conventions sociales sont les plus courantes., Et parfois, ils l’apprennent très bien, mais ils l’apprennent d’une manière autiste, ce qui est une façon très perfectionniste, et parfois même ils le sont… comme on dit en français « Ils sont plus royalistes que le roi » (« Ils sont plus royalistes que le roi »), Cela peut parfois être vraiment horrible, vraiment…
Il est donc’Il est important de savoir que, parce que parfois les gens nous disent « ah mais l’autisme n’est pas ceci ou n’est pas cela, parce que je connais un homme autiste qui ne… »: Non, il’s ne font pas de choses autistiques, il’s faire des non-autistes (ou social) des choses qu’il a apprises et qu’il’De plus, il n’y: il’s pas autiste.
Mais c’est un sujet secondaire.


38. IL: [Maintenant] À propos des troubles: Oui, ce serait une bonne idée…
Regardez, il y a deux problèmes, Je pense que résoudre le problème du mot désordre est un très gros problème, Oui, il pourrait s’agir d’un autre terme… Pourquoi ne pas consulter les associations, Les organisations de personnes autistes dans le monde, en leur demandant « comment vous préférez qu’on vous appelle? »: Je’Je ne suis pas sûr des réponses, ce que ce serait, mais pourquoi pas, au moins en essayant de leur demander, parce que je n’ai pas’Il n’y a pas d' – Tout de suite – Je n’ai pas’Je n’ai aucune idée de ce que c’est. (peut-être demain),
Et l’autre problème, c’est que, Ce que vous en dites, que le mot autisme est… Quoi qu’il en soit, il est accusé de carence, ce qui explique pourquoi les gens’Je ne comprends pas ce que j’essaie d’expliquer..


39. CS: Non « carences » mais oui…
[IL: « déficit »…]
Je pense que c’est… Pour être honnête, dans le contexte de la neurodiversité, Ce terme de « autisme » est en train d’être repositionné pour voir aussi les aspects positifs de celui-ci, mais je n’ai pas’À l’heure actuelle, il n, Je vois qu’il pourrait y avoir une certaine confusion là où nous devons… D’une certaine manière, il y a un besoin pragmatique de définir quand il y a un défi
[IL: Bien sûr…]
qu’il y a un défi suffisamment grave
[IL: Bien sûr…]
pour donner droit à des droits au service, droite?
[IL: Bien sûr.]
Parce que nous avons aussi ces problèmes de faire des choix dans le ????? et les finances sont… il est nécessaire de définir quelles sont les priorités des investissements, droite?
Nous devons donc définir, où, lequel, qui mérite d’avoir ce nombre de ces services, et qui a besoin d’un accès plus restreint aux services…


40. IL: Il y a un autre problème – Je’Je viens de me rendre compte – C’est que, étant donné que les gens se mélangent… ils/elles confondent « autisme » et « troubles de l'autisme », Je veux dire, les personnes autistes… Comment dire… L’autisme est quelque chose et quand vous êtes autiste, vous pouvez avoir très peu de problèmes ou vous pouvez avoir de gros problèmes, ainsi, d’accord, C’est ça l’autisme, Et les troubles, c’est quelque chose qui va avec, il’collatéral de l’autisme.
Mais le problème, c’est qu’avec toute la tendance de la neurodiversité et ainsi de suite, Il y a tellement de gens maintenant qui découvrent qu’ils sont autistes, mais dans tous ces « Nouvelles personnes autistes », Il n’y a pas beaucoup de personnes handicapées ou qui ont des problèmes ou des défis, mais ils appliquent, ils vont chez le médecin [le psychiatre] d’avoir un certificat pour recevoir de l’argent et aussi d’avoir accès, Cartes Cartes prioritaires, et ainsi de suite…
Et je pense que c’est’C’est vraiment injuste que je ne sais pas ce que c…
J’avais [il] aussi, quand j’étais en France, j’ai eu une « Allocation d’invalidité adulte / avantage », mais je pense que c’est’Il n’est pas juste parce qu’il n’est pas juste de’De plus, il n’y a pas d’autre moyen, et que – Comme vous l’avez dit – Le méritent-ils vraiment ? ?
Pas si sûr… Je pense qu’il y a des personnes autistes qui méritent vraiment beaucoup de soins et beaucoup de…


41. CS: Oui, ils peuvent avoir besoin… Ils devraient peut-être avoir des droits, Mais qu’est-ce que c’est que, devrait également dépendre de la gravité des défis, droite, C’est donc important…


42. IL: Cela dépend de, Oui ce que tu dis, la gravité des défis: il’Ce n’est pas parce que vous êtes autiste que vous…
[CS: oui, exactement]
Quoi qu’il en soit, il y a…


43. CS: oui, Il existe des moyens de compenser, droite… J’ai ce sérieux défi avec l’orientation, mais avec mon téléphone portable et en demandant aux gens, je me déplace toujours bien, Il est donc’Je ne suis pas sûr que je devrais recevoir quelque chose., tant que je’De plus, il n’y a pas d’autre moyen de, pour le déficit que j’ai, droite…
Ainsi… mais j’ai… Pour être honnête, Je vais… Je veux dire… c’est intéressant et je… C’est un domaine qui évolue tellement, et où je pense que nous avons beaucoup de questions, Je’Je ne suis pas sûr que nous ayons une approche simple, Je comprends ce que vous voulez dire, à savoir que…


44. IL: Mais… à partir de l'…
Tenez moi informé, S’il vous plaît, si je’À tort ou à raison, il n’y a pas d': D’après ce que vous avez dit la dernière fois, 20 Secondes, D’après le ton et ce que vous avez dit, Je pense que c’est pour préparer le fait que vous… vous avez d’autres choses à faire, quelque chose comme ça :-)…


45. CS: Non, oui…
[IL: Juste pour savoir si je le suis, si je suis doué ou non pour deviner…]
Oui, oui, Désolé, J’ai quelque chose à faire en rapport avec la clôture de l’année, mais je prends cette conversation au sérieux, Je veux dire parce que c’est’De plus, il n’y… Je veux dire, Je vous donne un exemple, Hier, on m’a demandé de partager quelques réflexions internes au sein de l’OMS sur la neurodiversité, J’ai beaucoup étudié et lu au cours des derniers mois et j’ai’m non résolu (???), Je n’ai pas’Je pense que nous sommes résolus à adopter une approche suffisamment bonne pour refléter la complexité de la façon dont nous définissons les troubles du spectre autistique., Comment définissons-nous l’autisme ?, Comment définissons-nous la neurodiversité ?…


46. IL: Pourquoi ne pas faire des sortes de réunions avec des brainstormings et des spécialistes…
[CS: oui, oui]
(y compris moi-même si possible :-))
[CS: Sûr]
de divers domaines, et…
Parce que [Maintenant] Nous sommes deux personnes, Nous essayons de… mais avec d’autres personnes, cela pourrait être…
[CS: Sûr]


47. IL: Et juste pour finir, Une chose, J’en reviens au mot « autisme », et je comprends que de toute façon pour vous c’est’Il y a trop de problèmes médicaux et de troubles et ainsi de suite., et peut-être que je devrais en savoir plus sur les origines de la…
L’origine est… Kanner ou Asperger qui a décrit « Autisten » [en allemand] et ainsi de suite…
Mais… Je’Je m’en tiens à ce que je voulais dire, c’est-à-dire que… Je suis d’accord avec le fait que « autisme » se caractérise par des difficultés d’interactions sociales, etc.,
MAIS, « en soi », en soi, il’n’est pas nécessairement un trouble…
[CS: Oui, oui]
C’est un désordre lorsqu’il entre en conflit avec le reste.
Je veux dire, Par exemple, l' « Intérêts étroits »… ou Dieu sait quoi, par exemple les difficultés des interactions sociales, De mon point de vue, il’De plus, il n’y!
C’est lui’S’il y a un problème, c' – Bien sûr – pour survivre dans la société, mais c’est’Si l’on considère que cela aide à ce que j’appelle l’auto-protection de la naturalité des gens, c’est bien quand on considère que cela aide à ce que j’appelle l’auto-protection de la naturalité des gens..
Et je considère même que les personnes autistes peuvent… s’il y en a de plus en plus [personnes autistes], il n’y aura pas de, dans les pays, une sorte de seuil où la société devra faire quelque chose, et peut-être comprendront-ils qu’il’Il ne s’agit pas seulement de mettre les autistes sous un dôme et de les nourrir avec des médicaments…
Il a gagné’t travail, ils devront corriger [Le système]

À mon avis, l’autisme… peut-être que j’ai’Je me trompe mais à mon avis l’autisme est quelque chose d’utile pour forcer la société à être moins artificielle et plus naturelle, et j’ai’J’ai lu que Tony Atwood a dit quelque chose comme ça dans l’un de ses livres, Je n’ai pas’Je ne sais pas ce que c’est que de savoir ce que je vais faire…
Il est donc’À mon avis, il n’y a pas d’autre moyen d’y parvenir.’De plus, il n’y…


48. IL: Et une autre dernière chose, parce que vous avez des choses à faire, mais, La dernière chose: Quand on dit « oh cette personne autiste ne peut pas parler donc c’est’C’est un gros problème parce qu’il n’y a pas d’autre choix que / elle ne peut pas parler »…
Regarder, Il y a beaucoup de gens qui’Ils ne sont pas autistes, ils/elles n’ont pas’De plus, il n’y, ils sont sourds, et ainsi de suite??
Il existe de nombreuses façons de… au travail…
[CS: Mais c’est’s une déficience.]
Il’S’il y a un problème, c', il’De plus, il n’y, mais c’est’Il est encore possible de travailler et de travailler… et honnêtement, J’adorerais vivre dans un immeuble où il n’y a que des sourds parce que… 🙂 Vous voyez ce que je veux dire… parfois, La plupart des, 90% de ce que les gens disent, c’est… totalement… À mon avis, est totalement inutile… Parfois, il’Il vaut mieux être [« fermé »]… ainsi… il’C’est une question de point de vue.


49. CS: Oui, oui, oui, non I… Oui, j’ai… d’accord, ça me fait réfléchir… et je veux juste corriger quelque chose, que je n’ai pas’Je veux dire que l’autisme n’est qu’une question de déficit.… Je ne vois que cela
[IL: Bien sûr]
Utiliser l’autisme au sens large, et d’avoir « Troubles du spectre de l’autisme » peut créer une certaine confusion, mais peut-être que nous’Et il n’y a pas d’autre moyen, Je n’ai pas’À l’heure actuelle, il n, Il faut que j’y réfléchisse un peu plus…
Peut-être que le fait que le mouvement de la neurodiversité utilise l’autisme dans un terme aussi large’Je ne sais pas ce que c’est que de l’utiliser, c’est qu’il n', qu’ils utilisent « autisme » d’une manière plus large pour conceptualiser… est-ce ainsi… Je n’ai pas’À l’heure actuelle, il n, Il faut que j’y réfléchisse… Je n’ai pas’Je ne sais pas si c’est une bonne chose ou si c’est une bonne chose, ou si c’est une bonne chose.…


50. IL: Laissez-moi essayer, s’il vous plaît, cinq minutes de plus, Permettez-moi d’essayer une autre tentative pour mieux 🙂 le faire comprendre
Pour moi en tant que personne autiste et pour les collègues qui ont mon « niveau » (pour ainsi dire) Nous disons que nous sommes autistes, Nous n’avons absolument aucun problème à être autiste, La *nature* d’être autiste.
Il y a ceux qui nient leurs propres problèmes [ou déficiences], leurs propres difficultés, (Pas beaucoup), Et il y a ceux qui – Au contraire – admettre qu’ils ont beaucoup de difficultés, mais c’est quelque chose de différent, il’De plus, il n’y, il’De plus, il n’y [autisme, et les difficultés]…


51. IL: Et un autre… Deux choses: Par exemple, avant 2013, Je ne savais pas que j’étais autiste, et j’ai eu des tonnes de problèmes, et…
Quand j’ai appris qu’il y avait un nom (à l’époque, on l’appelait le syndrome d’Asperger) et quand je l’ai vu : [pleurage], C’était vraiment « L’Apocalypse » et ce n’était pas négatif pour moi.
Au contraire, c’était une étiquette, c’était une explication, et quand j’ai lu la description du syndrome d’Asperger, J’ai très bien vu que c’était négatif, mais pas pour moi, même quand je l’ai découvert, parce que je savais, J’ai senti, que je n’étais pas… que je n’avais pas tort, que j’avais mon point de vue, et cela du côté social, du point de vue non-autiste, ils ont fait une étiquette qui l’appelait Asperger ou Autisme ou Dieu sait quoi…
Mais pour moi, c’est’s juste une étiquette…


52. IL: Et… Un dernier exemple…
Par exemple, les homosexuels: Dans le passé, l’homosexualité était considérée comme une maladie et ainsi de suite…
[CS: oui]
Et… laisser’s… laisser’De plus, il n’y a pas d’autre moyen d’y parvenir., comme, laisser’De plus, il n’y 100 années dans le passé, et vous prenez une personne homosexuelle, et le système pensera qu’il a une maladie et ainsi de suite…
Alors maintenant, vous prenez la même personne, laisser’Prenons l’exemple d’Alan Turing, il’Il était très célèbre et il était homosexuel… Laisser’De plus, il n’y a pas d’autre moyen d’empêcher, et tu mets ce gars maintenant… disait-il « Oui, j’ai’m gay, et ainsi de suite ? »
(Je pense qu’à ce moment-là, peut-être, Même à ce moment-là, il disait que)…
Et ainsi de suite ??
[CS: Sûr]
Ainsi, ce que je veux dire, c’est que du point de vue du système, ils lui diraient « Ah, vous avez la maladie gay » ou « trouble de l’homosexualité », oui « Il souffre d’un trouble du spectre de l’homosexualité » (Le HSD) :-)…
Et de SON point de vue, disait-il « Oui, j’ai’m gay, J’aime les hommes, J’aime ces choses-là, et ainsi de suite ?? », que’De plus, il n’y…
Alors peut-être qu’il’Ce n’est pas une très bonne comparaison, mais de mon point de vue de personne autiste: « Je suis autiste, OUI, J’ai tellement de problèmes de communication avec les autres, OUI, mes objectifs sont très étroits, ou étrange, et… OUI, Parfois, je peux me concentrer sur un sujet pendant une semaine… et ainsi de suite ???… »


53. CS: Oui, alors peut-être que l’autre façon d’aborder cela pourrait être d’utiliser le terme « autisme » pour définir les…
[IL: La nature…]
gamme (La nature), et puis vous dites
[IL: Le désordre, Les problèmes…]
« il’s une personne autiste ayant des difficultés à da da da da da, avec des déficiences sévères dans… »
[IL: oui, spécifique à l’autisme… Oui bien sûr… Je pense qu’il est’s…]
Ce serait donc une façon plus claire de définir les choses.


54. IL: Oui, il’À mon avis, il n’y a pas d’autre moyen d’y, il’Il est vraiment essentiel d’essayer de – même s’il’s pas clair – Essayez de… Je veux dire, comme une expérimentation… pour faire une séparation vraiment claire, une barrière entre « autisme » (essayer de le définir, Mais la première partie de mon texte m’aiderait beaucoup), et de l’autre côté, toutes les choses habituelles: les troubles et ainsi de suite.
[CS: oui]
Et essayez de ne pas mélanger les deux, et puis petit à petit vous comprendrez ce que je veux dire, qu’il s’agit vraiment de quelque chose de différent.
Mais peut-être que pour quelqu’un qui n’est pas autiste, c’est peut-être le cas’s pas facile à voir.
Je pense que mon texte… peut-être… Si vous le lisez (La première partie sur l’autisme), si vous le relisez, Peut-être cela deviendra-t-il plus clair…


55. CS: oui…J’ai donc… D’accord, maintenant c’est que je veux dire que c’est utile, Merci d’avoir pris le temps de partager cela avec moi, et d’expliquer…
Je vais… Je vais… Je vais réfléchir à la façon dont…
Parce que c’est au-delà de la fiche d’information… La fiche d’information en est donc une, mais je pense que c’est’au-delà de cela, il n’y a…
Pour que je puisse… Je peux voir comment… Je’Je ne suis pas sûr d’être honnête… Vous savez qui donc… il’Je ne peux pas reprendre mon idée et reformuler moi-même la définition de l’autisme., mais Le minimum que nous puissions faire est peut-être d’être prudent en nous en tenant au terme « Troubles du spectre de l’autisme », ou peut-être « troubles du spectre autistique », lorsqu’il s’agit du spectre des affections graves de la CIM-11…


56. IL: Je… Désolé de vous interrompre… Je pense que l’OMS s’occupe de santé et de problèmes de santé, et très probablement l’OMS n’a pas à le faire… même pour essayer de définir ce qu’est l’autisme (autisme)
[CS: oui]
parce que, tu nous vois même ensemble, nous nous ne pouvons pas vraiment arriver à…
Alors pourquoi ne pas simplement prendre « autisme » hors de la situation, et l’OMS ne se soucierait que de ce qu’ils ont à faire, Je veux dire par là que le « troubles » ou les défis, etc.


57. CS: Pour être honnête, Je pense qu’il s’agit d’une ancienne version de l’OMS… Aujourd’hui, nous’Ne pas se concentrer sur les troubles, il’s aussi sur le bien-être, il’s sur le développement… Il est donc’sur la promotion de la santé… Ainsi…Il est donc’Un peu plus loin que ça, c’est qu’il y a un peu…


58. IL: Oui mais quand même, avec ma théorie, L’autisme n’a rien…
[CS: Oui, toi’À l’heure actuelle, il n… Je comprends…]
n’a rien à voir… n’a rien à voir avec un problème de santé…
[CS: Bien sûr, sûr… sûr]
ainsi, Je veux dire… en tant que personne autiste… (Je ne peux pas dire que ma vie soit un exemple pour tout le monde, mais) en tant que personne autiste s’il n’y a pas de problème avec les voisins, et si personne ne me touche dans le dos, (alors) Je n’ai pas’t avoir des troubles autistiques…
Si tu me mets en France (Je n’ai pas’Je ne veux même pas l’imaginer.)…
Ainsi… Le désordre… Oui, les troubles qu’ils sont existent et qu’ils sont vraiment…
Laisser’De plus, il n’y a pas d’autre moyen: les difficultés que je préfère « difficultés », les défis ou difficultés propres à l’autisme, qu’ils existent clairement et qu’il est’De toute évidence, il s’agit d’un gros problème., Et il faut s’y attaquer – Bien sûr – et si l’OMS va plus dans le sens de l’approche globale, l’approche sociale et tout ce que j’ai dit (l’environnement et ainsi de suite), il’s très bien…
Et changer (Remplacement) « désordre » avec un autre mot ce serait bien aussi.
Mais c’est une chose, Et il s’agit des problèmes et des défis et de la santé comme du bien-être et ainsi de suite, d’accord…
[CS: oui]
Mais ce n’est pas de l’autisme… C’est vrai (Je sais que la différence est subtile, il’De plus, il n’y) mais (avec) « L’autisme en lui-même », il n’y a pas de problème.


59. CS: Oui, oui, oui… D’accord, Permet-moi de… Je n’ai pas’Je ne sais pas ce que c’est..
Oui, oui, Je vais y réfléchir et… et peut-être qu’il’C’est une bonne chose que l’on puisse aussi consulter plus largement.
[IL: oui, et…]
et entendre les points de vue…


60. IL: Le problème…
Concrètement… concrètement, Le problème, c’est que lorsque l’on… (Je te l’ai dit) quand j’essaie d’expliquer ces choses aux Français, Parfois, ils me disent « oh mais sur le site de l’OMS il’s ont écrit que l’autisme est la même chose (comme les troubles de l’autisme),
[CS: Oui, oui, Bien sûr]
ainsi, Je ne peux pas m’y opposer…
Ainsi… Je peux… regarder, ce que je peux faire: Je peux leur dire « d’accord, Sur leur fiche d’information, il y a une confusion et une… », mais c’est’De plus, il n’y a pas d’autre moyen d’obtenir.
Je peux’Je ne sais pas ce que c’est que de « mais regardez la définition exacte de la CIM », Je veux dire la définition médicale: il’s d’accord, il n’y a pas de problème’s non écrit (…), Il n’y a pas de confusion, Je veux dire au moins en français ou en anglais (Je n’ai pas’De plus, il n’y),
[CS: sûr sûr sûr]
Il y a aussi le problème des traductions…
Mais le problème, c’est que les gens ne sont pas toujours de bonne foi, Et ils diront qu’il y a deux choses contradictoires, il y a cette page qui dit… ils/elles n’ont pas’Je ne parle pas de l’autisme, mais seulement des troubles, et une autre page pour le grand public qui dit que l’autisme est un TSA, ainsi « merci Mr Lucas mais au revoir, parce que même l’OMS dit ce que nous disons », ainsi… alors il’Il nous est très difficile d’essayer d’expliquer cette différence qui existe entre les… dans le document, j’ai essayé d’expliquer qu’il’Il est si important de comprendre cette distinction pour de nombreuses raisons…
Et la première raison, c’est de comprendre les qualités de l’autisme, Bien sûr.
[CS: sûr]
parce que « les qualités d'un trouble » n’a pas’t veut dire quoi que ce soit… il’De plus, il n’y a pas d…


61. CS: Oui, oui, oui… Non, je comprends…
Oui, oui… Merci, Je vous promets que j’y réfléchirai, et je consulterai aussi à l’interne, comme il l’a fait’Il est bon que nous consultions plus largement…
[IL: Vous pouvez peut-être m’inviter à des réunions de temps en temps…]
De nos jours, il’Il y a longtemps que nous n’organisons pas de réunions en personne., nous nous appuyons davantage sur…
[IL: Non, Je veux dire, non « en personne », Je n’ai pas’Je ne veux pas… À distance, Bien sûr.]
Bien sûr, oui, oui, je sais, je pense que nous devrions le faire et nous consulter sur cette question de terminologie…
Il’s… nous sommes un peu serrés avec la terminologie parce que l’OMS est… il y a un processus distinct autour de la CIM-11, droite, Il s’agit donc d’un processus très distinct…
Mais quoi qu’il en soit, je pense que c’est’Il est bon de consulter et d’entendre les points de vue, puis nous pourrons influer sur les processus à l’externe., Cela ne veut pas dire qu’une consultation peut changer la CIM-11 maintenant, mais certainement notre façon de penser…


62. IL: Comme je vous l’ai dit, dans les définitions de la CIM-11, je ne’Je ne vois pas de problème…
[CS: oui]
Non, il’Les pages générales qui sont – avec une bonne intention, pour éliminer le désordre – Mais en fait, cela crée un problème et personne n’y a pensé :-)…
[CS: (riant)]
mais j’ai’J’essaie d’expliquer…


63. CS: Bien sûr, bien sûr, sûr… D’accord… Merci beaucoup!


64. IL: Merci à vous!


65. CS: J’apprécie vraiment… et tous les efforts pour me le faire comprendre 🙂


66. IL: Il’De plus, il n’y, il’De plus, il n’y, il’Ce n’est pas à cause de toi ou à cause de moi que je ne sais pas ce que c’est., il’De plus, il n’y a pas d’S’il y a deux mondes différents, c’est 🙂


67. CS: Non, laisser’De plus, il n’y a pas d’autre moyen d’y 🙂, laisser’S Pont entre les mondes 🙂 🙂


68. IL: Cela’C’est pourquoi j’ai créé l’Organisation de l’Autistan
[montrant un petit drapeau de l’Autistan]
c’est-à-dire d’essayer de (qui vise à) Jeter des ponts entre les deux mondes…
Il’De plus, il n’y, mais avec des gens de bonne foi, il’Il est possible d’avancer, pour mieux comprendre.


69. CS: Oui, 🙂 je le suis… Je n’ai pas’Je ne sais pas que je me considère comme un… Je… Je n’ai pas’J’aime parler, mais j’aime écouter…
J’ai donc… Je’Je ne suis pas sûr de pouvoir changer… Je veux dire, J’ai… Je n’ai pas’À l’heure actuelle, il n… J’ai juste… Je’Je suis sincère quand je dis que j’apprécie l’occasion de vous 🙂 écouter


70. IL: J’y croyais! 🙂 J’y croyais…

CS: (riant)
D’accord…

IL: Merci…

CS: Merci beaucoup…

IL: Bonne nuit

CS: Bye bye

IL: Merci

CS: Bonne nuit



3.2. Tenter de résumer notre réunion à l’aide de ChatGPT, et l’ajout de nos commentaires après une réflexion plus approfondie

CS = Chiara Servili (OMS, Organisation Mondiale de la Santé)
IL
= Éric L. (Organisation Diplomatique de l’Autistan)



1. Introduction et évolution de la pensée
EL exprime sa gratitude pour cette rencontre, soulignant la nature évolutive de ses réflexions sur l’autisme depuis leurs dernières rencontres 2014 et 2015.

EL met l’accent sur le problème de la confusion entre « autisme » et « Troubles de l’autisme.


2. Défis terminologiques et héritage de la CIM-11
CS reconnaît l’évolution du domaine de l’autisme et discute des défis terminologiques, mentionner l’héritage de la classification CIM-11.

CS souligne la difficulté de s’éloigner du terme « troubles du spectre autistique. »

Phrases clés:
« [nous] L’OMS, par exemple, dans le domaine plus large de la santé mentale, nous évitons de parler de troubles, Nous utilisons la santé mentale « conditions », juste à cause de la connotation négative des troubles en soi.
Mais oui pour l’autisme’Il est également difficile de s’en éloigner. « Troubles du spectre de l’autisme », il n’y a pas d’autre terminologie qui a été proposée pour définir la condition conformément à la CIM-11.«

Commentaires sur l’article 2:

  • Bien qu’il puisse être avantageux d’explorer d’autres, une terminologie moins stigmatisante pour les « Troubles du spectre autistique » (TSA), il’Il est important de préciser que cette discussion est accessoire à l’objectif principal que nous portons dans la présente lettre.
    Notre objectif principal est de faire la distinction entre les « autisme » et « Troubles du spectre de l’autisme, » insistant sur le fait que l’autisme lui-même n’est pas intrinsèquement un trouble.
    Toutefois, cette clarification ne doit pas être interprétée à tort comme une tentative de minimiser l’importance des TSA.
  • Ajustement de la terminologie de « trouble de l’autisme » à tout simplement « autisme » dans le but d’atténuer les connotations négatives pose un défi à notre intention.
    En brouillant ainsi la distinction, là’risque de perpétuer ou d’amplifier la confusion qui prévaut entre les « autisme » et « trouble du spectre autistique. »
    Donc, Bien que l’exploration d’une terminologie alternative demeure une considération valable, Il faut l’aborder avec prudence pour éviter de saper par inadvertance notre message principal.

3. Perspective de la neurodiversité et dilemme terminologique
CS explore la tension entre l’héritage de la CIM-11 et la valeur de la perspective de la neurodiversité.
CS interroge EL sur sa perception du mouvement de la neurodiversité, notant des similitudes dans les perspectives difficiles sur les déficits et les difficultés.

Commentaires sur l’article 3:

  • Bien que le concept de « Neurodiversité » est intéressante, Nous estimons qu’il n’est pas nécessaire d’éclairer notre discussion.
    En outre, Il semble que ce concept puisse introduire de la complexité ou de l’ambiguïté lorsqu’il s’agit de faire la différence entre l’autisme et les troubles du spectre autistique.
    Cette complexité découle des implications et des controverses associées au concept, ainsi que les difficultés à établir des parallèles avec nos affirmations.
  • Essentiellement, Nous soutenons que notre message est clair et compréhensible sans qu’il soit nécessaire d’incorporer des concepts supplémentaires qui contribuent peu à notre discours et risquent d’exacerber la confusion. Donc, Nous préconisons une approche simple qui minimise les complications et les limitations inutiles.

4. L’autisme au-delà de la neurologie
EL exprime son soutien à la neurodiversité, mais ne le fait pas’L’autisme n’est pas uniquement neurologique..

EL considère la neurologie comme un outil entre les deux’Le vrai moi et le monde, exprimant des inquiétudes quant à la réduction de l’autisme à un aspect purement neurologique.


5. Les défis du mouvement pour la neurodiversité
EL reconnaît les aspects positifs du mouvement de la neurodiversité, mais souligne sa tendance à simplifier à l’excès les défis, en particulier pour les personnes autistes sévères.

EL souligne la nécessité de faire la distinction entre l’autisme en tant que différence naturelle et les difficultés ou troubles qui lui sont associés.


6. L’autisme en tant que différence humaine
EL affirme que l’autisme, en soi, n’est pas un problème mais une différence naturelle avec des qualités et des défauts.

L’EL fait la distinction entre les troubles subjectifs et objectifs, reconnaître les défis tout en soulignant l’importance de reconnaître les qualités autistiques.


7. Blocage des qualités autistiques
EL note que lorsqu’il se concentre sur une personne autiste’S dans un environnement incorrect, Leurs qualités autistiques positives sont souvent bloquées, Entraver le développement.


8. Droit à une vie décente
EL insiste sur le fait que les gens n’ont pas besoin d’être des génies pour avoir le droit de vivre une vie décente.


9. Hétérogénéité et variabilité dans l’autisme
9un.
CS entre en résonance avec EL’la reconnaissance de la variabilité de l’autisme, Reconnaître l’extrême hétérogénéité des défis et des différences.

9b. CS partage les inquiétudes des soignants quant aux conséquences négatives potentielles si l’OMS s’éloigne du langage de la CIM-11 en faveur de la neurodiversité.

Commentaires sur l’article 9:

  • 9un. Nous estimons que la question des très grandes différences « niveau de fonctionnement social » dans l’autisme n’est pas pertinent pour ce que nous essayons d’expliquer.
    Même si cette gamme était 100 fois plus petit, Cela n’aurait aucune incidence sur notre point principal, ce qui est simplement de faire comprendre que l’autisme n’est pas synonyme de troubles, difficultés, ou les défis qui la caractérisent, quelle que soit leur nature, variabilité, contraste, ou tout autre facteur déterminant.

  • 9b. Les parents nourrissent des appréhensions à l’égard de certaines approches, comme celui qui prône la neurodiversité, ou ceux qui ont tendance à minimiser les problèmes en affirmant que « autisme » n’est qu’une variation humaine bénigne, tout en l’assimilant par inadvertance à « troubles du spectre autistique. »
    Cela entretient l’idée fausse que les troubles du spectre autistique eux-mêmes sont des différences inoffensives, une affirmation qui est clairement erronée.

    • Cette confusion souligne l’importance cruciale de faire la distinction entre l’autisme et les troubles du spectre autistique.
      En délimitant clairement « autisme » en tant que diversité humaine naturelle et « Troubles du spectre de l’autisme » comme des défis cliniquement significatifs, Nous reconnaissons la réalité et la gravité des problèmes tout en plaidant pour la reconnaissance des forces et des qualités associées à l’autisme.
      Les inquiétudes des parents découlent de cette confusion généralisée dans la compréhension.

10. Trouver un équilibre entre la reconnaissance de la diversité et les déficiences
10un.
CS apprécie EL’reconnaît la diversité, mais souligne les préoccupations des aidants naturels qui craignent de perdre leur droit à des services essentiels si l’accent est mis sur la neurodiversité.

10b. CS reconnaît la variabilité de l’autisme et le défi de trouver un équilibre entre le concept de variation naturelle et la reconnaissance des déficiences graves.

Commentaires sur l’article 10:

  • 10un. À propos de l’autisme, Le concept de neurodiversité tombe dans un piège commun: il ne fait pas de distinction entre les « autisme » et « Troubles du spectre de l’autisme » (ou les défis associés à l’autisme).
    En les traitant comme une entité unifiée, La neurodiversité diminue par inadvertance l’importance et la gravité des troubles lorsqu’il s’agit de démontrer que certaines variations neurologiques ne sont que des différences et non des pathologies, un processus communément appelé « Dépathologiser » autisme.
    Cet amalgame est très préoccupant pour les parents et les fournisseurs de soins, car elle peut obscurcir ou ignorer les besoins réels des personnes autistes, Bien que ces aidants aient besoin d’un soutien essentiel pour relever ces défis.

    • Donc, Notre lettre s’abstient d’invoquer le concept de neurodiversité.
      Nous affirmons qu’il n’est pas nécessaire pour nos arguments, et de plus, Sa tendance à brouiller les frontières entre l’autisme et les troubles du spectre autistique va à l’encontre de nos objectifs.

  • 10b. Contrairement à la croyance populaire, Il n’y a pas de conflit inhérent entre la reconnaissance de l’autisme comme une variation humaine naturelle et la reconnaissance des déficiences profondes qu’il peut entraîner.
    Au fur et à mesure que nous élucidons, Il s’agit de concepts distincts mais parallèles, Ne pas s’opposer aux extrémités d’un spectre.
    Ainsi, Reconnaître l’autisme comme une variante naturelle, C’est comme si on était gaucher, n’annule pas la présence de difficultés associées.

    • Ces défis découlent du fait que les structures sociétales sont mal équipées pour comprendre et accueillir l’autisme, exacerbant ainsi les difficultés rencontrées par les personnes autistes.
      Il est essentiel de mettre l’accent sur cette distinction pour comprendre l’autisme de manière globale et assurer un soutien approprié aux personnes touchées.

11. Terminologie de la fiche d’information
CS explique le changement dans la fiche d’information’De plus, il n’y a pas d’autre moyen « Troubles du spectre de l’autisme » À « autisme » en raison de son public cible.
EL se dit préoccupé par ce changement et son impact sur la compréhension du public.

Phrases clés:
« Je tiens d’abord à préciser la « Fiche ».
La fiche d’information a été rédigée avec seulement « Troubles du spectre de l’autisme ». Il s’agissait d’une fiche d’information sur les troubles du spectre de l’autisme.
L’équipe de communication a estimé qu’il n’était pas bon de parler des troubles du spectre de l’autisme dans une fiche d’information, car la fiche d’information n’est pas un document technique, il’Il s’agit d’un document sur le site Web destiné au grand public. [c'est à dire. public non professionnel], donc pour les gens, pas pour pas un document technique.
Ils s’opposaient donc à l’utilisation de « trouble du spectre de l’autisme » Et ils ont dit « Nous devons utiliser l’autisme, C’est le mot que le peuple utilise », Et donc, en gros, ça a été changé, Il s’agissait d’une fiche d’information sur les troubles du spectre de l’autisme, C’est devenu une fiche d’information où l’autisme a été utilisé, et j’essaie d’expliquer le début que…«
« La fiche d’information a été rédigée avec « Troubles du spectre de l’autisme » au lieu de « autisme ».
Je peux donc comprendre votre point de vue. Je pense que ce que notre équipe de communication a essayé de faire est quelque chose de similaire à ce qui a été fait pour le domaine de la santé mentale.
En tant qu’expression de la reconnaissance de l’inquiétude du public à l’égard de l’utilisation de certains mots, une terminologie qui a une connotation négative, Nous nous sommes éloignés de l’utilisation de « troubles ».
Donc, au lieu de dire « Troubles mentaux », [Nous disons] « Problème de santé mentale ».
Nous avions donc l’intention d’aller dans cette direction avec cette fiche d’information et d’éviter [À] utiliser « troubles »«


12. Impact sur la perception du public
EL met en évidence la confusion qui prévaut entre les « autisme » et « Troubles du spectre de l’autisme » dans la perception du public, surtout en France.

EL souligne l’importance de faire la distinction entre l’autisme en tant que variation naturelle et les défis qui y sont associés.

Phrases clés:
« Je n’ai pas’Je ne sais pas si vous avez eu la possibilité de tout lire vraiment parce que mon texte était vraiment long, mais si vous parvenez à lire tout, alors vous devriez vraiment comprendre qu’il’C’est vraiment un gros problème si vous confondez l’autisme (une variante ou une variation humaine, comme vous l’avez dit) et les problèmes qui vont avec.
Il’C’est un très gros problème…«


13. Comparaison de l’autisme et de la myopie
CS établit un parallèle entre la myopie en tant que variation humaine et une condition médicale, suggérant que le fait de reconnaître les difficultés’Il n’y a pas d’autre moyen d’éviter la variabilité de l’autisme.

CS met l’accent sur la nécessité d’un nom qui ne’stigmatiser et souligner l’importance des ajustements environnementaux parallèlement au soutien.

Commentaires sur l’article 13:

  • À notre avis,, Il n’est pas approprié d’établir des comparaisons entre l’autisme et la myopie parce que, Contrairement à l’autisme, La myopie n’a pas de qualités positives.
    Myopie, A nous, n’est pas un « Variation humaine » dépourvu de vices inhérents.
    En tant que condition invalidante, La myopie peut être comparée aux troubles du spectre autistique, mais pas à l’autisme lui-même.
    Ce parallèle n’aide pas à comprendre la distinction entre l’autisme et les troubles du spectre autistique.

14. Défis liés à la distinction entre l’autisme et les troubles
EL partage la difficulté de faire comprendre aux gens la distinction entre l’autisme et les troubles autistiques.

EL mentionne que même au sein des communautés autistes, Il y a une résistance à faire la différence entre les deux.


15. Analogie avec la Terre plate
EL utilise l’analogie de la Terre plate pour expliquer le défi de faire comprendre aux gens la distinction entre l’autisme et les troubles autistiques.


16. Définition de l’autisme – Manque de définition claire
CS interroge EL sur la définition de l’autisme.

EL admet la difficulté de définir l’autisme et partage son opinion non conventionnelle selon laquelle l’autisme est un mécanisme d’autoprotection pour l’harmonie naturelle.


17. IL’, point de vue philosophique sur l’autisme
EL approfondit son point de vue, voir l’autisme comme une auto-protection de l’harmonie naturelle ou de la naturalité harmonieuse, reconnaissant la nature philosophique de son point de vue.


18. Pas de marqueur clair pour l’autisme
L’EL aborde l’absence d’un marqueur clair de l’autisme et met l’accent sur la coexistence de formes légères et sévères d’autisme, avec des défis proportionnels au niveau de nature de l’autisme.

Phrases clés:
« C’est ce que vous dites dans l’autisme, ou dans les troubles autistiques, il’s difficile de trouver un marqueur, et de trouver un point où l’on peut dire « Ah, Maintenant (ici) Il y a l’autisme… et dans le cadre de cette (point) Il n’y a pas d’autisme »: que’c'est vrai… mais pour moi, c’est’Ce n’est pas un problème parce que… (tu vois mes deux mains [à l’écran]), pour moi, c’est’Il y a deux choses vraiment différentes… ils vont ensemble, Comme mes deux mains, elles vont ensemble, Mais ce sont deux mains différentes…«


19. Défis d’un autiste léger
EL illustre ses défis personnels en tant qu’autiste léger, mettre en évidence les difficultés liées à la bureaucratie et aux interactions sociales ;, Mettre l’accent sur la subtilité des défis.


20. Influence de l’environnement sur les défis
EL discute de la composante environnementale des défis, notant que les perturbations de la cohérence et de l’harmonie, plutôt que des facteurs sensoriels, affectent les personnes autistes.

EL suggère qu’un environnement social et familial approprié pourrait réduire considérablement les défis et les comportements ou situations préjudiciables pour les personnes autistes.

Phrases clés:
« quand vous dites qu’il y a des personnes autistes qui s’automutilent, qui se mangent ou se cassent [choses]: Je sais qu’il n’y a pas de’C’est facile à dire, mais ces problèmes pourraient être BEAUCOUP réduits si l’environnement social,
Moi et quand je dis « Environnement social » Je veux dire aussi la famille (pour moi, c’est’s [partie de] l’environnement social),
pourrait être plus approprié.
Parce que quand ces personnes autistes font ça, c’est’S’ils ont un problème, c’est qu’ils ont un problème. [avec quelque chose d’extérieur], ils ont révolté, ils…
Donc, les problèmes, il’Il n’y a pas que l’autisme, il’parce que l’environnement n’est pas adapté…«


21. IL: Le problème de la confusion
Le problème se pose lorsque les gens confondent l’autisme avec les troubles autistiques. Cela conduit à une perception négative de l’autisme, où il n’est vu que comme quelque chose de mauvais. Toutefois, Séparer l’autisme des défis qui lui sont associés permet une compréhension différente. Si l’autisme est considéré comme synonyme de troubles autistiques, On a tendance à le considérer comme entièrement négatif. Cette idée fausse entrave les efforts visant à corriger l’environnement social, Comme l’accent reste mis sur (sur les personnes), sur « fixage » les problèmes perçus plutôt que de créer une atmosphère inclusive.


22. CS: Évolution du domaine
Le domaine a évolué, et les approches actuelles mettent l’accent sur les soins, soutien, et des environnements inclusifs. Alors que le terme « Troubles du spectre de l’autisme » est utilisé, il devrait’De plus, il n’y a pas d’approche fondée sur le déficit qui ne peut pas être liée à une approche fondée sur le. La terminologie doit être la suivante :’De plus, il n’y a pas d’autre moyen d’aider les personnes autistes que d’aider les personnes autistes..


23. CS: Préoccupations au sujet de la terminologie
Vous semblez utiliser « autisme » Pour définir une caractéristique, que je trouve intéressant mais potentiellement déroutant. Le domaine associe traditionnellement « autisme » avec un trouble provenant d’un trouble du spectre autistique. Au lieu de, Envisagez d’utiliser un terme différent pour le trait que vous définissez afin d’éviter toute confusion.

Phrases clés:
« J’aime le concept, la façon dont vous conceptualisez ce trait, Je pense qu’il est’s très intéressant, et il’C’est quelque chose qui n’a pas été fait, Cela pourrait vraiment ajouter au domaine, Mais pourquoi utilisez-vous « autisme » Parce que l’autisme est le mot qui a été qui provient du trouble du spectre autistique, provient de la définition de la condition…«

Commentaires sur l’article 23:

  • Pour nous, Il est tout à fait possible de conserver le terme « autisme » pour faire référence à ce que vous appelez « un trait de caractère » (que nous considérons comme « une nature »), sans charger négativement le mot ni l’associer aux troubles, difficultés, et les défis qui peuvent accompagner l’autisme.
    Vraiment, On peut considérer que « autisme » fait référence à une liste de caractéristiques et de particularités, lorsqu’elle est analysée en dehors de tout contexte social ou de tout jugement, ne sont pas nécessairement « troubles » ou « Problèmes, » et apparaissent souvent plus comme des qualités.
    C’est ce que nous avons essayé de transmettre dans la section 1.1.2. de notre lettre, dont les sous-titres sont listés ici à titre de référence:


    1.1.2 « Mental, caractéristiques sensorielles et comportementales » de l'autisme (description sans approche défectologique)
    Autisme se compose de (Entre autres):
    – Un) Ne pas chercher / ne pas souhaiter d’interactions avec l’environnement social (c'est à dire. – habituellement – personnes inconnues, dans un contexte souvent perçu comme absurde / inquiétant / hostile ou tout simplement inintéressant),
    — ce qui conduit donc évidemment à « difficultés » lorsque ces interactions sont socialement imposées ou attendues,
    — ce qui n’encourage pas le développement de la communication (y compris la langue, verbale ou non verbale),
    — ce qui le rend difficile à comprendre ou à percevoir:
    — les intentions des autres (et d’autant plus s’ils ne sont pas exprimés clairement, ou – pire – s’ils sont cachés ou déguisés),
    — « Conventions sociales » (et ce d’autant plus qu’elles sont rarement écrites, et sont très variables et discutables et donc peu fiables),
    — humour, ironie, insinuation, « dire une chose veut dire le contraire », etc. ((d’autant plus que ces ‘normal’ mécanismes sont presque toujours ‘complexifications’ ou des détournements/déguisements/perversions de la réalité),
    — Présentations abstraites ou symboliques de la réalité (parce qu’ils diffèrent trop de la réalité pour paraître « vrai » ou de permettre la reconnaissance de la chose symbolisée);
    –> Pourquoi s’agirait-il d’une « désordre » ou « Pathologie »? Cela ressemble plus à une qualité…
    – B) Ne pas être intéressé par « socialement normal » Préoccupations,
    — mais au contraire, S’intéresser à d’autres choses;
    –> En quoi cela serait-il « un trouble » ou « une pathologie »? Cela ressemble plus à une qualité…
    – C) Ne pas s’intéresser à ce qui « autrui » penser (y compris ce qu’ils pensent de nous),
    — et donc de ne pas agir en fonction d’une « le jugement des autres ; » (cf. le très étrangement nommé « Théorie de l’esprit ») ;
    –> En quoi cela serait-il « un trouble » ou « une pathologie »? Il PEUT ou DEVRAIT être une qualité…
    – D) Avoir une grande capacité de concentration (c'est à dire. Une attention cohérente) et persévérance pour les sujets jugés intéressants ;
    –> Comment cela se passerait-il « un trouble » ou « une pathologie »? Cela ressemble plus à une qualité…
    – E) Repérer spontanément et facilement les anomalies ou les erreurs (ce que l’on appelle généralement – défectueux – comme « Attention excessive aux détails »),
    — être dérangé par eux (parce qu’ils sont presque toujours « artificiel », erroné, incorrect, absurde, injuste, toxique, nocif, destructeur, etc.),
    — Nécessité de corriger ces anomalies (c.-à-d., en particulier, pour commander, aligner, ou améliorer la cohérence et l’harmonie);
    –> De quelle façon cela se passerait-il « un trouble » ou « une pathologie »? Cela ressemble plus à une qualité…
    – F) Un besoin de commande, cohérence, et l’harmonie (y compris, par exemple, « complétude », ce qui explique la « De bout en bout » nature de certains « Entreprises autistiques »);
    –> Pourquoi s’agirait-il d’une ‘désordreou un ‘désordre’ ou un ‘Pathologie’? Cela ressemble plus à une qualité…
    – G) Être très sensible aux perturbations, troubles particulièrement sensoriels (d’autant plus qu’ils ne sont généralement pas naturels – cf. La notion de « Socio-généré ((Déficiences)) Perturbations »),
    — ainsi qu’aux troubles non sensoriels, Par exemple, de l' « nourriture » type (généralement causée par « dénaturé » nourriture);
    –> Pourquoi s’agirait-il d’une ‘désordre’ ou ‘Pathologie’? Cela ressemble plus à une qualité (pour se protéger)…
    – H) À la recherche de l’exactitude et de la précision, c'est à dire. Vouloir se rapprocher de la vérité;
    –> De quelle façon cela se passerait-il « un trouble » ou « une pathologie »? Cela ressemble plus à une qualité…
    – Je) Respecter les choses jugées fiables / vrai / juste (Et d’autant plus quand on perçoit « Le monde social » comme peu fiable / faux / injuste),
    — et ne souhaitant pas / ne tolérant pas l’imposition extérieure de modifications à ces choses jugées fiables (Et ce d’autant plus lorsqu’aucune justification n’est fournie ou compréhensible);
    –> Comment cela se passerait-il « un trouble » ou « un trouble » ou « une pathologie »? Cela ressemble plus à une qualité…
    – J) Une capacité à percevoir « Tendances générales » ou la structure profonde des choses (ce qui est logique si vous êtes en harmonie avec l’harmonie et la vérité – et si vous n’êtes pas trop dérangé par « Perturbations socio-générées »).
    –> De quelle façon cela se passerait-il « un trouble » ou « une pathologie »? Cela ressemble plus à une qualité…
    – K) Ayant – par conséquent – comportements, activités ou intérêts qui – évidemment – ne correspondent pas à ce qui est attendu par le « Normes sociales » en vigueur au moment et à l’endroit de la situation,
    — y compris les manifestations physiques ou les mouvements qui sont « Ce n’est pas normal » ;
    –> En quoi s’agit-il d’une « désordre » ou « Pathologie »?
    Note: Cette liste est incomplète, imparfait, et insuffisamment ordonné (par manque de temps).

  • Si le terme « autisme » est actuellement principalement associée à la notion de « défaut, » C’est à cause de la confusion entre l’autisme et les défauts qui y sont associés.
    Pour nous, il n’y a pas de problème, Pas de contradiction, en discutant d’une chose d’une part, et les aspects négatifs ou problématiques de cette chose d’autre part.
  • En d’autres termes, la connotation déféologique actuelle du terme « autisme » résulte de la confusion que nous nous efforçons de dissiper.
  • Étant donné que cette confusion est absente de notre état d’esprit, Nous n’avons pas le réflexe automatique d’attacher nécessairement la notion de défaut au mot « autisme. »
  • Pour mieux comprendre, Peut-être pouvons-nous tenter une comparaison avec le racisme. Dans un ancien, société raciste (à l’époque de l’esclavage des Africains par les Européens, par exemple), Le terme « Africain » était certainement automatiquement associé à un « Négatif » notion.
    Toutefois, une fois que l’on a compris que c’était évidemment tout à fait erroné, Il n’y avait plus aucune raison de ne pas utiliser le terme « Africain », parce qu’être africain n’est pas plus négatif ou défectueux qu’être autiste.
    (Cette comparaison a ses limites et doit être prise avec prudence et de manière appropriée, mais cela peut aider à la compréhension.)

24. IL: Trait spécifique à la population autiste
Le trait que je décris est spécifique à la population autiste et ne se retrouve pas dans la population générale. Il caractérise les personnes autistes. Le défi consiste à s’assurer que les gens comprennent cette distinction et’L’autisme n’est associé qu’à ses troubles..


25. CS: Terminologie et déficience
La terminologie, y compris « autistique, » provient souvent de classifications qui impliquent une déficience. La CIM-11 établit un lien entre l’autisme et la déficience. Ce qui nous préoccupe, c’est l’utilisation de ce terme « autisme » sans le qualificatif « troubles du spectre de l’autisme. »


26. IL: Définir l’autisme sans une vision basée sur les déficits
Des tentatives sont faites pour définir l’autisme sans une vision basée sur les déficits, Mettre l’accent sur les perspectives positives. Les défis de communication peuvent être perçus différemment, en sachant que les personnes non autistes peuvent contribuer à ces défis en raison de leur propre « Troubles non liés à l’autisme. »

Phrases clés:
« Dans la première partie de mon document, j’ai essayé de définir plus ou moins l’autisme sans aucune…
Vue défectologique, Point de vue négatif,
et la liste des traits, des caractéristiques que j’ai écrites, À mon avis,, À mon avis, correspond à la valeur « défectologique » [habituel] Définition de l’autisme, MAIS avec la perspective autistique, Je veux dire avec une perspective positive…
Permettez-moi d’essayer d’expliquer… (…)
Par exemple, quand… regarder, Les troubles autistiques sont généralement définis par des difficultés de communication et de relations sociales (qui vont ensemble) et des intérêts étroits et des particularités sensorielles (dis-le grossièrement), Il s’agit donc d’une… lorsqu’il est dit d’un point de vue médical ou défatologique, c’est négatif:
« Ce sont des défis, Ce sont des incapacités, Ce sont des déficits, Ce sont des carences, Il s’agit de… »
et ainsi de suite, C’est négatif…
Mais nous pouvons décrire exactement les mêmes choses à partir de l’inverse, D’un point de vue positif, De notre point de vue [de certaines personnes autistes], et en disant « Oui, il y a des difficultés dans les relations, Bien sûr, il y a des difficultés de communication, Bien sûr, et ainsi de suite? »

Il’s pas nécessaire « troubles », et nous pouvons expliquer pourquoi…«
« les personnes non autistes (Pas vous, mais la plupart des gens), ils se contentent d’enfiler’t faire attention… ils/elles n’ont pas’t écouter… ils ont VRAIMENT des problèmes ! 🙂 [c'est à dire. défaut, Défauts]
Ils ont vraiment une « Problème d’attention », ils portent vraiment’t faire attention, ils/elles n’ont pas’t écouter, ils/elles n’ont pas’t lire, ils ont ce que j’appelle… Je vous le dis, mais c’est’C’est difficile parce que je l’appelle le « Troubles non liés à l’autisme », et les gens don’Je ne sais pas ce que c’est, c, bien sûr, quand je dis cela, ils/elles n’ont pas’Je ne sais pas ce que c’est, c…
Mais quand vous commencez à… si les gens avaient le courage d’essayer de réfléchir à ce que j’appelle les troubles non liés à l’autisme… il y a… il’s vraiment énorme, il’De plus, il n’y…
il’C’est vraiment important, ainsi… pour revenir à ce que j’essayais de dire: dans la communication, il’De plus, il n’y a pas d’autre moyen d’y parvenir.: oui, Il y a des difficultés, mais ce sont des déficits du point de vue des personnes non autistes…«


27. CS: Focus sur les modalités d’interaction
L’accent devrait être mis sur la reconnaissance de modalités spécifiques d’interaction et de communication plutôt que sur un diagnostic. Le profil neurocognitif est diversifié, et il est crucial d’en comprendre les forces et les modalités. Toutefois, Le terme « autisme » a toujours été associée à la déficience.

Phrases clés:
« Absolument, Je tiens à vous rassurer en vous disant que je pense vraiment comprendre votre point de vue, ce que j’ai’Je ne suis pas convaincu par, est l’utilisation du terme que vous’À l’heure actuelle, il n.«


28. IL: Diagnostic des troubles, Pas l’autisme
Distinction entre « autisme » et « Troubles du spectre de l’autisme » est cruciale. Le diagnostic doit se concentrer sur les troubles, pas la condition générale d’être autiste. Diagnostic « autisme » semblaient impossibles.


29. CS: Distinguer les personnes autistes
La question se pose de savoir distinguer les personnes autistes autistes de celles atteintes de troubles du spectre autistique. Comment les différencieriez-vous ou les nommeriez-vous séparément ??


30. IL: Toutes les personnes autistes
Toutes les personnes atteintes de troubles autistiques sont considérées comme autistes. La plupart des personnes autistes peuvent avoir des défis spécifiques liés à l’autisme, mais pas toujours. Des histoires à succès comme celle d’Elon Musk’démontrent que ce ne sont pas toutes les personnes autistes qui éprouvent des difficultés importantes. La distinction entre les personnes atteintes de troubles et celles simplement considérées comme autistes n’est pas claire.

Phrases clés:
« Je pense que TOUTES les personnes qui ont des troubles autistiques SONT autistes donc c’est simple…«
« Pour moi, il n’y a pas d’un côté les personnes qui ont des troubles autistiques, et de l’autre côté, les personnes qui sont (juste) autistique… «


31. CS’Préoccupations au sujet de l’autisme en tant que trait et condition
31un.
CS discute de la variabilité dans des conditions telles que la dyslexie
31b. et exprime de la confusion quant à l’utilisation « autisme » pour définir à la fois un trait et une condition, en insistant sur le besoin de clarté.

Commentaires sur l’article 31:

  • 31un. Le problème de la comparaison entre l’autisme et la dyslexie est le même que celui de la myopie: La dyslexie n’offre aucun avantage.
    Discuter de la variabilité ou des différences de gravité en ce qui concerne la dyslexie (ou myopie) s’apparente à discuter de la variabilité ou de l’hétérogénéité au sein du spectre de l’autisme.
    Cette discussion sur les différences ou les gradations dans la gravité des troubles ou des problèmes n’est pas une discussion sur « autisme » mais plutôt sur les inconvénients qui y sont associés.
  • Le « Troubles du spectre de l’autisme » peut évoluer (soit en diminution, soit en aggravation) avec l’âge et aussi en fonction des circonstances (facteurs socio-environnementaux).
    Ce sont les inconvénients associés à une nature, et comme tout inconvénient, ils varient considérablement.
  • Une personne’s nature autistique (c'est à dire. « L’autisme » de quelqu’un) peut rester relativement constante: lorsqu’ils s’adaptent et surmontent les obstacles, Ce n’est pas le cas’D’un autre côté, il n’y a pas d’autre moyen d « nature autistique. »
    Tout comme lorsque l’on apprend à s’adapter à un environnement social uniquement chinois (en comprenant et en parlant le chinois), Ce n’est pas le cas’t porter atteinte à l’un des’La langue et la culture de l’homme (qui sont simplement « réserver »).

  • 31b. Dans le scénario hypothétique où nous parviendrions à débarrasser le mot « autisme » de ses connotations négatives, il’Il convient de se demander si l’utilisation de ce terme pour décrire un « trait » (ou « Nature autistique ») est pertinent pour réduire le risque de confusion (que nous désirons), comme il l’a fait’s un mot utilisé dans l’expression « troubles du spectre autistique. »
  • Toutefois, Nous pensons qu’il n’y a pas de problème, Et les difficultés dans les approches et les concepts dont nous discutons ici proviennent principalement du fait que les choses sont faites à l’envers, ce qui signifie que les gens commencent généralement par « Troubles du spectre de l’autisme » avant de discuter de tout autre aspect de l’autisme.
    Cela rend difficile, voire impossible, l’imagination « autisme » comme quelque chose « dépourvu de ses troubles » (ou pire, « sans (quelconque) troubles », ce qui est une confusion courante, mentionné au tout début de notre discussion).
  • En réalité, il’Il est incorrect et illogique de discuter d’un tout ou de définir un tout. (ici, autisme) basé sur l’un de ses composants (ici, Les inconvénients associés à l’autisme).
    Il’Ce mode de pensée erroné rend les réflexions sur ces sujets très compliquées et déroutantes..
  • Le « partie visible de l’autisme » (comme un iceberg) est « troubles du spectre autistique. »
    Toutefois, Ce n’est qu’une « une partie d’un tout. »
  • Mais les choses sont simples: L’autisme est quelque chose qui a à la fois des avantages et des inconvénients, Bons et mauvais côtés.
  • Si l’on ne voit les choses que négativement, alors ils ne peuvent pas conceptualiser les bons côtés, et ne peut donc pas comprendre qu’il y a simplement un tout, l’ensemble de la (Appelé « autisme ») qui comprend à la fois les mauvais et les bons côtés.
  • Donc, Il n’y a absolument rien d’inapproprié à discuter des inconvénients d’un, En d’autres termes, Discuter « Les inconvénients de l’autisme », que nous appelons « troubles du spectre autistique. »
    Il est tout à fait légitime d’utiliser le même mot (« autisme ») Dans les deux cas.
    Il peut même être essentiel, sans laquelle nous ne rencontrerions que de la confusion ou de l’incertitude.
  • Pour illustrer cela,, Vous pouvez voir à quel point il est parfaitement légitime et approprié d’utiliser le même mot dans des expressions telles que:
    • Voiture / Inconvénients de l’automobile / Avantages de l’automobile;
    • Argent / Inconvénients de l’argent / Avantages de l’argent;
    • Jeunesse / Désavantages des jeunes / Les avantages de la jeunesse;
    • Vieillesse / Inconvénients de la vieillesse / Avantages de la vieillesse;
    • Anglais / Inconvénients de la langue anglaise / Avantages de la langue anglaise;
    • France / Inconvénients de la France / Les avantages de la France;
    • Ville / Inconvénients de la ville / Les avantages de la ville;
    • et ainsi de suite.

  • Et « les inconvénients de X » ne sont pas « X », il’De plus, il n’y.
    Ainsi, là’Il n’y a absolument aucune raison logique de dire que les inconvénients (ou « troubles ») de l’autisme sont l’autisme: il’De plus, il n’y a pas d (Pardon).
  • Là’De plus, il n’y a aucune raison de réticence ou de crainte à l’égard de l’utilisation du mot. « autisme » pour décrire « le tout » (Notre nature), car cet embarras ne résulte que de l’idée profondément enracinée que « autisme » = « ses désordres » (ce qui est également grammaticalement incorrect).

32. IL’L’incertitude et la prise en compte d’une terminologie différente
EL exprime l’incertitude et mentionne la possibilité d’utiliser un mot différent au lieu de « autisme » pour éviter la confusion et les erreurs d’interprétation.

Phrases clés:
« Je n’ai pas’À l’heure actuelle, il n (environ) autrui, et… donc soit je’Je me trompe totalement…
ou peut-être qu’il’C’est juste un problème d’utilisation du mauvais mot, Je veux dire « autisme », ce qui devrait être un autre mot…«


33. CS’Hésitation et analogie avec la dyslexie
CS hésite à utiliser le terme « autisme » et fait une analogie avec la dyslexie, Envisager la distinction entre un trait et un trouble.


34. IL’Explication de l’approche médicale de l’autisme
EL spécule sur l’approche médicale de l’autisme, si le terme implique intrinsèquement « troubles de l'autisme » et explore les nuances du langage.


35. CS’Ressemblance avec le concept de l’autisme et préoccupations relatives à la terminologie
CS exprime aimer le concept d’autisme exprimé par EL, mais partage des préoccupations au sujet de la terminologie, en particulier l’utilisation de « désordre, » Questionner ses connotations.

Phrases clés:
« J’aime bien le concept, J’aime l’utilisation du mot, mais d’un autre point de vue, je’m également préoccupé par le maintien de la terminologie actuelle du trouble du spectre de l’autisme…«


36. IL’s Identification des problèmes: Connotation négative et terminologie du trouble:
EL identifie des problèmes avec le terme « autisme, » sa connotation négative et s’oppose à l’utilisation « désordre, » mettre l’accent sur l’ordre et la cohérence dans l’autisme.

Phrases clés:
« si vous considérez que l’autisme a quelque chose à voir avec l’harmonie et la cohérence et l’ORDRE, et je peux vous dire que j’ai – il’Ce n’est pas un problème, mais c’est un problème. – J’ai une *obsession* pour l’ordre, et j’ai’m n’est pas le seul, Je pense qu’il est’Pour la plupart des autistes, il n’y a pas d’autre choix que d': qu’ils veulent – Nous voulons – commande, Je veux dire que nous voulons que les mots soient utilisés comme dans le dictionnaire, nous voulons la justice, Nous voulons… et ainsi de suite, Et vous connaissez les enfants qui alignent leurs jouets… parce qu’il DOIT être en ordre, il’s extrêmement important…«
« ainsi « désordre » il’C’est vraiment absurde, il’C’est vraiment absurde d’utiliser le mot désordre parce qu’il est’C’est le contraire qui s’est produit., À mon avis, il’Il y a une sorte de rigide… comme un « noyau », un noyau qui est très très *cohérent* et très harmonieux à l’intérieur mais qui est… fermé.
Et plus la personne autiste commence à s’ouvrir au reste du monde, puis il commence à s’épanouir comme ça [floraison / S’ouvrir]…
Et mais c’est’De plus, il n’y a pas d… Il faut que ce soit très harmonieux…«


37. IL’Explication des défis liés à l’adaptation à un monde non autiste
EL discute des défis auxquels sont confrontées les personnes autistes pour s’adapter à un monde non autiste, en insistant sur la nécessité de se conformer et de prendre des dispositions.

Discussion sur la mauvaise compréhension par ChatGPT:

ChatGPT (en anglais seulement)
L’auteur discute des défis auxquels sont confrontées les personnes autistes pour s’adapter aux normes sociales du monde extérieur, qu’ils perçoivent comme chaotique. Afin de naviguer dans ce monde et de trouver un emploi, Les personnes autistes se retrouvent souvent conformes, Faire des concessions, et l’apprentissage des conventions sociales qui peuvent aller à l’encontre de leur inclination naturelle à la clarté et à la franchise. L’auteur reconnaît la nécessité pour les personnes autistes d’apprendre ces « Troubles non autistiques » pour survivre dans une société neurotypique, en insistant sur le fait que leurs actions dans de telles situations sont des comportements appris, Caractéristiques non innées de l’autisme. L’auteur souligne également le risque que les personnes autistes adoptent ces normes sociales de manière rigide et perfectionniste, dépassant parfois les normes attendues, ce qui peut être difficile pour eux et pour ceux qui les entourent.

IL
Tout cela est exact, Mais ce n’est pas vraiment le message du texte.
L’objectif du texte est de montrer que lorsque les personnes autistes ont un comportement non autistique, Cela n’implique pas qu’ils ne sont pas autistes ou qu’un tel comportement peut caractériser l’autisme: c’est simplement qu’ils sont « Utilisant » un comportement non-autiste qui n’a rien d’autistique.

ChatGPT (en anglais seulement)
Toutes mes excuses pour tout malentendu. Le message principal du texte est de préciser que lorsque les personnes autistes présentent des comportements non autistes, Ce n’est pas le cas’Il n’y a pas d’autre moyen d’y parvenir.. Au lieu de, Il indique leur capacité à s’adapter et à utiliser des comportements appris pour naviguer dans des situations sociales. L’auteur insiste sur le fait que ces actions sont des adaptations stratégiques plutôt que des caractéristiques inhérentes à l’autisme. Le texte cherche à dissiper les idées fausses selon lesquelles l’observation de comportements non autistes chez les personnes autistes signifie qu’elles ne sont pas vraiment autistes (ou que l’autisme n’est pas ce qu’on le décrit habituellement), Souligner l’importance de reconnaître la distinction entre les comportements appris et les traits autistiques de base.

Phrases clés:
« Parfois, les gens nous disent « ah mais l’autisme n’est pas ceci ou n’est pas cela, parce que je connais un homme autiste qui ne… »: Non, il’s ne font pas de choses autistiques, il’s faire des non-autistes (ou social) des choses qu’il a apprises et qu’il’De plus, il n’y: il’s pas autiste.«


38. IL’Suggestion de consulter les organismes autistes pour obtenir de la terminologie
EL suggère de consulter des organisations autistes pour obtenir des commentaires sur la terminologie, reconnaissant la difficulté de résoudre le problème de l’utilisation « désordre. »

Phrases clés:
« Il y a deux problèmes, Je pense que résoudre le problème du mot désordre est un très gros problème, Oui, il pourrait s’agir d’un autre terme… Pourquoi ne pas consulter les associations, Les organisations de personnes autistes dans le monde, en leur demandant « comment vous préférez qu’on vous appelle? »: Je’Je ne suis pas sûr des réponses, ce que ce serait, mais pourquoi pas, au moins en essayant de leur demander, parce que je n’ai pas’Il n’y a pas d' – Tout de suite (…)
Et l’autre problème, c’est que, Ce que vous en dites, que le mot autisme est… Quoi qu’il en soit, il est accusé de carence, ce qui explique pourquoi les gens’Je ne comprends pas ce que j’essaie d’expliquer..«


39. CS’Discussion sur le repositionnement de l’autisme dans le contexte de la neurodiversité
CS discute du repositionnement de l’autisme dans le contexte de la neurodiversité, Reconnaître les aspects positifs, mais souligner la nécessité pragmatique de définir les défis.

Phrases clés:
« Il pourrait y avoir une certaine confusion là où nous devons… D’une certaine manière, il y a un besoin pragmatique de définir quand il y a un défi
c’est assez grave
pour donner droit à des droits au service, droite?
Parce que nous avons aussi ces problèmes de faire des choix dans le ????? et les finances sont… il est nécessaire de définir quelles sont les priorités des investissements, droite?
Nous devons donc définir, où, lequel, qui mérite d’avoir ce nombre de ces services, et qui a besoin d’un accès plus restreint aux services…«

Commentaires sur l’article 39:

  • Oui, Tout cela est vrai.
    Toutefois, Les discussions sur tout ce qui concerne les difficultés et les mesures d’adaptation et les solutions nécessaires sont importantes, Mais elles ne changent rien au fait qu’il est crucial de distinguer « Difficultés associées à l’autisme » De « L’autisme lui-même ».
  • En d’autres termes, Si nous dépensons 2 Heures, 2 Jours, ou 2 années à discuter uniquement des troubles du spectre autistique et des besoins qui en découlent, il’s 2 Heures, 2 Jours, ou 2 Des années de discussions « Hors-sujet » concernant notre objectif principal de distinguer l’autisme des troubles qui le caractérisent.
  • En réalité, pour notre objectif, Les détails de ces troubles ne sont pas pertinents.
    Même si ces troubles étaient extrêmement bénins, ce serait’Il n’y a pas d’autre moyen d’empêcher que ces problèmes ne soient abordés que de les caractériser, sans les « être » ce truc.

40. IL’Préoccupations concernant les personnes qui découvrent leur autisme sans difficultés importantes
EL s’inquiète du fait que les personnes qui découvrent leur autisme sans difficultés importantes présentent une demande de prestations, remettre en question l’équité de tels cas.


41. CS: Exploration des droits en fonction de la gravité
CS discute de la nécessité d’avoir des droits en fonction de la gravité des défis auxquels sont confrontées les personnes atteintes d’autisme, Souligner l’importance de la spécificité.

Commentaires sur l’article 41:

  • Vraiment: L’un des nombreux avantages de notre « distinction » (qui ne sont pas tous énumérés dans notre lettre en raison de leur abondance) c’est précisément quand on comprend que « autisme » n’est pas la même chose que « Troubles du spectre de l’autisme, » Cela permet de mieux comprendre que certaines personnes peuvent être autistes sans avoir de « troubles » ou, par conséquent, des handicaps et des besoins importants.
  • Notez que les gradations habituelles (Niveaux 1, 2, et 3) se rapportent à la gravité des troubles et des besoins, mais pas à un « degré d’autisme. »
    Il est vrai qu’il y a une corrélation entre les « degré d’autisme » et l' « degré de troubles ou d’invalidité, » mais elle n’est pas nécessairement proportionnelle, car il est difficile d’évaluer une « degré d’autisme, » et les difficultés liées à la « Troubles du spectre de l’autisme » varient selon les circonstances et l’âge.
    Ainsi, Une même personne peut avoir un « degré d’autisme » mais ne présentent des troubles/difficultés/handicaps/besoins qu’à certaines occasions, dans certains environnements, pays, etc.
    Comme nous l’avons déjà mentionné, leur « degré d’autisme » par rapport à leur « Nature autistique » reste à peu près le même tout au long de leur vie, alors que leurs capacités d’adaptation varient (pour le meilleur ou parfois pour le pire).

42. IL: Reconnaître la gravité des problèmes autistiques
EL est d’accord avec CS, soulignant que le fait d’être autiste ne’De plus, il n’y a pas d’autre moyen d’identifier les enjeux spécifiques et de reconnaître la diversité des expériences..


43. CS: Réflexion sur l’évolution des perspectives
CS réfléchit à l’évolution du domaine de l’autisme, exprimant la complexité et la nécessité d’explorer davantage la définition des troubles du spectre autistique.

Phrases clés:
« C’est intéressant et j’ai vraiment… C’est un domaine qui évolue tellement, et où je pense que nous avons beaucoup de questions, Je’Je ne suis pas sûr que nous ayons une approche simple, Je comprends ce que vous voulez dire, à savoir que…«


44. IL: Spéculations sur la durée de la réunion
EL spécule sur CS’De plus, il n’y, sentant un besoin potentiel pour CS de faire d’autres choses maintenant.


45. CS: Équilibrer les priorités et réfléchir à la neurodiversité
CS discute de l’équilibre des priorités dans la définition de l’autisme, réfléchir à l’évolution des connaissances au sein de l’OMS et examiner les implications de la neurodiversité.

Phrases clés:
« Oui, oui, Désolé, J’ai quelque chose à faire en rapport avec la clôture de l’année, mais je prends cette conversation au sérieux,
(…)
Je n’ai pas’Je pense que nous sommes résolus à adopter une approche suffisamment bonne pour refléter la complexité de la façon dont nous définissons les troubles du spectre autistique., Comment définissons-nous l’autisme ?, Comment définissons-nous la neurodiversité ?…
«

Commentaires sur l’article 45:

  • Il est probable que les approches actuelles de l’autisme, y compris le concept de neurodiversité, s’appuient malheureusement sur diverses confusions et incertitudes.
    Lorsque l’on tente de comprendre l’autisme à partir de ces notions existantes (et croyances), qui sont toutes plus ou moins vagues, changeant, Entrelacés, et parfois contradictoires, Il est logique que l’on se perde.
  • Cela’C’est pourquoi nous sommes convaincus qu’il faut « Commencez par le début, » ce qui signifie bien comprendre de quoi nous parlons, distinguer chaque composante de l’enjeu, nommer les choses de manière claire et pertinente, ucomprendre les tenants et les aboutissants, ce qui dépend de quoi, c'est à dire. le « l’ordre des choses »…
  • Ce n’est pas simplement une question de sémantique ou de « Détail autistique »; il’Parce qu’on voit que les gens passent leur temps à se disputer et à se perdre dans des discussions simplement parce qu’ils parlent de choses très vagues et indéfinies.
    • Le pire dans tout cela, c’est qu’ils commencent par semer la confusion « un ensemble » avec « une partie de cet ensemble », Et à partir de ce moment-là, inévitablement, la confusion et « Perte » sont incontournables, et en fin de compte, Les discussions sont plutôt inutiles.

46. IL: Proposer des séances de brainstorming collaboratif
EL propose des séances de remue-méninges collaboratives avec des spécialistes de divers domaines pour aborder les complexités de l’autisme et de la terminologie.


47. IL: Relier l’autisme à l’ordre naturel
EL partage ses réflexions sur la contribution de l’autisme à une société plus naturelle et harmonieuse, en mettant l’accent sur les aspects positifs et la nécessité d’ajustements sociétaux.

Phrases clés:
« Je’Je m’en tiens à ce que je voulais dire, c’est-à-dire que… Je suis d’accord avec le fait que « autisme » se caractérise par des difficultés d’interactions sociales, etc.,
MAIS, « en soi », en soi, il’n’est pas nécessairement un trouble…
C’est un désordre lorsqu’il entre en conflit avec le reste.
Je veux dire, Par exemple, l' « Intérêts étroits »… ou Dieu sait quoi, par exemple les difficultés des interactions sociales, De mon point de vue, il’De plus, il n’y!
C’est lui’S’il y a un problème, c' – Bien sûr – pour survivre dans la société, mais c’est’Si l’on considère que cela aide à ce que j’appelle l’auto-protection de la naturalité des gens, c’est bien quand on considère que cela aide à ce que j’appelle l’auto-protection de la naturalité des gens..
Et je considère même que les personnes autistes peuvent… s’il y en a de plus en plus [personnes autistes], il n’y aura pas de, dans les pays, une sorte de seuil où la société devra faire quelque chose, et peut-être comprendront-ils qu’il’Il ne s’agit pas seulement de mettre les autistes sous un dôme et de les nourrir avec des médicaments…
Il a gagné’t travail, ils devront corriger [Le système]

À mon avis, l’autisme… peut-être que j’ai’Je me trompe mais à mon avis l’autisme est quelque chose d’utile pour forcer la société à être moins artificielle et plus naturelle, (…)«


48. IL: Explorer les analogies avec la surdité
EL établit des analogies entre l’autisme et la surdité, remettre en question la perception de la parole comme une nécessité et mettre en évidence diverses perspectives sur la communication.


49. CS: Réflexion sur l’utilisation généralisée de « Autisme »
CS envisage l’utilisation généralisée de « autisme » dans le contexte de la neurodiversité, exprimant son incertitude quant à ses implications et la nécessité d’une réflexion plus approfondie.

Phrases clés:
« d’accord, ça me fait réfléchir… et je veux juste corriger quelque chose, que je n’ai pas’Je veux dire que l’autisme n’est qu’une question de déficit.… Je ne vois que cela
Utiliser l’autisme au sens large, et d’avoir « Troubles du spectre de l’autisme » peut créer une certaine confusion, mais peut-être que nous’Et il n’y a pas d’autre moyen, Je n’ai pas’À l’heure actuelle, il n, Il faut que j’y réfléchisse un peu plus…
Peut-être que le fait que le mouvement de la neurodiversité utilise l’autisme dans un terme aussi large’Je ne sais pas ce que c’est que de l’utiliser, c’est qu’il n', qu’ils utilisent « autisme » d’une manière plus large pour conceptualiser… est-ce ainsi… Je n’ai pas’À l’heure actuelle, il n, Il faut que j’y réfléchisse… Je n’ai pas’Je ne sais pas si c’est une bonne chose ou si c’est une bonne chose, ou si c’est une bonne chose.…«


50. IL: Défendre l’identité et les défis de l’autisme
EL défend l’identité autistique, insister sur le fait que les défis propres à l’autisme doivent être séparés de l’autisme lui-même., Plaidoyer pour des distinctions claires.

Phrases clés:
« Pour moi en tant que personne autiste et pour les collègues qui ont mon « niveau » (pour ainsi dire) Nous disons que nous sommes autistes, Nous n’avons absolument aucun problème à être autiste, La *nature* d’être autiste.
Il y a ceux qui nient leurs propres problèmes [ou déficiences], leurs propres difficultés, (Pas beaucoup), Et il y a ceux qui – Au contraire – admettre qu’ils ont beaucoup de difficultés, mais c’est quelque chose de différent, il’De plus, il n’y, il’De plus, il n’y [autisme, et les difficultés]…«


51. IL: Label Impact positif de l’autisme
EL partage une expérience personnelle de découverte de la marque « Syndrome d'Asperger » et comment cela a eu un impact positif sur sa conscience de soi et sa compréhension.


52. IL: Comparaison de la sensibilisation à l’autisme et des attitudes passées à l’égard de l’homosexualité
EL établit un parallèle entre les attitudes historiques à l’égard de l’homosexualité et l’évolution de la compréhension de l’autisme, Souligner la nécessité de l’acceptation.


53. CS: Proposer une terminologie plus claire
CS suggère d’utiliser « autisme » pour définir la nature plus large et en incorporant des termes tels que « personne autiste ayant des difficultés » pour créer des distinctions plus claires.

Phrases clés:
« Oui, alors peut-être que l’autre façon d’aborder cela pourrait être d’utiliser le terme « autisme » pour définir les…
gamme (La nature), et puis vous dites
« il’s une personne autiste ayant des difficultés à da da da da da, avec des déficiences sévères dans… »
Ce serait donc une façon plus claire de définir les choses.«

Commentaires sur l’article 53:

  • Bien que nous comprenions qu’une expression comme « personne autiste ayant des difficultés » vous a peut-être traversé l’esprit au cours de la conversation, grâce à l’évolution en temps réel de nos efforts de réflexion (Et merci encore pour cela), Nous ne sommes pas favorables à une telle expression.
    En effet, les difficultés des personnes autistes sont très variables et peuvent survenir à tout moment en fonction des circonstances (tout comme pour les personnes non autistes, En fait).

  • Il est vrai que l’on pourrait considérer qu’une personne autiste qui n’est pas autonome « une personne autiste en difficulté. »
    Toutefois, Cette approche est problématique car elle impliquerait que d’autres personnes autistes n’ont pas de difficultés, alors qu’en réalité, c’est presque toujours le cas (même si certaines difficultés nécessitent moins d’assistance, ils peuvent encore être très pénibles ou même « Torturer socialement » conduisant à la dépression et au suicide, ce qui n’est pas le cas pour les autistes non autonomes, qui sont moins ou pas affectés par des pensées négatives ou suicidaires).

  • Peut-être vaudrait-il mieux éviter de discuter « Individus » (qui peut être plus ou moins ceci ou cela) mais plutôt se concentrer sur les difficultés, Handicaps, et les besoins.

  • Il semble que l’OMS’Les réflexions sémantiques tentent d’être menées par des (admirablement) faire évoluer le langage d’une manière moins stigmatisante.
    Toutefois, À notre avis, « La route de l’enfer est pavée de bonnes intentions », Et nous en avons déjà vu un exemple avec l’initiative malheureuse dans vos pages d’étiqueter « autisme » le « Troubles du spectre de l’autisme » précisément dans le but de ne pas trop insister sur les troubles, lequel, D’un autre côté, vous met dans des situations difficiles lorsqu’il s’agit de répondre à vos besoins et de prendre des mesures d’adaptation ; (Et l’utilisation du concept de neurodiversité n’aide pas, Bien au contraire).

  • Nous croyons que nous devrions appeler un chat un chat, ce qui signifie que nous ne devrions pas essayer d’édulcorer les difficultés « pour faire plaisir » ou d’essayer d’être à la mode.
    En d’autres termes, À notre avis, Il est essentiel d’être le plus pragmatique et factuel possible et de ne pas se perdre dans les labyrinthes sémantiques si l’on n’a pas les bonnes clés de compréhension (que nous croyons pouvoir fournir).

  • Donc:

    • Un- « L’autisme, c’est l’autisme, » Et il serait essentiel de mieux comprendre ce que nous essayons d’expliquer à ce sujet « nature, » À propos de ceci « entier »;

    • B- « Troubles du spectre autistique » are… ni plus ni moins que « Troubles du spectre autistique. »
      – Toutefois, En anglais, Il serait utile de trouver un autre mot que « troubles » depuis l’autisme – À notre avis, – repose sur une sorte de « Super-ordre, » exactement le contraire du désordre.
      – Et en français (et l’espagnol, Portugais…), Le mot « problème » n’est pas non plus adapté.
      Qu’est-ce qui est défini par le mot « troubles » c’est plutôt le « société normale »… (et aussi les idées qu’il a sur l’autisme, qui sont vraiment troublés et confus).

  • A et B vont de pair mais sont distincts et doivent rester séparés dans la langue.
    À partir du moment où l’on confond A et B, Nous entrons inévitablement dans une situation problématique car si nous voulons être plus justes (Moins stigmatisant) pour « Un, » Nous sommes alors obligés d’assouplir les terminologies « B, » ce qui inquiète à juste titre les familles et les soignants, et ce qui n’est vraiment pas logique quand les personnes autistes ont besoin de tant d’aide, hébergement, et les services correctionnels de la société.

  • Concernant « B »: Au contraire, Il est essentiel de mieux comprendre quelles sont réellement ces difficultés, et même de comprendre qu’elles sont parfois plus sévères qu’on n’en a l’impression, et de comprendre les sources de ces difficultés et comment les résoudre.
    (Nous pouvons vraiment vous aider dans tout cela.)

  • Concernant « Un »: Il est également nécessaire de comprendre ce qu’est l’autisme, ou du moins, À défaut,, Comprendre que l’autisme ne concerne pas seulement les inconvénients de l’autisme.
    Il est également essentiel de comprendre les qualités et les avantages de l’autisme, Et ce pour de nombreuses raisons, notamment parce que si les pouvoirs publics estiment que l’autisme n’est « troubles ou problèmes, » alors il est logique que, malgré la mise en place de certains aménagements, ils ont tendance à préférer « Se débarrasser des troubles autistiques » quand la solution n’est pas celle-là: En résumé, La solution (pour les personnes autistes mais aussi pour tout le monde) est de réduire ou de corriger « Troubles non autistiques » ou des troubles sociaux ou socio-générés.

54. IL: Mettre l’accent sur l’importance des distinctions
EL insiste sur la nécessité d’établir des séparations claires entre les « autisme » et les défis associés, incitation à l’expérimentation terminologique.

Phrases clés:
« Oui, il’À mon avis, il n’y a pas d’autre moyen d’y, il’Il est vraiment essentiel d’essayer de – même s’il’s pas clair – Essayez de… Je veux dire, comme une expérimentation… pour faire une séparation vraiment claire, une barrière entre « autisme » (essayer de le définir, Mais la première partie de mon texte m’aiderait beaucoup), et de l’autre côté, toutes les choses habituelles: les troubles et ainsi de suite.
Et essayez de ne pas mélanger les deux, et puis petit à petit vous comprendrez ce que je veux dire, qu’il s’agit vraiment de quelque chose de différent.
Mais peut-être que pour quelqu’un qui n’est pas autiste, c’est peut-être le cas’s pas facile à voir.
Je pense que mon texte… peut-être… Si vous le lisez (La première partie sur l’autisme), si vous le relisez, Peut-être cela deviendra-t-il plus clair…«


55. CS: Envisager une consultation plus large
CS reconnaît la nécessité d’une consultation plus large sur la terminologie, exprimer l’intention d’aller plus loin et d’intégrer des points de vue divers ;.

Phrases clés:
« oui…J’ai donc… D’accord, maintenant c’est que je veux dire que c’est utile, Merci d’avoir pris le temps de partager cela avec moi, et d’expliquer…
Je vais… Je vais… Je vais réfléchir à la façon dont…
Parce que c’est au-delà de la fiche d’information… La fiche d’information en est donc une, mais je pense que c’est’au-delà de cela, il n’y a…
Pour que je puisse… Je peux voir comment… Je’Je ne suis pas sûr d’être honnête… Vous savez qui donc… il’Je ne peux pas reprendre mon idée et reformuler moi-même la définition de l’autisme., mais Le minimum que nous puissions faire est peut-être d’être prudent en nous en tenant au terme « Troubles du spectre de l’autisme », ou peut-être « troubles du spectre autistique », lorsqu’il s’agit du spectre des affections graves de la CIM-11…«

Commentaires sur l’article 55:

  • Nous vous en sommes très reconnaissants, suite à notre conversation, Vous êtes prêt à essayer d’utiliser uniquement le terme qui définit « troubles » (ou « condition »), en s’efforçant d’éviter de créer par inadvertance la confusion que nous avons mentionnée.
  • Nous vous serions très reconnaissants de bien vouloir modifier vos pages sur la présentation générale des troubles du spectre autistique: C’est l’objectif principal de notre initiative.
  • Vraiment, le choix du mot « conditions » pour remplacer « troubles » semble intéressant et préférable, en principe.
    Tant que tout est fait dans vos pages pour éviter de suggérer que l’autisme n’est rien d’autre que les troubles et les difficultés qui le caractérisent.

56. IL: Proposer à l’OMS de mettre l’accent sur les troubles
EL suggère que l’OMS, Se concentrer sur les problèmes de santé, Il n’est peut-être pas nécessaire de définir l’autisme lui-même, mais il faut s’attaquer aux défis et aux troubles qui y sont associés.

Phrases clés:
« Pourquoi ne pas simplement prendre « autisme » hors de la situation, et l’OMS ne se soucierait que de ce qu’ils ont à faire, Je veux dire par là que le « troubles » ou les défis, etc.«


57. CS: Reconnaître l’OMS’Approche évolutive
CS discute de l’évolution de l’orientation de l’OMS au-delà des troubles, suggérant un virage vers une approche plus holistique de la santé et du bien-être ;.


58. IL: Séparer l’autisme des problèmes de santé
EL insiste sur le fait que l’autisme en soi n’est pas un problème de santé, le séparer des défis spécifiques à l’autisme.

Phrases clés:
« les défis ou difficultés propres à l’autisme, qu’ils existent clairement et qu’il est’De toute évidence, il s’agit d’un gros problème., Et il faut s’y attaquer – Bien sûr – et si l’OMS va plus dans le sens de l’approche globale, l’approche sociale et tout ce que j’ai dit (l’environnement et ainsi de suite), il’s très bien…
Et changer (Remplacement) « désordre » avec un autre mot ce serait bien aussi.
Mais c’est une chose, Et il s’agit des problèmes et des défis et de la santé comme du bien-être et ainsi de suite, d’accord…
Mais ce n’est pas de l’autisme… C’est vrai (Je sais que la différence est subtile, il’De plus, il n’y) mais (avec) « L’autisme en lui-même », il n’y a pas de problème.«


59. CS: Reconnaître la nécessité d’une réflexion
Le CS exprime son intention de réfléchir à la discussion et de mener des consultations plus larges, Reconnaître l’importance de tenir compte de différents points de vue.


60. IL: Difficulté à clarifier les distinctions
EL met en évidence les défis liés à l’explication de la distinction entre l’autisme et les troubles associés, surtout lorsqu’il est confronté à des informations contradictoires.


61. CS: S’engager à poursuivre la réflexion et la consultation
CS s’engage à poursuivre la réflexion sur la question de la terminologie et propose des consultations internes et externes pour influencer les processus.


62. IL: Reconnaître la clarté des définitions de la CIM-11
EL reconnaît la clarté des définitions de la CIM-11, mais s’inquiète de la confusion créée par les pages générales du site Web de l’OMS.

Phrases clés:
« Comme je vous l’ai dit, dans les définitions de la CIM-11, je ne’Je ne vois pas de problème.
Non, il’Les pages générales qui sont – avec une bonne intention, pour éliminer le désordre – Mais en fait, cela crée un problème et personne n’y a pensé :-)…«


63. CS: Exprimer sa reconnaissance
CS exprime sa gratitude pour la discussion, notant la nature difficile de la conversation et les efforts déployés pour améliorer la compréhension.

Phrases clés:
« Bien sûr, bien sûr, sûr… D’accord… Merci beaucoup!«


64. IL: Exprimer ses remerciements
EL rend la pareille, en remerciant CS pour la conversation.


65. CS: Apprécier les efforts déployés
CS réitère son appréciation pour EL’pour aider à comprendre les complexités de l’autisme et la terminologie connexe.

Phrases clés:
« J’apprécie vraiment… et tous les efforts pour me le faire comprendre 🙂«


66. IL: Reconnaître les défis
EL reconnaît qu’il est difficile de faire des ponts « Deux mondes différents » de compréhension.

Phrases clés:
« il’De plus, il n’y, il’Ce n’est pas à cause de toi ou à cause de moi que je ne sais pas ce que c’est., il’De plus, il n’y a pas d’S’il y a deux mondes différents, c’est 🙂«


67. CS: Encourager la construction de ponts
CS propose avec humour de jeter un pont entre les deux mondes de la compréhension.


68. IL: Présentation de l’Organisation de l’Autistan
EL présente l’Organisation de l’Autistan comme une initiative visant à combler le fossé entre les différentes perspectives sur l’autisme.

Phrases clés:
« Cela’C’est pourquoi j’ai créé l’Organisation de l’Autistan
[montrant un petit drapeau de l’Autistan]
qui vise à faire des ponts entre les deux mondes…
Il’De plus, il n’y, mais avec des gens de bonne foi, il’Il est possible d’avancer, pour mieux comprendre«


69. CS: Reconnaître le rôle d’écoute
CS exprime une préférence pour l’écoute et apprécie l’opportunité de comprendre EL’De plus, il n’y.

Phrases clés:
« Je’Je suis sincère quand je dis que j’apprécie l’occasion de vous 🙂 écouter«


70. IL: Exprimer sa croyance
EL exprime sa croyance en CS’et la possibilité de faire progresser la compréhension avec des gens de bonne foi.




4. Quelques explications complémentaires après la réunion



4.1. Compléments par messages audio

4.1.1. Présentation

[13:14, 16/01/2024] Éric L.: Madame, Monsieur, Monsieur, Monsieur,, Ci-dessus se trouvent deux messages audio de clarifications.

  • 1. Je pense que j’ai trouvé un moyen assez simple de vraiment faire comprendre mon point de vue (en particulier avec l’idée de « Contre » et « Avantages » de l'autisme, mais aussi par d’autres moyens ou « Images »).
    Une fois que vous l’avez entendu, Tout doit être clair et évident, Et vous devez comprendre que (Pardon) Il est certainement absurde de dire que le « Contre » d’une chose « Un » Est-ce que cette chose « Un ».
  • 2. Il y a aussi une explication sur les comparaisons avec la myopie et la dyslexie, qui n’étaient pas pertinents pour l’OMI (Pardon ! 😊). Mais tout peut être discuté.
  • 3. Une autre précision concerne le fait que « Ce que je veux dire » n’est pas lié à « variabilité », Seuils, Droits, avantages sociaux et ainsi de suite. Je n’ai pas’Bien sûr, il n’y a pas d’autre moyen de nier l’existence des défis que l’on peut, et le fait qu’il’S’ils viennent plus loin, il n’y a pas d’autre moyen d’empêcher que l’on puisse « de l’autisme » ou « de la société », n’empêche pas qu’il s’agisse de problèmes graves qui doivent être résolus. Mais c’est’Ce n’est pas vraiment le sujet de la discussion actuelle.

J’espère que vous’Je trouverai un peu de temps pour écouter, et tout sera clair.
Alors, en espérant que, Peut-être que comme moi tu as gagné’Je ne comprends pas pourquoi l’OMS dit que l’autisme EST le trouble de l’autisme. (ou des problèmes, ou « Contre », ou de mauvais côtés), de l'autisme.
Désolé mais ce n’est vraiment pas cohérent, et -de plus- il’C’est vraiment préjudiciable aux tentatives des organisations dans le monde qui luttent pour une meilleure, digne, Une vie épanouie pour les personnes autistes, ce qui est bien sûr impossible si l’on considère que l’autisme n’est QUE les mauvais côtés de l’autisme (Même dans les « Douleur légère » Cas). (Tout cela est expliqué dans mon long document.)

Merci beaucoup.
Bonne soirée !

Éric L.


4.1.2. Transcription du message audio N°1

20240116 Précisions et ajouts à notre réunion pour une meilleure compréhension

  1. (0:01) Chère Madame, Monsieur,. Servili, Bonne journée. Je vais essayer d’être très bref.
    (0:08)
    Tout d’abord, Merci beaucoup pour tout le temps que vous avez consacré à la lecture de mon document
    (0:14) et aussi pour notre rencontre et tous vos efforts (…).
    (0:53) Et je pense que même si nous avons beaucoup progressé au cours de notre rencontre dans notre compréhension mutuelle,
    (1:05)
    En particulier, vous m’avez très bien expliqué le problème de la confusion liée à l’utilisation du mot autisme.
    (1:17)
    De l’autre côté, Je pense qu’il est’s encore possible de vous emmener, pour ainsi dire, plus dans la direction que je veux expliquer.
    (1:34) Et j’ai’J’ai vu aussi que vous avez fait beaucoup d’efforts sincères, et il’s rare, Je’Je n’ai pas l’habitude de.
    (1:50)
    Ainsi, tout ce qui est bon (…),
    (1:56)
    Et vous avez dit à plusieurs reprises que vous deviez réfléchir à la fin de notre réunion (…)
    (2:11)
    mais je pense que si vous lisez le premier chapitre dans lequel je donne une liste de certaines caractéristiques de l’autisme, (2:23) Cela aidera probablement beaucoup.
    (2:26)
    Je pense aussi que, dans cette discussion, nous étions encore, Bien que nos très grands efforts, Des efforts mutuels,
    (2:36)
    Nous étions encore plus ou moins dans le malentendu.

  2. (2:43) (…) (2:53) Ce que je veux dire, En fait, il’C’est très simple ce que je veux expliquer avec toute cette histoire sur l’autisme,
    (2:59)
    La différence entre l’autisme et les troubles autistiques.
    (3:05) (
    …) (3:10) Il’Il ne s’agit pas d’une sorte de spectre avec d’un côté l’autisme et de l’autre les troubles du spectre autistique,
    (3:18)
    et je pense que vous l’avez compris, Nous nous sommes mis d’accord sur ce point, (3:23) mais il n’y a pas de… (…)

  3. (3:27) Étant donné que vous êtes tellement professionnellement, Bien sûr, dans une certaine culture,
    (3:35)
    culture médicale de l’autisme et toutes ces choses, et les troubles de l’autisme,
    (3:40)
    Et vous lisez aussi beaucoup de choses sur la neurodiversité,
    (3:44)
    Bien sûr, Vous avez beaucoup d’idées à ce sujet.
    (3:49) Ainsi, lorsque vous lisez notre document, et même quand tu m’écoutes,
    (3:53)
    il’Il est impossible de ne pas penser à toutes ces choses que vous savez déjà..
    (4:02)
    Ainsi, À mon avis, cela complique, peut-être.
    (4:08)
    Ce que je veux dire, Avec tout le respect que je vous dois,, c’est que si c’était possible avec une sorte de baguette magique,
    (4:19)
    juste temporairement pour anéantir, pour effacer, d’oublier toute connaissance,
    (4:28)
    Bien sûr, il’De plus, il n’y, mais s’il vous était possible d’oublier quelque chose, Tout ce qui concerne l’autisme,
    (4:34)
    et vous venez de lire notre lettre, et je pense que vous devriez comprendre très clairement ce que je veux dire.

  4. (4:43) Mais j’ai un autre moyen, sans avoir besoin de magie.
    (4:49) En fait, c’est si simple de comprendre ce que je veux dire.
    (4:53)
    C’est simplement que l’autisme est l’autisme, et il y a d’un côté les inconvénients,
    (4:59)
    ou les défauts, ou les troubles, ou les problèmes et difficultés liés à l’autisme,
    (5:06)
    et de l’autre côté, Les avantages, Les bonnes choses que peu de gens voient.
    (5:12) Il’C’est si simple. En tout, Il y a les avantages et les inconvénients. (5:17) (…)

  5. (5:26) Par exemple, J’avais une voiture américaine très rare et originale. (5:34) (…)
    (5:40)
    Aux États-Unis, il’s pas rare, il’s assez commun, Tout le monde le sait.
    (5:46) Mais en France, Je peux vous dire, ou dans d’autres pays européens, il’De plus, il n’y a pas d’autre moyen d’empêcher. (5:55) Et je ne ferai pas la liste.
    (5:58)
    Mais ce que je veux dire, c’est que j’étais heureux d’avoir ma voiture.
    (6:03) Je l’ai acheté, Personne ne m’a forcé à acheter cette voiture.
    (6:06)
    Je l’ai acheté parce qu’il était original et agréable.
    (6:10)
    Et c’est’Il en va de même pour l’autisme.
    (6:14) Avec cette voiture, J’ai eu divers défis à relever.
    (6:17)
    Juste pour trouver une compréhension de l’assurance, Connaître la marque.
    (6:25)
    Il’s comme au début, quand je disais Asperger, personne ne comprenait ce que je disais.
    (6:31) Ou même parfois quand je dis « autisme », Certaines personnes croient entendre « artiste » ou quelque chose dans d’autres langues. (6:39) Autista, artista.
    (6:42)
    Ainsi, Il y avait les inconvénients.
    (6:45) Comment trouver une place de parking quand on a une voiture de 5 Mètres 50 de longueur. (6:53) Et toutes ces choses.
    (6:55)
    Et comment trouver les pièces détachées quand cette marque n’a pas de représentation en Europe, et ainsi de suite…
    (7:02) Voici donc les inconvénients.
    (7:04)
    Mais il y avait des, Bien sûr, Les avantages.
    (7:07) C’était une très bonne voiture.

  6. (7:13) Donc, pour l’autisme, Pour moi, il’De plus, il n’y a pas d.
    (7:19)
    Si les gens ont une approche négative, ou s’ils ne voient que les mauvaises choses, (7:24) alors ils pensent qu’il’C’est un gros problème d’avoir une telle voiture.
    (7:29)
    Et s’ils ne voient que les bonnes choses, il’C’est le contraire qui s’est produit., comme pour n’importe quoi.
    (7:34) C’est donc très simple à comprendre.
    (7:37)
    C’est donc une autre raison pour laquelle, même si je comprends qu’il s’agit d’une’Il est déroutant d’utiliser le mot autisme, (7:45) qui est, Comme nous l’avons dit, chargé de choses négatives, et ainsi de suite.
    (7:50)
    Mais Il n’y a aucune raison d’utiliser un autre mot, parce que c’est de l’autisme, et que’De plus, il n’y.

  7. (7:55) D’un côté, Il y a les inconvénients, et de l’autre côté, Il y a les avantages.
    (8:00) Et peu de gens comprennent les avantages. (8:03) Cela’De plus, il n’y.

  8. (8:04) (…) [Laisser’De plus, il n’y a pas d’autre moyen d’utiliser], laisser’De plus, il n’y a pas d’autre moyen d’empêcher que l’on ne prenne, (9:31) et les gens d’un côté de la rivière, ils ne connaîtraient que ce côté-là de la rivière, (9:36) et ils ne sauraient pas ce qu’il y a de l’autre côté, si la rivière est très grande.
    (9:39) Ou si vous prenez l’océan à l’époque où ils ne connaissaient pas l’Amérique.
    (9:47)
    Ainsi, quand les gens ne voient la voiture de la personne autiste que d’un seul côté,
    (9:53)
    ils ne savent que, par exemple, le côté gauche,
    (9:55)
    et ils n’ont pas’Je ne sais pas ce qu’il y a de l’autre côté., [le côté droit].

    (9:57)
    Cela peut être totalement différent, une couleur différente ou quelque chose comme ça.
    (10:02) Il’Ce n’est pas une très bonne comparaison.
    (10:03)
    Mais peu importe, il’s très simple à comprendre.

  9. (10:08) L’autisme, c’est l’autisme.
    (10:10) C’est la nature. (10:12) C’est une différence humaine, variante, ou quelque chose comme ça.

    (10:18)
    Et étant donné qu’il est’De plus, il n’y a pas d’autre choix, (10:22) et étant donné que les personnes autistes sont obligées de vivre, (10:27) (Il vaudrait mieux dire qu’ils ne sont pas forcés de vivre), (10:31) mais Le système dans lequel ils vivent n’est pas adapté à l’autisme.
    (10:37) [alors] Bien sûr, ils souffrent, et ils ont des problèmes, et ainsi de suite.
    (10:41)
    Et cela les oblige à rester piégés dans une sorte de bulle, et ainsi de suite,
    (10:49)
    lequel, Bien sûr, n’aide pas.
    (10:52)
    Mais les troubles et les problèmes, la plupart d’entre eux, ils sont discutables,
    (10:57)
    Et c’est une question de point de vue.

  10. (11:00) Et j’ai’Je ne suis pas très sûr que ce soit clair dans notre conversation,
    (11:03)
    mais Je’Je n’ai jamais dit que je’De plus, il n’y a pas d’autre moyen d’empêcher que l’on puisse.
    (11:09)
    Il y a deux choses, En fait, Trois choses.
    (11:12)
    Il y a (1) autisme, qui a (2) les bons côtés et (3) Les mauvais côtés.
    (11:17) L’autisme est constitué de choses positives et négatives, (11:26) comme presque tout, comme l’électricité, comme tant de choses.

    (11:31)
    Il est donc’s simple à comprendre.

  11. (11:33) J’ai une autre comparaison.
    (11:35) Il’s un écrou, Tu sais, une noix.
    (11:38)
    Quand vous voyez une noix de l’extérieur, (11:41) et si vous n’avez pas d’outil, et si vous n’avez aucune idée, et ainsi de suite, (11:45) Cela semble quelque chose d’absolument inutile, peut-être sympa, mais inutile. (11:51) Vous n’avez pas’t savoir que vous pouvez le manger.
    (11:54) Parfois, je vois des choses ici au Brésil, (11:56) Je n’ai pas’Je ne sais pas s’il est possible d’en manger ou non.
    (12:02)
    Donc, quand vous savez comment l’ouvrir, et il’De plus, il n’y,
    (12:06)
    mais quand vous l’ouvrez, alors vous comprenez qu’il y a la bonne chose à l’intérieur,
    (12:10)
    mais le bois, L’extérieur, vous ne pouvez pas le manger.
    (12:14)
    Il’s la protection.
    (12:16) L’autisme est quelque chose de très similaire,
    (12:20)
    même la forme, Plus ou moins, du cerveau.
    (12:24)
    Il y a donc tellement de choses à discuter, (12:33) et j’espère que ce message vous sera utile, (12:38) et si ce n’est pas assez clair, J’espère que nous pourrons nous reparler.

  12. (12:43) J’ai quelques questions.
    (12:44) Il y a deux ou trois choses que je n’ai pas comprises dans ce que vous avez dit,
    (12:49)
    et [donc] il’C’est un peu compliqué de le partager [Comme ça],
    (12:51)
    parce que j’ai des collègues qui s’intéressent beaucoup au monde.
    (12:57)
    Je pense que lorsque je publierai la transcription, (13:02) Ce sera une très bonne base, (…)
    (13:20) et j’espère que nous pourrons continuer,
    (13:22)
    et que peut-être vous organiserez une réunion, (13:26) Je veux dire, Réunion à distance, brainstorming, Comme vous l’avez dit,
    (13:31)
    parce que je n’ai pas’Je ne veux pas insister sur le fait que je ne sais pas ce que c, (13:33) mais c’est vraiment important, vraiment important (13:37) pour en finir avec cette confusion,
    (13:44)
    et avec la publication, Je veux dire, l’OMS, (13:49) s’ils comprennent, et s’ils croient, (13:52) et ils comprennent ce que je dis, (13:55) et s’ils comprennent pourquoi c’est si important, (13:59) et pourquoi il est si nocif actuellement,
    (14:01)
    J’explique tout cela dans la lettre. (
    14:05)
    J’espère qu’ils voudront corriger cela, (14:09) parce qu’il’C’est vraiment un gros problème quand on lit (14:12) que l’autisme est la même chose que les troubles de l’autisme.

  13. (14:18) Dans les confusions, Il y a la confusion du mot [« autisme »] (14:21) que tu m’as expliqué, mais je vous l’ai dit (14:24) qu’il existe un moyen de le résoudre, (14:27) comme j’ai essayé de l’expliquer aujourd’hui,
    (14:29)
    Et il y a un autre problème, (14:31) c’est que je l’ai remarqué quand j’ai expliqué (14:35) que l’autisme n’est pas la même chose que les troubles autistiques, (14:41) parce que Souvent, les gens croient (14:45) que j’ai’J’essaie d’insinuer ou de dire (14:51) que les troubles n’existent pas.
    (14:57)
    Plusieurs fois, les gens m’ont dit cela, (15:00) et je ne comprenais même pas au début pourquoi ils étaient [en disant que]…
    (15:03)
    Non, il’Il y a deux choses différentes qui se rejoignent, (15:09) comme l’intérieur de la noix et la noix, (15:12) comme les bonnes choses de n’importe quoi.
    (15:17)
    Il y a de bonnes et de mauvaises choses.

  14. (15:19) Si vous avez une voiture commune très simple, (15:22) vous n’avez pas’Je n’ai pas eu les problèmes que j’ai eus avec ma voiture.,
    (15:25)
    mais de l’autre côté, (15:28) il’s pas très fascinant, pour ainsi dire, (15:31) d’avoir une voiture commune.
    (15:32)
    Il’À mon avis, il n’y a pas d, Bien sûr.
    (15:34)
    Et ainsi de suite.
    (15:36) Si vous avez une Rolls-Royce, ou (vous’re Italien), (15:39) Que’De plus, il n’y, si vous avez une Ferrari, (15:41) Il y a de très bons côtés, Bien sûr.
    (15:44)
    Moi, je n’ai pas’Je ne sais pas ce que c’est, c, mais certaines personnes l’aiment.
    (15:46)
    Mais vous n’avez pas’Je ne sais pas si vous allez au supermarché avec une Ferrari., (15:50) ou vous enfilez’t dormir à l’intérieur.(15:51) Je pouvais dormir dans ma voiture. (15:52) Je l’ai modifié pour dormir à l’intérieur. (15:54) Et ainsi de suite.

  15. (15:56) Il y a donc des [presque] toujours les avantages et les inconvénients [presque] rien.
    (16:00)
    Donc, pour l’autisme, il’De plus, il n’y a pas d.
    (16:02)
    Le problème, c’est que les gens ne voient que les mauvaises choses.

  16. (16:05) Cela’De plus, il n’y.
    (16:07)
    Ainsi, Merci beaucoup,
    (16:09)
    et s’il vous plaît, J’espère que vous me le ferez savoir (16:13) Ce que vous pensez de tout cela,
    (16:14)
    et que vous pouvez lire aussi les quelques choses que j’ai écrites ci-dessus.
    (16:18)
    Merci beaucoup, et bonne journée, (16:20) et merci pour toute votre collaboration.

4.1.3. ChatGPT synthèse du message audio N°1

L’orateur commence par exprimer sa gratitude à Mme. Servili pour le temps et les efforts qu’elle a consacrés à l’examen d’un document et à la tenue d’une réunion.. Malgré les progrès réalisés dans la compréhension, là’De plus, il n’y a pas d’autre moyen d’empêcher que l’on puisse, particulièrement en ce qui concerne la distinction entre les « autisme » et « troubles du spectre autistique. » L’orateur salue Mme. Servili’l’expertise de la culture médicale, mais laisse entendre que les connaissances existantes peuvent compliquer la compréhension. Ils proposent un scénario hypothétique dans lequel Mme. Servili oublie ses connaissances préalables sur l’autisme pour saisir l’orateur’De plus, il n’y a pas d.

Utiliser des métaphores comme posséder une voiture rare, Le conférencier illustre la dualité des défis et des avantages inhérents à l’autisme. Ils insistent sur le fait que l’autisme englobe à la fois des aspects positifs et négatifs, Semblable aux avantages et aux inconvénients de n’importe quelle situation. La comparaison s’étend à la vision de l’autisme sous différents angles, C’est comme si l’on voyait les deux côtés d’une rivière ou d’une noix’s Intérieur et extérieur.

L’orateur insiste pour que la distinction entre l’autisme et ses troubles soit claire, Plaidoyer pour une meilleure compréhension afin de lutter contre les idées fausses préjudiciables. Ils soulignent l’importance de reconnaître à la fois les forces et les défis de l’autisme, qui sont souvent négligés. Le message se termine par une demande de commentaires et de discussions plus approfondies sur la question, exprimant l’espoir d’un dialogue continu pour dissiper la confusion qui entoure l’autisme et ses troubles.


4.1.4. Transcription du message audio N°2

20240116-2 Précisions et ajouts à notre réunion pour une meilleure compréhension

  1. (0:00) (…) Si vous êtes d’accord avec cette approche, ce qui est extrêmement simple (…)
    (0:15)
    Il y a les bons côtés et les mauvais côtés
    (0:19)
    Il est donc tout à fait logique d’avoir « autisme » et
    (0:24) t
    o parler de la « Problèmes de l’autisme » comme nous en parlons aussi de la « Qualités de l’autisme »
    (0:30) (N
    De plus, il n’y a pas beaucoup Fais-le, uMalheureusement,, mais je peux beaucoup parler des qualités de l’autisme.)

  2. (0:39) Ainsi il’Il est tout à fait correct d’avoir une Le libellé « autisme » et
    (0:47) f
    ou les côtés négatifs (qui sont discutables, mais laissons’S’il y a un peu d’autre chose que d, wCe que les gens considèrent comme les côtés négatifs),
    ils peuvent l’appeler le
    troubles ou « Troubles de l’autisme », il’De plus, il n’y a pas d (…)

  3. (1:14) TIl n’y a pas d' tL’autisme peut être discutable et, la plupart du temps, il est’C’est une question de point de vue, bIl s’agit d’un problème secondaire. Il s’agit d’une discussion secondaire.
    Mais de toute façon nOn peut nier qu’il y a bien sûr des défis à relever., difficultés, Problèmes avec autisme, que’De plus, il n’y.
    (1:39) S
    Ces choses sont (…) Les mauvais côtés de l’autisme, et les problèmes, Le DEffets, les flux et d’autres choses de ce genre.
    Ce n’est qu’un côté.

  4. (1:57) Il n’y a donc pas de problème, Il y a l’autisme (ce qui est la chose générale), et
    (2:03) o
    L’aspect de l’autisme, let’De plus, il n’y L’aspect négatif, c’est les troubles, ce qu’on appelle par la médecine « Troubles du spectre de l’autisme ».
    (…)
    (2:19) (…) B
    Et c’est là qu'’Ce n’est pas la même chose que (comme « autisme ») Bien sûr.
    (2:27) Pourquoi une partie de quelque chose devrait être la même chose que le tout ? Cela n’a pas de sens, Vous voyez.
    (2:36) Donc, si vous prenez la peine, Si vous prenez, (…) eDe la monomique ou quoi que ce soit d’autre, On peut dire qu’il y a le bon et le mauvais, ou si vous prenez unC’est ce genre de chose qui est en train de se passer, sDe plus, il n’y a pas d’autre moyen d’y, Il y a les bonnes et les mauvaises choses.
    (2:55) Mais les mauvais côtés de sEt il n’y a pas d’autre moyen’Ce n’est pas ce qu’il y a de plus beau. Il’De plus, il n’y. Il’De plus, il n’y a pas d.

  5. (3:05) Il est donc’C’est vraiment important pour ne pas réduire Le mauvais côté de l’autisme par rapport à l’autisme lui-même.
    Et je pense que c’est
    (3:16) mBeaucoup de gens le font parce qu’ils ne le font pas.’Je ne comprends même pas ce que c’est., ils/elles n’ont pas’Je ne sais même pas ce que c’est, Les bonnes choses, Les bons côtés de l’autisme.

  6. Et (3:27) ici, JeCela m’amène à la deuxième chose importante que je veux dire, il’De plus, il n’y: Au cours de notre cDe plus, il n’y a pas d, Vous avez fait des comparaisons, vous avez pris la myopie et vous avez dit La myopie est une différence humaine.
    (3:52) Oui, mais plus tard, vous dites que vous avez pris La dyslexie, to faire des comparaisons, Mais non…
    Pourquoi? Parce que Je
    dsur’Je ne vois pas de bonnes choses dans la dyslexie. Je n’ai pas’Je ne sais pas comment cela peut être utile.
    Et
    sAME pour la myopie. Comment la myopie pourrait-elle être utile ??

    (4:20)
    Vous pouvez utiliser la myopie ou la dyslexie pour ce que vous avez dit, la question de la variation entre 0 et 100 pour cent, et pour essayer de discuter À quel pourcentage, à quel point, il devient un problème ou pas, ou s’il y a une déficience, et quand il y a handicap ou non, et quand nous devrions donner en’a pas le droit d’utiliser le (…) unccommodations, sDe plus, il n’y a pas d’autre moyen d’empêcher que l', mais c’est’s pas un problème.
    (5:00) Le problème, La discussion n’est pas ici. Il’s pas un problème, ceci.

  7. (5:11) (…) Le problème, c’est que Si quelque chose s’appelle « Un » est cDe plus, il n’y a pas d’autre choix que d'NE hAlf (un) et l’autre moitié (b), On ne peut pas dire que la moitié (a ou b) c’est le tout (Un), et que’De plus, il n’y.
    (5:37) Quand les gens disent que la moitié négative de quelque chose est cette chose, Jet’s très mauvais.
    Il’C’est un gros problème bParce que le monde entier ne voit cette chose que comme quelque chose de négatif., et pour nous, c’est’Il est extrêmement difficile d’utiliser le système d' t
    o Défendre notre point de vue.

  8. Et c’est’Il n’y a pas d’autre choix que d’aller Jedélogique…
    Je
    cune preuve (et j’ai’m n’est pas le seul) Je peux prouver que le pAspects de l’utilisation de l’information, de l’autre côté, La face cachée. Je peux’t le montrer.
    (6:15)
    Même pour les personnes autistes qui sont en difficulté – pour ainsi dire, S’il y avait sSi les choses étaient plus appropriées, elles seraient moins contestées., et (6:28) Même ceux qui, Vous savez déjà que même ceux qui sont mis au défi, Parfois, ils ont des (6:36) unbilités, glorieux, qui peut être meilleur que moi ou vous sur certains sujets…

  9. Et de toute façon, de toute façon, S’ils n’avaient pas [De telles qualités spéciales], ils/elles n’auraient pas encore (6:45) avoir le droit à une vie décente et ainsi de suite…

  10. Mais ce que je veux dire, c’est que que, (6:55) À mon avis il’De plus, il n’y und’utiliser la myopie ou la dyslexie ou d’autres choses de ce genre dans notre discussion.
    (7:05) Désolé, Je n’ai pas’Je ne veux pas vous offenser, mais je ne veux pas vous offenser., mais J’en suis arrivé à cette conclusion parce que Nous ne pouvons pas dire « Les mauvais côtés de la myopie » et « Les bons côtés de la myopie ». D’accord.
    (7:23)
    Et alors’C’est là que s’arrête la comparaison. Il’s pas possible.

  11. Je tEt c’est là qu’il faut Peut-être que le gros problème est parce que mDe plus, il n’y a pas d’autres personnes autistes que l’on voit ont vraiment des défis à relever, et vous bien sûr à l’OMS salutu voir l’autisme de ce côté-là: tProblèmes de tuyaux, et les parents, et tout ça.
    (7:54) Alors peut-être que vous n’avez pas’Je n’en sais pas assez… Je veux dire… Le côté positif…
    (8:04) Le fC’est la première fois que je prends la parole à l’OMS, Je me souviens qu’il y avait un médecin (M. Yazami) qui m’a dit « Ah, mais vous n’êtes pas représentatif parce que vousL’autisme est léger » et ainsi de suite…

  12. Cela’c'est vrai. Mais peu importe, Quoi qu’il en soit dans l’autisme tVoici de bons côtés, même pour ceux qui sont gravement défié – Et ce serait trop long maintenant dans le monologue, mais il serait extrêmement intéressant deD’autre part, il n’y a pas d’autre moyen d', et je pourrais développer mon point de vue à ce sujet.

  13. (8:39) Une autre chose que je voulais ajouter: quand vous dites que les parents et les personnes qui s’occupent d’eux ont peur environ…
    L’approche de la neurodiversité et les choses que je dis, C’est assez similaire…
    (8:57)
    Il’Ce n’est pas la même chose, mais c’est’De plus, il n’y a pas d’autre moyen…
    Ils [les parents et les personnes qui s’occupent d’eux ;] vous avez peur
    mais, look, Le mouvement de la neurodiversité, Je n’ai pas’Je ne sais pas exactement ce qu’ils disent et même eux-mêmes., thé ne sont pas très clairs…
    (9:12) J’ai même vu récemment dans une publication de [Une association de neurodiversité]: « Nous ne sommes pas handicapés. Nous ne sommes pas des personnes handicapées »…
    (9:24) D’accord, certains d’entre eux, peut-être la plupart d’entre eux, ils/elles n’ont pas’Si vous n’avez pas de handicap, vous n’avez pas, Pourquoi pas…
    (9:33) Mais dans ce cas,, ils ne devraient pas faire partie de la Instances publiques nationales de personnes handicapées.
    (…) Je l’ai mentionné, et ils ont corrigé la phrase. (…)
    (9:49) Ce que je veux dire, c’est que Les parents ne doivent pas avoir peur.
    (9:57) (…) [parce que] ce que nous essayons de faire avec le concept d’Autistan, nous n’avons pas’Il n’y a pas d' toute intention de minimitant ou niant l’existence des troubles ou des troubles, tIl défie, Les problèmes, Les difficultés, et ainsi de suite, Au contraire.
    (10:27)
    Bien sûr, nous devons voir et dire ce qui existe.

  14. (10:33) Toutefois, notre unLa façon de résoudre ces problèmes n’est pas défectueuse., Et cela change tout.
    (10:44) Il’s ne sont pas basés sur la médecine, de telles choses ou traitements.
    (10:49) Je n’ai pas’Je ne sais pas ce que c’est. [ces choses-là] sont complètement inutiles, mais Il y a un autre moyen pour résoudre ces problèmes.
    (10:58) Ils ne devraient pas en avoir peur, tellement désolé j’ai encore beaucoup parlé, Merci.

4.1.5. ChatGPT synthèse du message audio N°2

Le conférencier commence par mettre l’accent sur une approche simple pour comprendre l’autisme, en soulignant ses aspects positifs et négatifs. Ils plaident en faveur de l’utilisation du terme « autisme » englober à la fois les défis et les points forts de la condition, tout en réservant des termes tels que « Troubles du spectre de l’autisme » pour les aspects négatifs. Ils reconnaissent que les aspects négatifs de l’autisme sont discutables et souvent une question de point de vue, mais insistent sur le fait que les défis et les difficultés associés à l’autisme sont indéniables.

Le conférencier souligne l’importance de ne pas assimiler les aspects négatifs de l’autisme à l’autisme lui-même, car il perpétue une étroite, perception négative de la maladie. Ils réfutent les comparaisons avec d’autres conditions comme la myopie ou la dyslexie, affirmant que de telles comparaisons simplifient à l’excès les complexités de l’autisme. Le conférencier souligne la nécessité de reconnaître les aspects positifs de l’autisme, même pour ceux qui font face à de graves difficultés.

Répondre aux préoccupations concernant le mouvement de la neurodiversité, Le conférencier précise que leur approche ne nie pas l’existence de défis associés à l’autisme. Au lieu de, Ils plaident en faveur d’une approche non défhalogique qui met l’accent sur des méthodes alternatives pour relever ces défis. Ils rassurent les parents et les soignants en leur disant que leur objectif n’est pas de minimiser les difficultés liées à l’autisme, mais d’offrir une perspective différente sur la façon d’aborder et de soutenir les personnes atteintes d’autisme.

En conclusion, Le conférencier insiste sur l’importance de comprendre l’autisme dans sa globalité, y compris ses défis et ses forces, et plaide en faveur d’une approche non déféologique pour résoudre les difficultés qui y sont associées.



4.2. Suggestion d’une image (avec une noix) pour aider à comprendre le « distinction » Encore mieux

[02:25, 21/01/2024] Éric L.: Bonjour Madame, On dit qu’une image vaut mille mots, Je’Je n’ai pas fait ce qu’il y (dans le cadre de mon association française), Qu’en penses-tu?

[06:00, 21/01/2024] Chiara Servili OMS-MHSU: Cher Eric,
Merci pour le partage. Il est utile d’avoir cette perspective alors que nous continuons d’envisager des stratégies pour améliorer les approches de santé publique et l’inclusion.


4.3. ChatGPT (en anglais seulement)’La synthèse de notre 12 « Commentaires sur les articles » Ajouté dans la section 3.2.

– Article 2: Adoucir le terme ‘Troubles du spectre autistique’ est intéressante mais contredit notre proposition’De plus, il n’y, Perpétuant potentiellement la confusion

Tout en envisageant une terminologie alternative pour « Troubles du spectre autistique » (TSA) peut avoir du mérite, il’Il est essentiel de souligner que cette discussion est secondaire par rapport à l’objectif principal que nous portons dans la présente lettre: délimitant la distinction entre les « autisme » et « Troubles du spectre de l’autisme, » soulignant que l’autisme lui-même n’est pas’Il s’agit d’un trouble inhérent à la nature..
Toutefois, Cette clarification devrait’t être interprétée comme diminuant l’importance des TSA.
Tout en ajustant la terminologie de « trouble de l’autisme » À « autisme » réduire les connotations négatives présente des défis pour notre intention, Brouiller cette distinction risque de perpétuer la confusion.
Donc, alors que l’exploration d’une terminologie alternative est valable, Il faut faire preuve de prudence pour éviter de saper par inadvertance notre message principal.

– IlEm 3: « Neurodiversité » est convaincant mais inutile ici, et cela entretient la confusion

Bien que la notion de « Neurodiversité » détient des intérêts, Nous estimons qu’il n’est pas nécessaire de le faire pour notre discussion.
De plus, Cela peut compliquer les choses en introduisant une ambiguïté dans la distinction entre l’autisme et les troubles du spectre autistique.
Cette complexité découle des implications et des controverses qui y sont associées, ainsi que des difficultés à s’aligner sur nos affirmations.
Total, Nous prônons la clarté et la simplicité dans notre approche, éviter les complexités inutiles qui pourraient entraver la compréhension.

– Point 9a: La variabilité des troubles du spectre de l’autisme est un sujet qui n’est pas nécessaire pour notre ‘distinction’

9un. Nous soutenons que les grandes différences entre les « niveau de fonctionnement social » au sein de l’autisme sont tangentielles à notre point principal, c’est-à-dire faire comprendre que l’autisme n’est pas’De plus, il n’y a pas d’autre moyen d’empêcher que l’on ne puisse, difficultés, ou les défis qu’elle englobe, indépendamment de leur variabilité ou de leur nature.

– Point 9b: Notre ‘distinction’ est utile pour éviter les amalgames à la mode qui suscitent l’inquiétude des parents

9b. Les parents expriment des appréhensions à l’égard de certaines approches, comme la défense de la neurodiversité ou l’assimilation « autisme » avec « Troubles du spectre de l’autisme » comme de simples variations humaines bénignes, favoriser l’idée fausse selon laquelle les troubles du spectre de l’autisme sont des différences anodines.
Cela souligne l’importance cruciale de faire la distinction entre l’autisme et les troubles du spectre autistique, reconnaître leur nature et leur gravité distinctes tout en plaidant pour la reconnaissance des forces et des qualités associées à l’autisme dans un contexte de confusion omniprésente.

– Élément 10a: « Neurodiversité » vise à juste titre à « dépathologiser » l’autisme, mais le confond avec « Troubles du spectre de l’autisme » ce qui va à l’encontre de la reconnaissance des besoins réels

10un. Le concept de neurodiversité en relation avec l’autisme ne fait souvent pas la distinction entre « autisme » et « Troubles du spectre de l’autisme, » minimiser par inadvertance la gravité des troubles en les traitant comme une entité unifiée et en négligeant potentiellement les besoins réels des personnes autistes., les aidants naturels qui ont besoin d’un soutien essentiel pour.

– Élément 10b: Le concept de ‘autisme’ en tant que ‘Variation humaine simple’ n’est pas un extrême avec les défis à l’autre extrémité

10b. Contrairement aux idées reçues, là’Il n’y a pas de contradiction inhérente entre la reconnaissance de l’autisme comme une variation humaine naturelle et la compréhension de ses défis importants..
Il s’agit de concepts distincts mais parallèles, Ne pas opposer les extrêmes.
Reconnaître l’autisme comme une variation naturelle, comme être gaucher, n’a pas’D’un autre côté, il n’y a pas d’autre moyen d’éviter les, qui découlent souvent de structures sociétales mal préparées à accueillir l’autisme.
La mise en évidence de cette distinction est essentielle pour une compréhension globale de l’autisme et pour fournir un soutien approprié.

– Article 13: Comparer l’autisme à la myopie semble inapproprié

Établir des comparaisons entre l’autisme et la myopie est jugé inapproprié, car la myopie n’a pas de qualités positives contrairement à l’autisme.
Myopie, être une condition invalidante, peut être assimilé aux troubles du spectre autistique, mais pas à l’autisme lui-même, ne parvenant ainsi pas à comprendre la distinction entre l’autisme et les troubles du spectre autistique.

– Article 23: Le terme « autisme » n’a pas’De plus, il n’y a pas d’autre moyen d’éviter que les déficits ne soient; Il peut être considéré comme des traits neutres. Semblable au racisme, La négativité erronée devrait’De plus, il n’y a pas d’autre moyen de dissuader l’utilisation des noms que

Nous plaidons en faveur du maintien de ce terme « autisme » se référer à un trait naturel plutôt que de l’accabler négativement de troubles, difficultés, ou des défis, mettre l’accent sur les qualités inhérentes à l’autisme plutôt que de le pathologiser.
Cette approche s’aligne sur notre discussion dans la section 1.1.2. de la lettre, où nous élaborons sur diverses caractéristiques de l’autisme qui, lorsqu’il est considéré en dehors du jugement sociétal, apparaissent plus comme des qualités que comme des troubles.
Bien que l’association actuelle des « autisme » avec des défauts découle d’une confusion généralisée, Notre état d’esprit s’abstient d’attacher automatiquement de la négativité au terme.
Nous établissons un parallèle avec le racisme pour illustrer l’évolution des perceptions sociétales et plaider pour un changement similaire dans la compréhension de l’autisme.

– Réf. 31a: Comparer l’autisme à la myopie ne semble pas pertinent

31un. Comparer l’autisme à la dyslexie présente un défi fondamental, car la dyslexie n’a pas d’avantages inhérents, S’apparente à la myopie.
La variabilité de la gravité de la dyslexie reflète l’hétérogénéité du spectre autistique, mettre l’accent sur la discussion sur les inconvénients associés plutôt que sur l’essence de l’autisme lui-même.
L’évolution des troubles du spectre autistique avec l’âge et les circonstances souligne ces inconvénients, soulignant la nécessité d’une compréhension nuancée.

– Élément 31b: Il n’y a aucun problème à utiliser le terme ‘autisme’ décrire à la fois sa nature et ses composantes (les aspects positifs et négatifs)

31b. L’examen de l’utilisation du terme « autisme » Décrire un trait ou une nature autistique soulève des questions sur la réduction de la confusion, particulièrement en raison de son association avec « troubles du spectre autistique. »
Toutefois, La réflexion commence souvent par les troubles plutôt que par l’essence de l’autisme, Compliquer les perceptions.
Il’Il est essentiel de reconnaître l’autisme dans son ensemble, avec ses avantages et ses inconvénients., semblable à divers concepts où un terme est utilisé pour décrire à la fois les points positifs et négatifs.
Donc, la réticence à utiliser « autisme » Décrire l’ensemble découle de l’idée fausse que l’autisme équivaut uniquement à ses troubles, Une notion qu’il faut corriger.

– Article 39: Les détails concernant ‘Troubles du spectre de l’autisme’ ne sont pas pertinents pour notre objectif principal, c’est-à-dire de les distinguer (quels qu’ils soient) De ‘autisme’

Alors que les discussions sur les difficultés, hébergement, et les solutions sont sans aucun doute vitales, Il reste impératif de faire la différence entre les défis associés à l’autisme et l’autisme lui-même.
Passer beaucoup de temps à discuter des troubles du spectre de l’autisme et de leurs implications, Bien qu’il soit important, peut s’écarter du sujet de notre objectif principal qui est de délimiter l’autisme de ses troubles déterminants.
Pour notre objectif, Les spécificités de ces troubles n’ont que peu d’importance, car leur gravité ne change pas l’essence de l’autisme ni sa distinction avec les problèmes qu’il englobe.

– Article 41: Notre différenciation entre ‘autisme’ et ‘Troubles du spectre de l’autisme’ est utile pour évaluer avec précision les défis et les besoins de soutien, empêchant ainsi les abus

L’un des nombreux avantages de la distinction que nous proposons, énumérés de manière exhaustive dans notre lettre en raison de leur abondance, c’est la clarté qu’il apporte en ce qui concerne la possibilité pour les personnes d’être autistes sans troubles ou handicaps associés importants, et donc sans besoins d’accompagnement substantiels.
Alors que les gradations conventionnelles telles que les niveaux 1, 2, et 3 dénotent généralement la gravité des troubles et les besoins de soutien plutôt qu’un degré d’autisme lui-même, Il existe une corrélation entre les deux (qui n’est pas toujours proportionnel).
L’évaluation d’une « degré d’autisme » est un défi, et la manifestation des difficultés associées aux troubles du spectre autistique peut varier selon le contexte et l’âge.
Par conséquent, Une personne peut présenter une « degré d’autisme » tout au long de leur vie, tout en éprouvant des troubles ou des défis uniquement dans des circonstances particulières.

– Article 45: Les réflexions sont compliquées et déroutantes pour l’OMS car les concepts fondamentaux sur l’autisme sont erronés et/ou basés sur des confusions, comme celle que nous expliquons (et l’introduction de « Neurodiversité » complique et embrouille davantage)

Approches actuelles de l’autisme, y compris le concept de neurodiversité, peuvent malheureusement être empêtrés dans diverses confusions et incertitudes.
Tenter de comprendre l’autisme dans ces cadres, qui sont souvent vagues, Évolution, et parfois contradictoires, peut prêter à confusion.
Nous prônons un retour aux principes fondamentaux, Insister sur l’importance d’une terminologie claire, Délimitation précise des composants, et comprendre les relations entre eux.
Il ne s’agit pas seulement d’une question de sémantique, mais d’une étape nécessaire pour éviter les débats stériles découlant de l’ambiguïté et de la déformation des concepts.

– Article 53: Une compréhension claire des concepts nommés doit précéder l’optimisation de leurs désignations

Alors que l’expression « personne autiste ayant des difficultés » ont peut-être été pris en compte au cours de la conversation, Nous mettons en garde contre son utilisation en raison de la nature variable des difficultés rencontrées par les personnes autistes, qui peuvent survenir de manière imprévisible.
Cette approche risque d’impliquer que seules certaines personnes autistes sont confrontées à des difficultés, alors qu’en réalité, Les défis sont répandus dans tous les domaines.
Il peut être plus productif de se concentrer sur les difficultés, Handicaps, et les besoins plutôt que de catégoriser les individus en fonction des niveaux de difficulté perçus.
Bien que les efforts visant à faire évoluer le langage pour qu’il soit moins stigmatisant sont louables, il’Il est important d’éviter les complexités sémantiques qui pourraient obscurcir la compréhension.
Nous plaidons en faveur d’une, Un langage pragmatique qui représente fidèlement les diverses expériences des personnes autistes, Reconnaître à la fois les défis et les forces.
Ainsi, il’Il est essentiel de faire la différence entre les « autisme » et « Troubles du spectre de l’autisme » tout en s’efforçant de comprendre et de répondre aux besoins multiformes des personnes autistes sans succomber à la simplification excessive ou à l’ambiguïté.

– Article 55: Appréciez votre ouverture à l’ajustement de la terminologie pour refléter fidèlement « troubles de l'autisme » ou « Trouble de l’autisme » afin d’éviter toute confusion avec les « autisme », et en demandant de bien vouloir mettre à jour vos pages en conséquence

Nous apprécions profondément votre volonté de prendre en compte notre conversation’et d’apporter des ajustements pour utiliser une terminologie qui représente fidèlement « troubles » ou « condition, » atténuant ainsi les risques de confusion. Il serait extrêmement utile que vous mettiez à jour vos pages concernant la représentation générale des troubles du spectre autistique, ce qui s’aligne sur l’objectif principal de notre initiative. La substitution de « conditions » pour « troubles » semble prometteur et plus adapté, en principe. Toutefois, il’Il est essentiel de s’assurer que votre contenu n’est pas’L’autisme ne comprend que les troubles et les défis qui lui sont associés..



4.4. Synthèse de tous nos commentaires audio et écrits faits à l’issue de la réunion (c'est à dire. de tout le chapitre 4)

4.4.1. Compréhension globale de l’autisme

Les commentaires se penchent sur la nature multidimensionnelle de l’autisme, en insistant sur l’importance d’une compréhension globale qui va au-delà des catégorisations simplistes.
Ils soulignent que l’autisme n’est pas une entité monolithique définie uniquement par ses défis, mais plutôt un spectre diversifié englobant un large éventail de forces, Capacités, et caractéristiques.
En reconnaissant cette complexité, Les commentaires visent à remettre en question les idées fausses répandues et à promouvoir une perception plus inclusive de l’autisme au sein de la société.

4.4.2. Terminologie et langage nuancés

L’un des principaux axes de la discussion porte sur l’utilisation d’un langage précis et respectueux lorsqu’on parle de l’autisme.
Les commentaires préconisent une terminologie qui reflète fidèlement les diverses expériences des personnes autistes, tout en évitant le langage qui perpétue des stéréotypes négatifs ou renforce un discours basé sur le déficit.
Suggestions (par l’OMS) recadrer la terminologie de « troubles » À « conditions » de mieux saisir les diverses manifestations de l’autisme et de s’éloigner du langage pathologisant qui mine la dignité et la valeur inhérentes des personnes autistes.

4.4.3. Différenciation entre l’autisme et les troubles du spectre autistique (TSA)

Au cœur du discours se trouve la nécessité d’une différenciation claire entre l’autisme et les TSA. Tout en reconnaissant la validité des classifications diagnostiques et les défis connexes auxquels sont confrontées les personnes atteintes de TSA, Les commentaires mettent en garde contre l’amalgame entre l’autisme et les troubles qui y sont associés.
Ils soutiennent qu’un tel amalgame simplifie à l’excès la complexité de l’autisme et perpétue une compréhension étroite qui ne reconnaît pas les forces et les capacités uniques des personnes autistes.
Au lieu de, Ils préconisent une approche nuancée qui reconnaît la diversité inhérente à la communauté autiste et respecte l’individualité de chaque personne’S Expérience.

4.4.4. Métaphores et analogies pour illustrer la complexité

Des métaphores et des analogies sont employées tout au long des textes pour illustrer la nature complexe de l’autisme.
L’une de ces métaphores compare l’autisme à la possession d’une voiture rare, soulignant que, tout comme un véhicule unique peut avoir à la fois des caractéristiques distinctives et des problèmes mécaniques occasionnels ou d’autres problèmes, L’autisme comporte à la fois des forces et des défis.
Ces métaphores servent à véhiculer l’idée que l’autisme défie toute catégorisation simple et nécessite une compréhension nuancée qui embrasse sa complexité.

4.4.5. Appel à la compréhension et à l’inclusion

Dans les commentaires, L’accent est mis sur la nécessité d’une meilleure compréhension et d’une plus grande inclusion des personnes autistes au sein de la société.
Alors que le concept de neurodiversité est mentionné, elle n’est pas préconisée comme solution principale.
Plutôt, Il y a un appel à des approches claires et pragmatiques de l’inclusion qui donnent la priorité aux divers besoins des personnes autistes.
L’accent est mis sur la création d’environnements qui répondent à ces besoins et favorisent l’acceptation et le respect des personnes autistes’ Des perspectives et des contributions uniques.
En favorisant une culture d’inclusion et de compréhension, Les textes visent à relever les défis auxquels sont confrontées les personnes autistes et à créer une société plus solidaire et plus équitable pour tous.

Essentiellement, La synthèse englobe une riche mosaïque d’idées visant à favoriser une compréhension plus nuancée et inclusive de l’autisme.
En remettant en question les discours dominants, Plaidoyer en faveur d’un langage respectueux, et embrasser la diversité des expériences autistiques, Les textes visent à ouvrir la voie à une société plus équitable et solidaire pour toutes les personnes autistes.




5. Conclusion générale

À faire


5.1. D’un autre côté, « Confusion de l’autisme et des troubles » sur les pages générales de l’OMS

À faire


5.2. De l’avis de Chiara Servili (de l’OMS) sur notre distinction entre « autisme » et « troubles de l'autisme »

À faire


5.3. Sur l’amélioration de la compréhension de divers autres aspects de l’autisme au cours de notre conversation

À faire


5.3.1. À faire

5.3.2. À faire




6. Que faire ensuite

À faire

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